Le Graët, le verdict est tombé
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Sous le coup d’une enquête pour harcèlement moral et sexuel, l’ancien président de la Fédération française de football (FFF) Noël Le Graët est fixé sur son sort.
Le parquet de Paris a rendu son verdict quant à l'enquête pour harcèlement moral et sexuel qui visait l'ex-président de la Fédération française de football (FFF) Noël Le Graët depuis février 2023 – une affaire qui l’avait poussé à démissionner après la parution d’un rapport de l’inspection générale de l’Éducation, des Sports et de la Recherche ordonné par le ministère des Sports d’Amélie Oudéa-Castéra.
Le classement sans suite de la plainte a ainsi été décrété par la justice cette semaine. Une nouvelle dont se félicite ce dimanche soir l’avocat de l’homme de 82 ans, Me Thierry Marembert, auprès de l'Agence France Presse. « Je me félicite de cette décision qui reconnaît la probité de mon client. L'enquête pénale, approfondie, a pu vérifier que rien des accusations qui avaient été portées hâtivement sur lui ne tenait la route. »
Le principal intéressé exprime son soulagement lui aussi dans les pages de L’Equipe, déclarant avoir vécu « un cauchemar » qu’il a pourtant initialement sous-estimé. « J’ai pris cette affaire à la légère, ni d’avocats au départ, je n’y croyais pas. J’ai pris un coup sur la tête, lors d’un comité exécutif, quand j’ai vu deux ou trois membres me lâcher. […] Je pense m’être toujours bien comporté. A la Fédération, j’avais plutôt la cote avec le personnel. J’ai l’habitude de travailler avec des femmes, aussi bien à la FFF que dans mon entreprise, on peut plaisanter mais je n’ai jamais été plus loin. On est dans une période où il faut faire attention à tout ce que l’on dit mais je n’ai pas le sentiment d’avoir dérapé. »
Finalement guère inquiété sur le plan juridique, Noël Le Graët aujourd’hui règle ses comptes avec l’ex-ministre des Sports Sports Amélie Oudéa-Castéra. « Qu’a-t-elle fait pour le Sport ? Je ne la jugerai pas sur son passage à l’Éducation Nationale, elle m’a fait un peu pitié. Je suis humain », souffle le Breton à la dent dure, avant de se payer son successeur à la tête de la FFF Philippe Diallo. « Il devrait jouer au loto… Je ne vois pas Aulas numéro 2 de Diallo. Ils vont peut-être changer d’ordre… »
Le parquet de Paris a rendu son verdict quant à l'enquête pour harcèlement moral et sexuel qui visait l'ex-président de la Fédération française de football (FFF) Noël Le Graët depuis février 2023 – une affaire qui l’avait poussé à démissionner après la parution d’un rapport de l’inspection générale de l’Éducation, des Sports et de la Recherche ordonné par le ministère des Sports d’Amélie Oudéa-Castéra.
Le classement sans suite de la plainte a ainsi été décrété par la justice cette semaine. Une nouvelle dont se félicite ce dimanche soir l’avocat de l’homme de 82 ans, Me Thierry Marembert, auprès de l'Agence France Presse. « Je me félicite de cette décision qui reconnaît la probité de mon client. L'enquête pénale, approfondie, a pu vérifier que rien des accusations qui avaient été portées hâtivement sur lui ne tenait la route. »
Oudéa-Castéra et Diallo rhabillés pour l’hiver
Le principal intéressé exprime son soulagement lui aussi dans les pages de L’Equipe, déclarant avoir vécu « un cauchemar » qu’il a pourtant initialement sous-estimé. « J’ai pris cette affaire à la légère, ni d’avocats au départ, je n’y croyais pas. J’ai pris un coup sur la tête, lors d’un comité exécutif, quand j’ai vu deux ou trois membres me lâcher. […] Je pense m’être toujours bien comporté. A la Fédération, j’avais plutôt la cote avec le personnel. J’ai l’habitude de travailler avec des femmes, aussi bien à la FFF que dans mon entreprise, on peut plaisanter mais je n’ai jamais été plus loin. On est dans une période où il faut faire attention à tout ce que l’on dit mais je n’ai pas le sentiment d’avoir dérapé. »
Finalement guère inquiété sur le plan juridique, Noël Le Graët aujourd’hui règle ses comptes avec l’ex-ministre des Sports Sports Amélie Oudéa-Castéra. « Qu’a-t-elle fait pour le Sport ? Je ne la jugerai pas sur son passage à l’Éducation Nationale, elle m’a fait un peu pitié. Je suis humain », souffle le Breton à la dent dure, avant de se payer son successeur à la tête de la FFF Philippe Diallo. « Il devrait jouer au loto… Je ne vois pas Aulas numéro 2 de Diallo. Ils vont peut-être changer d’ordre… »
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