Léa Salamé, les très lourdes accusations de Pascal Praud sur fond de drogue
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Alors que certains députés ont dû se soumettre à des tests de produits stupéfiants, Pascal Praud souhaiterait faire la même chose sur le plateau de Quelle époque.
L’initiative d’Elice Lucet a provoqué de vives réactions. Dans le cadre d’Envoyé spécial, la présentatrice de France Télévisions s’est en effet rendu à l’Assemblée Nationale pour se livrer à des tests de dépistage de stupéfiants chez les députés français. Si la courte vidéo diffusée sur les réseaux sociaux n’a pas révélé quels députés avaient accepté de se livrer à ce test, la journaliste a précisé que la plupart des élus avaient accepté.
Pour autant, l’initiative a provoqué de vives réactions, Naïma Moutchou, une des vice-présidentes de l’Assemblée et élue Horizons, y voyant une « humiliation pour notre institution » tandis que Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée, a elle envoyé un rappel aux règles à la journaliste, affirmant que « l’Assemblée nationale n’est pas un théâtre où l’on organise des mises en scène ».
La façon de faire de la présentatrice d’Envoyé Spécial a également fait réagir Pascal Praud et ses chroniqueurs. « Et pourquoi pas les journalistes du service public ? », a ainsi lancé Gilles-William Goldnadel, Pascal Praud embrayant en visant de son côté Léa Salamé et son émission Quelle époque. « J'irais bien sur le plateau de télévision d'une émission programmée en fin de semaine sur France 2 avec Elise Lucet. Ça me plairait », a-t-il lancé.
« Pascal Praud sous-entend que les journalistes et les invités de Quelle époque! sur France 2 sont drogués. Léa Salamé appréciera…», n’a pas manqué de s’étonner Julien Bellver sur le plateau de Quotidien alors que Léa Salamé était occupée à répéter ses gammes en vue de la présentation des Victoires de la musique.
A noter que Léa Salamé avait plaisanté du sujet alors qu’elle officiait à la tête de Stupéfiant, le magazine culturel qu’elle présentait de 2016 à 2019. « Je vous rappelle que le titre de l'émission c'est Stupéfiant, donc nous prenons de la drogue », avait-elle lancé, se livrant à une précision de taille : « La culture est une drogue dure. »
L’initiative d’Elice Lucet a provoqué de vives réactions. Dans le cadre d’Envoyé spécial, la présentatrice de France Télévisions s’est en effet rendu à l’Assemblée Nationale pour se livrer à des tests de dépistage de stupéfiants chez les députés français. Si la courte vidéo diffusée sur les réseaux sociaux n’a pas révélé quels députés avaient accepté de se livrer à ce test, la journaliste a précisé que la plupart des élus avaient accepté.
Pour autant, l’initiative a provoqué de vives réactions, Naïma Moutchou, une des vice-présidentes de l’Assemblée et élue Horizons, y voyant une « humiliation pour notre institution » tandis que Yaël Braun-Pivet, la présidente de l’Assemblée, a elle envoyé un rappel aux règles à la journaliste, affirmant que « l’Assemblée nationale n’est pas un théâtre où l’on organise des mises en scène ».
"Léa Salamé appréciera…"
La façon de faire de la présentatrice d’Envoyé Spécial a également fait réagir Pascal Praud et ses chroniqueurs. « Et pourquoi pas les journalistes du service public ? », a ainsi lancé Gilles-William Goldnadel, Pascal Praud embrayant en visant de son côté Léa Salamé et son émission Quelle époque. « J'irais bien sur le plateau de télévision d'une émission programmée en fin de semaine sur France 2 avec Elise Lucet. Ça me plairait », a-t-il lancé.
« Pascal Praud sous-entend que les journalistes et les invités de Quelle époque! sur France 2 sont drogués. Léa Salamé appréciera…», n’a pas manqué de s’étonner Julien Bellver sur le plateau de Quotidien alors que Léa Salamé était occupée à répéter ses gammes en vue de la présentation des Victoires de la musique.
A noter que Léa Salamé avait plaisanté du sujet alors qu’elle officiait à la tête de Stupéfiant, le magazine culturel qu’elle présentait de 2016 à 2019. « Je vous rappelle que le titre de l'émission c'est Stupéfiant, donc nous prenons de la drogue », avait-elle lancé, se livrant à une précision de taille : « La culture est une drogue dure. »
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