Le pire est à craindre pour Léon Marchand

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En passe d’effectuer sa grande rentrée à Fort-Lauderdale, Léon Marchand s’attend à "un carnage" sur le 400m nage libre.
L’heure de la reprise a sonné pour Léon Marchand. Huit mois après son incroyable razzia aux Jeux de Paris, le nageur toulousain effectue en effet son grand retour à la compétition à l’occasion d'un meeting de la Tyr Pro Swim Series à Fort Lauderdale. Et le programme s’annonce copieux pour le quadruple champion olympique, qui est engagé sur cinq distances parmi lesquels les 200 et 400m nage libre.
Le Français débutera d’ailleurs son week-end sur le 400m nage libre et à en croire l’intéressé, le pire est à craindre. « C'est le moment de tester ce genre de course, la répéter si j'ai pour objectif, par exemple, de faire le 400 crawl aux Jeux de Los Angeles. Il faut que je commence à m'aligner maintenant, parce que je n'ai aucune expérience. Je sais très bien que le premier, ça va être un carnage », a-t-il ainsi confié dans des propos relayés par L’Equipe.
Léon Marchand est dans l’inconnu au moment d’aborder cette distance et le premier danger pour lui est de trop solliciter les jambes dès les premières longueurs. « Si j'ai un conseil à lui donner avant son premier 400 m, c'est d'essayer de ne pas trop utiliser ses jambes au début. C'est ce qu'il aurait tendance à faire, à battre très fort, alors qu'il devra être plus judicieux », a soufflé son entraîneur Bob Bowman.
« Les jambes, c'est ma force, ce qui me fait avancer par rapport aux autres, a confirmé Léon Marchand. C'est difficile pour moi d'accepter de ne pas jouer sur une de mes qualités, mais je sais que sur un 400 m, il faudra être encore plus patient. D'ailleurs, je suis capable de nager vite sans les jambes. En faisant des coulées très fortes, mais à la surface. Je vais essayer ça, et on verra. Ça va être intéressant. »
Et le Toulousain est d’autant plus dans le flou au moment d’aborder ce premier 400 mètres nage libre depuis cinq ans qu’il a dû composer avec une côte fêlée durant sa préparation. « Je ne suis pas bon en ce moment. Je l'ai déjà été, mais avec l'épisode de ma côte fêlée, j'ai fait beaucoup plus de jambes avec Dean. Au niveau des bras, je pense que je prends plus d'eau qu'avant, mais je fatigue plus vite, du coup », a-t-il expliqué.
L’heure de la reprise a sonné pour Léon Marchand. Huit mois après son incroyable razzia aux Jeux de Paris, le nageur toulousain effectue en effet son grand retour à la compétition à l’occasion d'un meeting de la Tyr Pro Swim Series à Fort Lauderdale. Et le programme s’annonce copieux pour le quadruple champion olympique, qui est engagé sur cinq distances parmi lesquels les 200 et 400m nage libre.
Le Français débutera d’ailleurs son week-end sur le 400m nage libre et à en croire l’intéressé, le pire est à craindre. « C'est le moment de tester ce genre de course, la répéter si j'ai pour objectif, par exemple, de faire le 400 crawl aux Jeux de Los Angeles. Il faut que je commence à m'aligner maintenant, parce que je n'ai aucune expérience. Je sais très bien que le premier, ça va être un carnage », a-t-il ainsi confié dans des propos relayés par L’Equipe.
Léon Marchand est dans l’inconnu au moment d’aborder cette distance et le premier danger pour lui est de trop solliciter les jambes dès les premières longueurs. « Si j'ai un conseil à lui donner avant son premier 400 m, c'est d'essayer de ne pas trop utiliser ses jambes au début. C'est ce qu'il aurait tendance à faire, à battre très fort, alors qu'il devra être plus judicieux », a soufflé son entraîneur Bob Bowman.
Léon Marchand a eu une côte fêlée
« Les jambes, c'est ma force, ce qui me fait avancer par rapport aux autres, a confirmé Léon Marchand. C'est difficile pour moi d'accepter de ne pas jouer sur une de mes qualités, mais je sais que sur un 400 m, il faudra être encore plus patient. D'ailleurs, je suis capable de nager vite sans les jambes. En faisant des coulées très fortes, mais à la surface. Je vais essayer ça, et on verra. Ça va être intéressant. »
Et le Toulousain est d’autant plus dans le flou au moment d’aborder ce premier 400 mètres nage libre depuis cinq ans qu’il a dû composer avec une côte fêlée durant sa préparation. « Je ne suis pas bon en ce moment. Je l'ai déjà été, mais avec l'épisode de ma côte fêlée, j'ai fait beaucoup plus de jambes avec Dean. Au niveau des bras, je pense que je prends plus d'eau qu'avant, mais je fatigue plus vite, du coup », a-t-il expliqué.
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