Laure Manaudou, une vie sexuelle étalée
Publié le , mis à jour le
Ancien compagnon de Laure Manaudou, Jérémy Frérot n'a pas parlé que de leur rupture dans ses chansons...
Près d’une décennie de vie commune, un mariage, deux enfants et une rupture mise en chanson… C’est le bilan brut de l’histoire d’amour entre Laure Manaudou et Jérémy Frérot. Neuf ans après leur rencontre, les deux stars ont annoncé leur rupture au printemps dernier alors que le chanteur faisait son grand retour avec un album à sortir à la rentrée, Gamin des sables.
En avril dernier, un premier single était sorti, Adieu, dans lequel il se confie sur sa séparation avec l’ancienne championne de natation. « Papa et maman restent amis et on va rester une équipe. Il y a eu l’amour qui vous a créé et il y a l’amour qui vous élève, c’est différent mais tout aussi puissant », chante-t-il.
Au cours de sa promotion, le Girondin avait expliqué qu’il avait demandé à son ancienne compagne la permission d’évoquer ainsi leur rupture, assurant qu'il n'aurait jamais sorti ce titre si elle "n'avait pas été d'accord" avec les paroles. Mais ce n’est pas la première fois que Jérémy Frérot met son histoire avec Laure Manaudou en chansons.
Il en avait été de même dans son deuxième album, Meilleur vie, dans lequel il n’avait pas hésité à se livrer sur leur sexualité dans le titre Je te veux, révélant les moments où le couple préférait avoir des rapports sexuels. « On parle énormément de sexualité, notamment sur Instagram où il y a des comptes sur le plaisir solitaire ou l'orgasme féminin. C'est beaucoup plus libéré ! Ce n'est plus choquant, on a le droit », avait-il expliqué à Télé-Loisirs.
Et à en croire l’artiste, ses confessions n’avaient pas dérangé la championne olympique. « Elle a beaucoup aimé… Puis, elle s'est dit que ça allait se chanter partout", avait-il confié, reconnaissant qu’elle s’était néanmoins "sentie un peu gênée". "Mais elle l'a acceptée, en me disant que c'était très bien d'en parler. En fait, il y a toujours ce côté : 'Je suis une star, donc je ne peux pas parler de ma vie privée.' Mais ce n'est pas vrai », avait-il conclu.
Près d’une décennie de vie commune, un mariage, deux enfants et une rupture mise en chanson… C’est le bilan brut de l’histoire d’amour entre Laure Manaudou et Jérémy Frérot. Neuf ans après leur rencontre, les deux stars ont annoncé leur rupture au printemps dernier alors que le chanteur faisait son grand retour avec un album à sortir à la rentrée, Gamin des sables.
En avril dernier, un premier single était sorti, Adieu, dans lequel il se confie sur sa séparation avec l’ancienne championne de natation. « Papa et maman restent amis et on va rester une équipe. Il y a eu l’amour qui vous a créé et il y a l’amour qui vous élève, c’est différent mais tout aussi puissant », chante-t-il.
Au cours de sa promotion, le Girondin avait expliqué qu’il avait demandé à son ancienne compagne la permission d’évoquer ainsi leur rupture, assurant qu'il n'aurait jamais sorti ce titre si elle "n'avait pas été d'accord" avec les paroles. Mais ce n’est pas la première fois que Jérémy Frérot met son histoire avec Laure Manaudou en chansons.
Elle s'était quand même sentie gênée...
Il en avait été de même dans son deuxième album, Meilleur vie, dans lequel il n’avait pas hésité à se livrer sur leur sexualité dans le titre Je te veux, révélant les moments où le couple préférait avoir des rapports sexuels. « On parle énormément de sexualité, notamment sur Instagram où il y a des comptes sur le plaisir solitaire ou l'orgasme féminin. C'est beaucoup plus libéré ! Ce n'est plus choquant, on a le droit », avait-il expliqué à Télé-Loisirs.
Et à en croire l’artiste, ses confessions n’avaient pas dérangé la championne olympique. « Elle a beaucoup aimé… Puis, elle s'est dit que ça allait se chanter partout", avait-il confié, reconnaissant qu’elle s’était néanmoins "sentie un peu gênée". "Mais elle l'a acceptée, en me disant que c'était très bien d'en parler. En fait, il y a toujours ce côté : 'Je suis une star, donc je ne peux pas parler de ma vie privée.' Mais ce n'est pas vrai », avait-il conclu.
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