L'athlé français dans une "belle dynamique"
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Septième du classement des médailles de l'Euro en salle d'Apeldoorn, l'équipe de France d'athlétisme a réussi sa compétition, selon le directeur de la haute performance de la Fédération, Romain Barras.
Bien sûr, les Jeux Olympiques de Paris 2024 étaient l'événement à ne pas rater pour l'équipe de France d'athlétisme, mais avec une seule médaille (l'argent pour Cyréna Samba-Mayela sur 100m haies), le bilan a été famélique. Mais les Bleus sont passés à autre chose et commencent à se tourner vers Los Angeles 2028, le prochain très grand rendez-vous. En attendant, la première compétition internationale post-JO se déroulait à Apeldoorn, aux Pays-Bas : les championnats d'Europe en salle.
Et le bilan a été plutôt bon pour l'équipe de France, avec huit médailles dont une en or (celle d'Agathe Guillemot sur 1500m), pour une septième place finale au classement des médailles, remporté par les Pays-Bas (9 médailles dont 7 en or). Les Bleus ont fait mieux que lors de la dernière édition, en Turquie en 2023, où ils étaient montés sur six podiums (médaille d'or pour Kevin Mayer sur l'heptathlon) et avaient fini neuvièmes.
Au moment de faire le bilan, dans les colonnes de L'Equipe, le directeur de la haute performance de la Fédération, Romain Barras, se montrait satisfait. "Je pense qu'on a vu que des athlètes qui ont vraiment honoré leur sélection. Ça c'est important, on n'a pas eu vraiment de contre-performance. Il y a une belle dynamique, on retrouve ce qu'on avait pu vivre à Rome (16 médailles et une deuxième place finale à l'Euro en plein air en juin dernier, ndlr). Effectivement, on manque un peu d'or, on n'a qu'une médaille. Malgré tout, huit médailles sur un Championnat d'Europe, ce n'est pas arrivé depuis un moment (depuis 2013, 9 médailles dont 4 en or pour Vicaut, Mekhissi-Benabbad, Lavillenie et Nana Djimou, ndlr), et certains de nos ténors n'ont pas fait l'hiver. C'est aussi dans un contexte de Championnats d'Europe en salle très relevé. Les relais sont une image parfaite : deux records de France, mais on est cinquième à chaque fois. Je pense que notre athlétisme est en progrès, il est en densification."
Ce sont désormais deux compétitions bien plus relevées qui vont se présenter aux Bleus : les Mondiaux en salle en Chine dans deux semaines (avec seulement une dizaine d'athlètes car certains ont stoppé leur saison en salle), et surtout les Mondiaux en plein air de Tokyo au mois de septembre, où il serait bienvenu de faire mieux qu'à Paris 2024...
Bien sûr, les Jeux Olympiques de Paris 2024 étaient l'événement à ne pas rater pour l'équipe de France d'athlétisme, mais avec une seule médaille (l'argent pour Cyréna Samba-Mayela sur 100m haies), le bilan a été famélique. Mais les Bleus sont passés à autre chose et commencent à se tourner vers Los Angeles 2028, le prochain très grand rendez-vous. En attendant, la première compétition internationale post-JO se déroulait à Apeldoorn, aux Pays-Bas : les championnats d'Europe en salle.
Et le bilan a été plutôt bon pour l'équipe de France, avec huit médailles dont une en or (celle d'Agathe Guillemot sur 1500m), pour une septième place finale au classement des médailles, remporté par les Pays-Bas (9 médailles dont 7 en or). Les Bleus ont fait mieux que lors de la dernière édition, en Turquie en 2023, où ils étaient montés sur six podiums (médaille d'or pour Kevin Mayer sur l'heptathlon) et avaient fini neuvièmes.
Barras : "Il y a une belle dynamique"
Au moment de faire le bilan, dans les colonnes de L'Equipe, le directeur de la haute performance de la Fédération, Romain Barras, se montrait satisfait. "Je pense qu'on a vu que des athlètes qui ont vraiment honoré leur sélection. Ça c'est important, on n'a pas eu vraiment de contre-performance. Il y a une belle dynamique, on retrouve ce qu'on avait pu vivre à Rome (16 médailles et une deuxième place finale à l'Euro en plein air en juin dernier, ndlr). Effectivement, on manque un peu d'or, on n'a qu'une médaille. Malgré tout, huit médailles sur un Championnat d'Europe, ce n'est pas arrivé depuis un moment (depuis 2013, 9 médailles dont 4 en or pour Vicaut, Mekhissi-Benabbad, Lavillenie et Nana Djimou, ndlr), et certains de nos ténors n'ont pas fait l'hiver. C'est aussi dans un contexte de Championnats d'Europe en salle très relevé. Les relais sont une image parfaite : deux records de France, mais on est cinquième à chaque fois. Je pense que notre athlétisme est en progrès, il est en densification."
Ce sont désormais deux compétitions bien plus relevées qui vont se présenter aux Bleus : les Mondiaux en salle en Chine dans deux semaines (avec seulement une dizaine d'athlètes car certains ont stoppé leur saison en salle), et surtout les Mondiaux en plein air de Tokyo au mois de septembre, où il serait bienvenu de faire mieux qu'à Paris 2024...
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