La NBA devrait zapper Paris en 2026
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Quelques semaines après les deux rencontres entre les San Antonio Spurs et les Indiana Pacers, la NBA ne devrait pas organiser de nouveau match de la franchise texane à Paris en 2026. Manchester et Berlin sont les deux prochaines villes ciblées.
Le cri du cœur de Victor Wembanyama n’aura pas suffi. Les 23 et 25 janvier derniers, la NBA a organisé deux rencontres de saison régulière entre les San Antonio Spurs et les Indiana Pacers. Et à l’occasion de l’une d’elles, Victor Wembanyma, le pivot de la franchise texane, avait déclaré son envie de voir son équipe revenir à Paris dès l’année prochaine. « Je pense que le public français, avec toute sa ferveur, a le pouvoir d’influencer la NBA pour les forcer à ramener les Spurs de nouveau » s’était-il évertué avant de disputer son match.
Malheureusement, il n’a pas été entendu. Selon l’Équipe qui cite deux sources proches du dossier, la ligue américaine de basket n’a pas l’intention de faire revenir les San-Antoniens la saison prochaine, allant à l’encontre donc des velléités de l’ancien des Mets de Boulogne-Levallois. À ce sujet, l’une des sources de l’Équipe indique « qu’il est historiquement loin d’être inhabituel pour la NBA de changer régulièrement d’équipe pour ce type de match de saison régulière délocalisé en Europe. »
Les Spurs ne reviendront pas dans la capitale française la saison prochaine. Quid d’une autre équipe ? Ce n’est pas la tendance non plus. Cinq matchs ont déjà été organisés à Paris depuis que la NBA a choisi de s’exporter en France et justement, elle devrait regarder ailleurs pour 2026. Selon l’Équipe, deux villes sont notamment scrutées : Manchester et Berlin. « Il y a bien de l’intérêt pour ces deux villes mais à l’heure qu’il est, rien n’est encore arrêté », explique l’une des sources du quotidien sportif.
D’après le Times cité par l’Équipe, la NBA aurait déjà signé un accord pluriannuel avec Manchester avec notamment en ligne de mire, la création d’une équipe de basket de Manchester City. Adam Silver, le commissionner de la NBA a néanmoins assuré le 22 janvier dernier, que les Spurs joueront « un nombre de fois disproportionné par rapport aux autres équipes ».
Le cri du cœur de Victor Wembanyama n’aura pas suffi. Les 23 et 25 janvier derniers, la NBA a organisé deux rencontres de saison régulière entre les San Antonio Spurs et les Indiana Pacers. Et à l’occasion de l’une d’elles, Victor Wembanyma, le pivot de la franchise texane, avait déclaré son envie de voir son équipe revenir à Paris dès l’année prochaine. « Je pense que le public français, avec toute sa ferveur, a le pouvoir d’influencer la NBA pour les forcer à ramener les Spurs de nouveau » s’était-il évertué avant de disputer son match.
Malheureusement, il n’a pas été entendu. Selon l’Équipe qui cite deux sources proches du dossier, la ligue américaine de basket n’a pas l’intention de faire revenir les San-Antoniens la saison prochaine, allant à l’encontre donc des velléités de l’ancien des Mets de Boulogne-Levallois. À ce sujet, l’une des sources de l’Équipe indique « qu’il est historiquement loin d’être inhabituel pour la NBA de changer régulièrement d’équipe pour ce type de match de saison régulière délocalisé en Europe. »
Un match à Paris tout de même en 2026 ?
Les Spurs ne reviendront pas dans la capitale française la saison prochaine. Quid d’une autre équipe ? Ce n’est pas la tendance non plus. Cinq matchs ont déjà été organisés à Paris depuis que la NBA a choisi de s’exporter en France et justement, elle devrait regarder ailleurs pour 2026. Selon l’Équipe, deux villes sont notamment scrutées : Manchester et Berlin. « Il y a bien de l’intérêt pour ces deux villes mais à l’heure qu’il est, rien n’est encore arrêté », explique l’une des sources du quotidien sportif.
D’après le Times cité par l’Équipe, la NBA aurait déjà signé un accord pluriannuel avec Manchester avec notamment en ligne de mire, la création d’une équipe de basket de Manchester City. Adam Silver, le commissionner de la NBA a néanmoins assuré le 22 janvier dernier, que les Spurs joueront « un nombre de fois disproportionné par rapport aux autres équipes ».
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