Le coup de gueule de Teddy Riner
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Teddy Riner n’a guère goûté le mode de désignation des porte-drapeaux à l’approche des Jeux Olympiques.
A quelques jours du coup d’envoi des Jeux Olympiques, Teddy Riner peaufine sa préparation. Un rendez-vous que triple champion olympique aborde avec ambitions. « Ce sont les Jeux à la maison, devant ma famille, mes partenaires, tous les fans de sport et de judo, on a envie de réussir cette belle étape. En tout cas, j'ai tout fait pour ne rien laisser de côté, quoi qu'il arrive je n'aurai aucun regret », a-t-il récemment soufflé en conférence de presse.
Et le Guadeloupéen est d’autant plus ambitieux qu’il ne semble jamais avoir été aussi fort. « Quand on fait des études, des calculs, la version de moi de 2024 est bien plus forte. Si on regarde mentalement, physiquement, sur le judo, je suis meilleur, dans tous les points. Au sol, je suis devenu très fort, j'arrive à faire pas mal de choses. Debout, sur les mains, ça reste fort, sur les attaques ça reste fort, il y a encore plus de puissance qu'avant. Je peux donc dire que je suis meilleur qu'avant », a-t-il soufflé, prenant soin d’ajouter : « mais on sait qu'en sport, tout est aléatoire. »
Teddy Riner pourra également s’appuyer sur sa grande expérience, lui qui disputera ses cinquièmes Jeux à Paris. Il n’aura guère besoin de se tourner vers les porte-drapeaux de la délégation tricolore, Florent Manaudou et Mélina Robert-Michon, à l’approche de l’événement. Le sociétaire du PSG avait d’ailleurs à redire sur leur nomination. Ou tout du moins sur le timing de cette nomination.
« Enfin, normalement c'est à J-100, il faudrait qu'ils réinstaurent ça parce que le but d'un porte-drapeau aussi, c'est de surfer sur la vague et là, il leur reste très peu de temps », a regretté celui qui fut porte-drapeau à Rio, ajoutant : « Qu'ils profitent de cet engouement médiatique, de cette visibilité qu'on leur octroie et qu'ils prennent ce rôle à bras-le-corps. Florent (Manaudou) et Mélina (Robert-Michon), je les connais très bien, je pense qu'ils vont plus que bien remplir leur rôle. »
A quelques jours du coup d’envoi des Jeux Olympiques, Teddy Riner peaufine sa préparation. Un rendez-vous que triple champion olympique aborde avec ambitions. « Ce sont les Jeux à la maison, devant ma famille, mes partenaires, tous les fans de sport et de judo, on a envie de réussir cette belle étape. En tout cas, j'ai tout fait pour ne rien laisser de côté, quoi qu'il arrive je n'aurai aucun regret », a-t-il récemment soufflé en conférence de presse.
Et le Guadeloupéen est d’autant plus ambitieux qu’il ne semble jamais avoir été aussi fort. « Quand on fait des études, des calculs, la version de moi de 2024 est bien plus forte. Si on regarde mentalement, physiquement, sur le judo, je suis meilleur, dans tous les points. Au sol, je suis devenu très fort, j'arrive à faire pas mal de choses. Debout, sur les mains, ça reste fort, sur les attaques ça reste fort, il y a encore plus de puissance qu'avant. Je peux donc dire que je suis meilleur qu'avant », a-t-il soufflé, prenant soin d’ajouter : « mais on sait qu'en sport, tout est aléatoire. »
Une désignation qui pose problème
Teddy Riner pourra également s’appuyer sur sa grande expérience, lui qui disputera ses cinquièmes Jeux à Paris. Il n’aura guère besoin de se tourner vers les porte-drapeaux de la délégation tricolore, Florent Manaudou et Mélina Robert-Michon, à l’approche de l’événement. Le sociétaire du PSG avait d’ailleurs à redire sur leur nomination. Ou tout du moins sur le timing de cette nomination.
« Enfin, normalement c'est à J-100, il faudrait qu'ils réinstaurent ça parce que le but d'un porte-drapeau aussi, c'est de surfer sur la vague et là, il leur reste très peu de temps », a regretté celui qui fut porte-drapeau à Rio, ajoutant : « Qu'ils profitent de cet engouement médiatique, de cette visibilité qu'on leur octroie et qu'ils prennent ce rôle à bras-le-corps. Florent (Manaudou) et Mélina (Robert-Michon), je les connais très bien, je pense qu'ils vont plus que bien remplir leur rôle. »
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