Les Bleues enchaînent face aux Pays-Bas
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Victorieuses à deux reprises de l'Allemagne au début du mois du mois dernier, les Bleues, sur leur lancée, ont surclassé jeudi les Pays-Bas à Trélizé (31-25) grâce notamment à un excellent match d'Hatadou Sako, élue joueuse du match, dans sa cage.
Les Bleues enchaînent après l'Allemagne. Victorieuses des deux matchs du mois de mars dernier qui les avaient opposées aux Allemandes, les Françaises ont aligné une troisième victoire (31-25), ce jeudi sur le parquet de l'Arena Loire de Trélazé lors du premier match entre les deux équipes avant une deuxième rencontre, également amicale, programmée samedi à Chartres. Sans Estelle Nze Minko et avec une équipe considérablement rajeunie à l'image de ce groupe que Sébastien Gardillou a souhaité renouveler, l'équipe de France a confirmé les promesses nées de la double confrontation contre l'Allemagne.
Sur le plan de l'intensité ainsi que de l'énergie collective en premier lieu, Méline Nocandy et ses coéquipières ont rendu une très belle copie. Elle doit certes à la puissance de feu des Bleues comme à leur solidité offensive mais également aux prouesses de leurs gardiennes dans la cage. Si les quatrièmes du dernier Euro ont pu rapidement s'offrir un matelas confortable de cinq buts en première mi-temps et ont ensuite résisté à la belle réaction de Néerlandaises constamment menaçantes et à l'affût qui avaient encore appuyé sur l'accélérateur au retour des vestiaires pour revenir à hauteur avant que les Françaises ne reprennent très vite leurs distances, elles le doivent pour beaucoup à une Hatadou Sako phénoménale dans son but.
Logiquement élue joueuse du match, la gardienne numéro 1 des Bleues a fait un malheur en première mi-temps, avec douze arrêts sur ses quinze de la rencontre. Floriane André s'est d'ailleurs parfaitement mise au diapason de sa partenaire. Ainsi en fin de match alors que les Pays-Bas étaient revenus une nouvelle fois à -3, la portière de Brest a réalisé les parades qu'il fallait et exploitées par Lylou Borg notamment pour redonner cinq buts d'avance à la France. Un ultime but de Suzanne Wajoka, qui trouvait la lucarne, a même permis de boucler la rencontre sur un écart de six buts, plus gros écart de la partie. Tout un symbole.
Les Bleues enchaînent après l'Allemagne. Victorieuses des deux matchs du mois de mars dernier qui les avaient opposées aux Allemandes, les Françaises ont aligné une troisième victoire (31-25), ce jeudi sur le parquet de l'Arena Loire de Trélazé lors du premier match entre les deux équipes avant une deuxième rencontre, également amicale, programmée samedi à Chartres. Sans Estelle Nze Minko et avec une équipe considérablement rajeunie à l'image de ce groupe que Sébastien Gardillou a souhaité renouveler, l'équipe de France a confirmé les promesses nées de la double confrontation contre l'Allemagne.
Sur le plan de l'intensité ainsi que de l'énergie collective en premier lieu, Méline Nocandy et ses coéquipières ont rendu une très belle copie. Elle doit certes à la puissance de feu des Bleues comme à leur solidité offensive mais également aux prouesses de leurs gardiennes dans la cage. Si les quatrièmes du dernier Euro ont pu rapidement s'offrir un matelas confortable de cinq buts en première mi-temps et ont ensuite résisté à la belle réaction de Néerlandaises constamment menaçantes et à l'affût qui avaient encore appuyé sur l'accélérateur au retour des vestiaires pour revenir à hauteur avant que les Françaises ne reprennent très vite leurs distances, elles le doivent pour beaucoup à une Hatadou Sako phénoménale dans son but.
Une Sako de gala !
Logiquement élue joueuse du match, la gardienne numéro 1 des Bleues a fait un malheur en première mi-temps, avec douze arrêts sur ses quinze de la rencontre. Floriane André s'est d'ailleurs parfaitement mise au diapason de sa partenaire. Ainsi en fin de match alors que les Pays-Bas étaient revenus une nouvelle fois à -3, la portière de Brest a réalisé les parades qu'il fallait et exploitées par Lylou Borg notamment pour redonner cinq buts d'avance à la France. Un ultime but de Suzanne Wajoka, qui trouvait la lucarne, a même permis de boucler la rencontre sur un écart de six buts, plus gros écart de la partie. Tout un symbole.
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