Les folles dépenses de Teddy Riner
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Installé à Marrakech depuis plusieurs mois, Teddy Riner ne regarde visiblement pas à la dépense au Maroc.
Teddy Riner ne s’est pas éternisé à Paris après son nouvel exploit aux Jeux Olympiques. Fêté depuis deux jours dans la capitale après avoir décroché deux nouvelles médailles d’or olympique, chez les poids lourds et dans le tournoi par équipes, le judoka le plus titré de l’histoire a en effet filé en Guadeloupe pour fêter ses deux titres auprès de ses « confrères ».
Et s’il est encore attendu, dimanche, pour la cérémonie de clôture des Jeux, le Guadeloupéen pourra ensuite s’accorder des vacances bien méritées. Il choisira peut-être de rentrer à Marrakech, son nouveau chez lui. « J’ai besoin de douceur, de sérénité et de tranquillité pour encaisser les importantes doses de travail que je m’inflige, loin de la pression parisienne », a-t-il justifié auprès de Gala, ajoutant : « J’aime cette ville, ce pays, le Maroc. Il y fait beau, j’ai des conditions d’entraînement et de vie idéales, et des adversaires marocains et français qui me challengent au quotidien. Avec l’âge, j’ai compris que mon cadre de vie était essentiel dans ma réussite. »
Teddy Riner mène la belle vie au Maroc, comme il l’admet lui-même. « J’aime cette ville, ce pays, le Maroc. Il y fait beau, j’ai des conditions d’entraînement et de vie idéales, et des adversaires marocains et français qui me challengent au quotidien. Avec l’âge, j’ai compris que mon cadre de vie était essentiel dans ma réussite, avait-il expliqué au magazine 66 minutes. On fait une petite balade, on mange là-bas. Ça fait du bien avant de partir sur le prochain entraînement. »
Et pour se faire plaisir, le poids lourd ne regarde pas à la dépense. En attendant que sa maison soit construite, Teddy Riner et sa famille logent en effet au Royal Mansour, l’un des plus beaux palaces du roi Mohammed VI. « Pour le mois de mai, le site de l’hôtel propose la suite familiale à 4 500 euros la nuit », expliquait ainsi Le Monde au printemps. Et lorsqu’il s’agit de se déplacer dans les rues de Marrakech, Teddy Riner passe « à toute berzingue, par une route défoncée » d’une Rolls-Royce à une Maserati.
Teddy Riner ne s’est pas éternisé à Paris après son nouvel exploit aux Jeux Olympiques. Fêté depuis deux jours dans la capitale après avoir décroché deux nouvelles médailles d’or olympique, chez les poids lourds et dans le tournoi par équipes, le judoka le plus titré de l’histoire a en effet filé en Guadeloupe pour fêter ses deux titres auprès de ses « confrères ».
Et s’il est encore attendu, dimanche, pour la cérémonie de clôture des Jeux, le Guadeloupéen pourra ensuite s’accorder des vacances bien méritées. Il choisira peut-être de rentrer à Marrakech, son nouveau chez lui. « J’ai besoin de douceur, de sérénité et de tranquillité pour encaisser les importantes doses de travail que je m’inflige, loin de la pression parisienne », a-t-il justifié auprès de Gala, ajoutant : « J’aime cette ville, ce pays, le Maroc. Il y fait beau, j’ai des conditions d’entraînement et de vie idéales, et des adversaires marocains et français qui me challengent au quotidien. Avec l’âge, j’ai compris que mon cadre de vie était essentiel dans ma réussite. »
4 500 euros la nuit
Teddy Riner mène la belle vie au Maroc, comme il l’admet lui-même. « J’aime cette ville, ce pays, le Maroc. Il y fait beau, j’ai des conditions d’entraînement et de vie idéales, et des adversaires marocains et français qui me challengent au quotidien. Avec l’âge, j’ai compris que mon cadre de vie était essentiel dans ma réussite, avait-il expliqué au magazine 66 minutes. On fait une petite balade, on mange là-bas. Ça fait du bien avant de partir sur le prochain entraînement. »
Et pour se faire plaisir, le poids lourd ne regarde pas à la dépense. En attendant que sa maison soit construite, Teddy Riner et sa famille logent en effet au Royal Mansour, l’un des plus beaux palaces du roi Mohammed VI. « Pour le mois de mai, le site de l’hôtel propose la suite familiale à 4 500 euros la nuit », expliquait ainsi Le Monde au printemps. Et lorsqu’il s’agit de se déplacer dans les rues de Marrakech, Teddy Riner passe « à toute berzingue, par une route défoncée » d’une Rolls-Royce à une Maserati.
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