Lâché par les siens, Pascal Praud crie à la trahison !

Publié le , mis à jour le
Tout à son bonheur à la lecture des derniers chiffres d’audience de CNews, Pascal Praud a expliqué à sa manière ces bons résultats.
Première historique pour CNews. Pour la première fois depuis sa création, la chaîne d’information de la galaxie Bolloré a en effet devancé BFMTV au mois de mai. Avec une part d’audience moyenne de 2,8%, CNews a détrôné sa rivale, qui a dû se contenter de 2,7% de parts d’audience. Selon les chiffres de Médiamétrie relayés par Ozap, CNews est arrivée 22 jours en tête, avec un record porté à 4,5% le jeudi 30 mai.
Si CNews a seulement cumulé 36,7 millions de téléspectateurs contre 48,4 millions pour BFMTV, la chaîne du groupe Canal a pu compter sur une durée d’écoute bien plus importante avec 37’10’’ contre 24’18’’. De quoi faire le bonheur de Pascal Praud, l'ancien reporter de Téléfoot devenu le visage emblématique de CNews.
« C'est toujours intéressant de savoir pourquoi une chaîne s'impose. Ce qui est drôle c'est qu'elle a déréglé tout le système. On a 300 chaînes quand même, si les gens ne veulent pas nous regarder ils peuvent aller ailleurs. On va en commission d'enquête maintenant, certains veulent nous interdire, c'est sidérant quand même. C'est unique, une chaîne qui a multiplié par six son audience depuis ses débuts », a-t-il lancé sur le plateau de L’heure des pros 2, ajoutant: « Moi j'ai le sentiment que ça marche parce que les gens connaissent toutes les infos, avec le portable etc.»
« Et ils savent qu'elles seront traitées avec plus de liberté sur cette chaîne qu'ailleurs. Et que le traitement qui est proposé d'abord sera sans doute plus proche de ce que peuvent penser les gens disons-le, parce que les autres sont sur le frein, sur le politiquement correct, et parfois sur des réflexes idéologiques, et puis il y a une pensée convenue », a-t-il poursuivi avant de s’en prendre à ses contempteurs.
« Les coups les plus durs, ils viennent des journalistes, plus encore que des politiques », a-t-il regretté, ajoutant dans la foulée: « Évidemment tout cela n'a aucune importance, mais révèle la médiocrité d'une certaine presse qui trahit sa mission : témoigner, informer, comprendre, décrypter, analyser. Et non pas éructer l'anathème. » Et l’ancien président du FC Nantes d’ajouter : « Le succès de CNews passe par sa liberté de ton, par l'absence d'idéologie, par le pluralisme de ses intervenants. »
Première historique pour CNews. Pour la première fois depuis sa création, la chaîne d’information de la galaxie Bolloré a en effet devancé BFMTV au mois de mai. Avec une part d’audience moyenne de 2,8%, CNews a détrôné sa rivale, qui a dû se contenter de 2,7% de parts d’audience. Selon les chiffres de Médiamétrie relayés par Ozap, CNews est arrivée 22 jours en tête, avec un record porté à 4,5% le jeudi 30 mai.
Si CNews a seulement cumulé 36,7 millions de téléspectateurs contre 48,4 millions pour BFMTV, la chaîne du groupe Canal a pu compter sur une durée d’écoute bien plus importante avec 37’10’’ contre 24’18’’. De quoi faire le bonheur de Pascal Praud, l'ancien reporter de Téléfoot devenu le visage emblématique de CNews.
"Les coups les plus durs, ils viennent des journalistes"
« C'est toujours intéressant de savoir pourquoi une chaîne s'impose. Ce qui est drôle c'est qu'elle a déréglé tout le système. On a 300 chaînes quand même, si les gens ne veulent pas nous regarder ils peuvent aller ailleurs. On va en commission d'enquête maintenant, certains veulent nous interdire, c'est sidérant quand même. C'est unique, une chaîne qui a multiplié par six son audience depuis ses débuts », a-t-il lancé sur le plateau de L’heure des pros 2, ajoutant: « Moi j'ai le sentiment que ça marche parce que les gens connaissent toutes les infos, avec le portable etc.»
« Et ils savent qu'elles seront traitées avec plus de liberté sur cette chaîne qu'ailleurs. Et que le traitement qui est proposé d'abord sera sans doute plus proche de ce que peuvent penser les gens disons-le, parce que les autres sont sur le frein, sur le politiquement correct, et parfois sur des réflexes idéologiques, et puis il y a une pensée convenue », a-t-il poursuivi avant de s’en prendre à ses contempteurs.
« Les coups les plus durs, ils viennent des journalistes, plus encore que des politiques », a-t-il regretté, ajoutant dans la foulée: « Évidemment tout cela n'a aucune importance, mais révèle la médiocrité d'une certaine presse qui trahit sa mission : témoigner, informer, comprendre, décrypter, analyser. Et non pas éructer l'anathème. » Et l’ancien président du FC Nantes d’ajouter : « Le succès de CNews passe par sa liberté de ton, par l'absence d'idéologie, par le pluralisme de ses intervenants. »
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