Joël Embiid se moque de la France
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La perspective d’affronter les Bleus en finale des Jeux Olympiques n’émeut guère Joel Embiid, qui a pourtant un temps songer à porter le maillot de l’équipe de France.
La finale rêvée aura bien lieu. Comme il y a trois ans à Tokyo, la France et les Etats-Unis ont rendez-vous, samedi, pour la finale du tournoi olympique. Et paradoxalement, malgré une entame de match ratée, les Bleus ont bien moins souffert que la Team USA pour l’emporter en demi-finale. Menés de 13 points à l’entame du dernier quart, les hommes de Steve Kerr ont en effet dû attendre les tout derniers instants de la rencontre pour venir à bout de la Serbie (95-91).
Place désormais aux Bleus et Joel Embiid, auteur de 19 points contre la Serbie, se montre particulièrement confiant à l’idée d’affronter la France, avec laquelle il s’était dit prête à jouer il y a encore quelques mois. « J'adore la France mais je ne me préoccupe pas d'eux, a-t-il ainsi lancé après la victoire des Américains. La mission, c'est de gagner l'or. Je ne vais pas dire que je n'aime pas la France, je l'aime, j'ai beaucoup de connaissances ici, j'y ai passé du temps. Ce sera sympa comme affiche. La relation avec les fans, c'est de l'amour et du respect. Je ne pense pas qu'il y ait quoi que ce soit de négatif. »
L’intérieur des Sixers doit pourtant composer avec un public hostile à son égard depuis le début des Jeux. Conséquence de sa volte-face. « Il n'y a qu'un seul but, gagner la médaille d'or quoiqu'il en coûte, être sérieux en défense, au rebond, marquer, a-t-il seriné, ajoutant : « On sait que si on fait ce qu'on est supposés faire, à savoir réussir des stops et courir, on aura plutôt de bonnes chances de l'emporter. »
Kevin Durant, lui, est épaté par Isaïa Cordinier, la révélation tricolore des deux derniers jours. Après avoir inscrit 20 points face au Canada, l’arrière a remis ça face à l’Allemagne avec 16 points et 7 rebonds. « Cela va être un très gros test. Il y a Isaïa… Je ne sais pas comment prononcer son nom. Cor-di-nier ? », a-t-il lâché au moment d’évoquer les forces des Bleus. Il est venu et a joué un basket incroyable. Il y a aussi des gars comme Fournier ou Wemby qui peuvent faire plein de choses. Cela va être un match très difficile, surtout devant tout un public derrière eux. »
La finale rêvée aura bien lieu. Comme il y a trois ans à Tokyo, la France et les Etats-Unis ont rendez-vous, samedi, pour la finale du tournoi olympique. Et paradoxalement, malgré une entame de match ratée, les Bleus ont bien moins souffert que la Team USA pour l’emporter en demi-finale. Menés de 13 points à l’entame du dernier quart, les hommes de Steve Kerr ont en effet dû attendre les tout derniers instants de la rencontre pour venir à bout de la Serbie (95-91).
Place désormais aux Bleus et Joel Embiid, auteur de 19 points contre la Serbie, se montre particulièrement confiant à l’idée d’affronter la France, avec laquelle il s’était dit prête à jouer il y a encore quelques mois. « J'adore la France mais je ne me préoccupe pas d'eux, a-t-il ainsi lancé après la victoire des Américains. La mission, c'est de gagner l'or. Je ne vais pas dire que je n'aime pas la France, je l'aime, j'ai beaucoup de connaissances ici, j'y ai passé du temps. Ce sera sympa comme affiche. La relation avec les fans, c'est de l'amour et du respect. Je ne pense pas qu'il y ait quoi que ce soit de négatif. »
Joël Embiid est confiant
L’intérieur des Sixers doit pourtant composer avec un public hostile à son égard depuis le début des Jeux. Conséquence de sa volte-face. « Il n'y a qu'un seul but, gagner la médaille d'or quoiqu'il en coûte, être sérieux en défense, au rebond, marquer, a-t-il seriné, ajoutant : « On sait que si on fait ce qu'on est supposés faire, à savoir réussir des stops et courir, on aura plutôt de bonnes chances de l'emporter. »
Kevin Durant, lui, est épaté par Isaïa Cordinier, la révélation tricolore des deux derniers jours. Après avoir inscrit 20 points face au Canada, l’arrière a remis ça face à l’Allemagne avec 16 points et 7 rebonds. « Cela va être un très gros test. Il y a Isaïa… Je ne sais pas comment prononcer son nom. Cor-di-nier ? », a-t-il lâché au moment d’évoquer les forces des Bleus. Il est venu et a joué un basket incroyable. Il y a aussi des gars comme Fournier ou Wemby qui peuvent faire plein de choses. Cela va être un match très difficile, surtout devant tout un public derrière eux. »
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