Le porte-drapeau italien hospitalisé
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L’inquiétude est grande pour Gianmarco Tamberi, hospitalisé à trois jours de son entrée en lice aux JO de Paris.
Le porte-drapeau de l’Italie est maudit. Après avoir perdu son alliance dans la Seine lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 le 26 juillet dernier, Gianmarco Tamberi, retourné au pays depuis, est au plus mal en Italie. A un point tel que l’intéressé, spécialiste du saut en hauteur, a dû être hospitalisé.
« Incroyable… Ce n’est pas possible, écrit-il dépité ce dimanche sur les réseaux sociaux. Hier, j’ai ressenti une douleur lancinante au côté. Urgences, scanner, échographie, analyse de sang…. Probable calcul rénal. Et voilà que trois jours avant la course pour laquelle j’ai tout sacrifié, je me retrouve au lit, impuissant, avec une fièvre de 38,8. »
Logiquement, le champion olympique en titre, également détenteur de l’or européen et mondial dans sa discipline, aurait dû rallier Paris ce week-end. « Mais on m’a conseillé de reporter le vol à demain, dans l’espoir qu’avec un peu de repos, ce cauchemar prendra fin. Tout ce que je peux faire, c’est attendre et prier…. Je ne mérite pas cela, j’ai tout fait pour ces Jeux olympiques, tout. Je ne le mérite vraiment pas… »
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Pour autant, Gianmarco Tamberi refuse d’abdiquer. « Une seule chose est sûre, je ne sais pas comment j’y arriverai, mais je serai là sur cette plateforme et je donnerai mon âme jusqu’au dernier saut, quelle que soit ma condition, conclut-il. Je vous le jure, mais avant cela, je me le jure à moi-même ! »
Le porte-drapeau de l’Italie est maudit. Après avoir perdu son alliance dans la Seine lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024 le 26 juillet dernier, Gianmarco Tamberi, retourné au pays depuis, est au plus mal en Italie. A un point tel que l’intéressé, spécialiste du saut en hauteur, a dû être hospitalisé.
« Incroyable… Ce n’est pas possible, écrit-il dépité ce dimanche sur les réseaux sociaux. Hier, j’ai ressenti une douleur lancinante au côté. Urgences, scanner, échographie, analyse de sang…. Probable calcul rénal. Et voilà que trois jours avant la course pour laquelle j’ai tout sacrifié, je me retrouve au lit, impuissant, avec une fièvre de 38,8. »
Aux JO coûte que coûte
Logiquement, le champion olympique en titre, également détenteur de l’or européen et mondial dans sa discipline, aurait dû rallier Paris ce week-end. « Mais on m’a conseillé de reporter le vol à demain, dans l’espoir qu’avec un peu de repos, ce cauchemar prendra fin. Tout ce que je peux faire, c’est attendre et prier…. Je ne mérite pas cela, j’ai tout fait pour ces Jeux olympiques, tout. Je ne le mérite vraiment pas… »
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Pour autant, Gianmarco Tamberi refuse d’abdiquer. « Une seule chose est sûre, je ne sais pas comment j’y arriverai, mais je serai là sur cette plateforme et je donnerai mon âme jusqu’au dernier saut, quelle que soit ma condition, conclut-il. Je vous le jure, mais avant cela, je me le jure à moi-même ! »
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