Léon Marchand, la mauvaise surprise !
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Auréolé de son premier titre olympique décroché ce dimanche sur le 400 mètres quatre nages, Léon Marchand peut enfin espérer entrer dans la dimension qu’il mérite, selon Camille Lacourt.
Léon Marchand a parfaitement lancé ses Jeux Olympiques. Engagé, dimanche, dans le 400 mètres quatre nages, le Toulousain a décroché son premier titre olympique. Et s’il n’a pas assorti ce premier sacre d’un nouveau record du monde, il a explosé le record olympique de Michael Phelps, devançant son plus proche poursuivant, le Japonais Matsushita Tomoyuki, de près de six secondes. Le début de ses travaux d’Hercule à Paris.
L’élève de Bob Bowman, l’ancien entraîneur d’un certain Michael Phelps est en effet engagé dans trois autres épreuves en individuel, le 200 mètres papillon et le 200 mètres brasse, dont les deux finales auront lieu mercredi, et le 200 mètres quatre nage, avec une finale programmée vendredi. Quatre courses auxquelles il faudra ajouter les relais, dont le 4x100 mètres quatre nages, où les Bleus peuvent espérer décrocher une médaille.
Si Léon Marchand découvre un nouveau monde avec ces Jeux Olympiques organisés à la maison et avec public, contrairement à Tokyo, le nageur a l’habitude d’enchaîner. A Fukoaka, l’an dernier, il avait ainsi remporté trois médailles d’or, faisant encore mieux que l’année précédente à Budapest, où il avait décroché ses deux premiers titres. Des performances exceptionnelles qui n’ont pas eu le retentissement qu’ils méritaient, selon Camille Lacourt.
«Léon a déjà décroché cinq titres de champion du monde eu deux ans mais sa notoriété est encore très timide », a-t-il déploré auprès du Journal du Dimanche, espérant que ces JO 2024 lui offre cette consécration: « Cette semaine, il peut tout exploser. Et là, j’espère que tout le monde réalisera qu’il est le plus grand nageur français de tous les temps. » Et selon l’ancien spécialiste du dos, le meilleur est encore à venir.
« Quand on sait que ce garçon n’est pas encore à maturité et que sa marge de progression reste colossale. Dans quatre ans il sera encore plus fort, a-t-il asséné. Alors, profitons du spectacle qu’il va nous offrir dans le bassin olympique de l’Arena La Défense. »
Léon Marchand a parfaitement lancé ses Jeux Olympiques. Engagé, dimanche, dans le 400 mètres quatre nages, le Toulousain a décroché son premier titre olympique. Et s’il n’a pas assorti ce premier sacre d’un nouveau record du monde, il a explosé le record olympique de Michael Phelps, devançant son plus proche poursuivant, le Japonais Matsushita Tomoyuki, de près de six secondes. Le début de ses travaux d’Hercule à Paris.
L’élève de Bob Bowman, l’ancien entraîneur d’un certain Michael Phelps est en effet engagé dans trois autres épreuves en individuel, le 200 mètres papillon et le 200 mètres brasse, dont les deux finales auront lieu mercredi, et le 200 mètres quatre nage, avec une finale programmée vendredi. Quatre courses auxquelles il faudra ajouter les relais, dont le 4x100 mètres quatre nages, où les Bleus peuvent espérer décrocher une médaille.
Léon Marchand, une notoriété encore "très timide"
Si Léon Marchand découvre un nouveau monde avec ces Jeux Olympiques organisés à la maison et avec public, contrairement à Tokyo, le nageur a l’habitude d’enchaîner. A Fukoaka, l’an dernier, il avait ainsi remporté trois médailles d’or, faisant encore mieux que l’année précédente à Budapest, où il avait décroché ses deux premiers titres. Des performances exceptionnelles qui n’ont pas eu le retentissement qu’ils méritaient, selon Camille Lacourt.
«Léon a déjà décroché cinq titres de champion du monde eu deux ans mais sa notoriété est encore très timide », a-t-il déploré auprès du Journal du Dimanche, espérant que ces JO 2024 lui offre cette consécration: « Cette semaine, il peut tout exploser. Et là, j’espère que tout le monde réalisera qu’il est le plus grand nageur français de tous les temps. » Et selon l’ancien spécialiste du dos, le meilleur est encore à venir.
« Quand on sait que ce garçon n’est pas encore à maturité et que sa marge de progression reste colossale. Dans quatre ans il sera encore plus fort, a-t-il asséné. Alors, profitons du spectacle qu’il va nous offrir dans le bassin olympique de l’Arena La Défense. »
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