Ligue des champions: Le PSG se rassure contre Fredericia
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Battu en Ligue des champions lors de la dernière journée, tenu en échec en championnat, le Paris Saint-Germain a retrouvé le goût de la victoire ce mercredi soir au Danemark contre Fredericia (32-38). Le succès du club de la capitale a été compliqué mais lui permet d’obtenir provisoirement son billet direct pour les quarts de finale.
On sent le Paris Saint-Germain un peu en délicatesse en ce moment au regard de ses prestations. Dernièrement en tout cas, le club de la capitale a montré des signes d’alerte, que ce soit en championnat ou en Ligue des champions. En Liqui Molly Starligue justement, les joueurs de Raul Gonzalez sont restés sur un match nul contre Dunkerque (27-27), quelques jours seulement après un dur revers en Europe contre le Wisla Plock (28-31).
Cette fois ce mercredi soir, dans la salle danoise de Fredericia, le PSG s’en est mieux sorti puisqu’il est reparti de Scandinavie avec un succès (32-38). Néanmoins, ce dernier a été plus que difficile à obtenir et il a fallu une deuxième période de meilleure facture pour décrocher la victoire et non une nouvelle débâcle.
Face à Fredericia, dernier du groupe A avec une seule victoire en onze rencontres, le PSG a d’abord affiché un pâle visage, pas forcément aidé par son gardien Green (6/42 soit 23 % d’arrêts) mais en vie grâce notamment à Elohim Prandi (6 buts).
En première période, Paris n’a pas montré grand chose si ce n’est qu’il était vraiment en difficulté ces derniers temps. Et ce constat n’a pas échappé à son adversaire qui l’a pris au cou d’entrée pour conclure le premier acte avec un but d’avance (17-16). En seconde période, la bande à Raul Gonzalez a remis les bouchées doubles dans le sillage d’un Kamil Syprzak concerné (10 buts) et surtout avec une défense au niveau marquée par l’entrée en jeu d’Andreas Palicka dans le but.
Dos à dos à 19 minutes de la fin de la partie (23-23), le PSG a serré le jeu et a creusé l’écart au tableau d’affichage. À noter qu’au cours de la soirée, Elohim Prandi a marqué son 300ème but en Ligue des champions avec Paris. Le PSG lui, s’est replacé provisoirement à la deuxième place de son groupe. Mais une chose est sûre, il en faudra beaucoup plus à l’avenir pour espérer aller loin dans la compétition.
On sent le Paris Saint-Germain un peu en délicatesse en ce moment au regard de ses prestations. Dernièrement en tout cas, le club de la capitale a montré des signes d’alerte, que ce soit en championnat ou en Ligue des champions. En Liqui Molly Starligue justement, les joueurs de Raul Gonzalez sont restés sur un match nul contre Dunkerque (27-27), quelques jours seulement après un dur revers en Europe contre le Wisla Plock (28-31).
Cette fois ce mercredi soir, dans la salle danoise de Fredericia, le PSG s’en est mieux sorti puisqu’il est reparti de Scandinavie avec un succès (32-38). Néanmoins, ce dernier a été plus que difficile à obtenir et il a fallu une deuxième période de meilleure facture pour décrocher la victoire et non une nouvelle débâcle.
Face à Fredericia, dernier du groupe A avec une seule victoire en onze rencontres, le PSG a d’abord affiché un pâle visage, pas forcément aidé par son gardien Green (6/42 soit 23 % d’arrêts) mais en vie grâce notamment à Elohim Prandi (6 buts).
Palicka en sauveur
En première période, Paris n’a pas montré grand chose si ce n’est qu’il était vraiment en difficulté ces derniers temps. Et ce constat n’a pas échappé à son adversaire qui l’a pris au cou d’entrée pour conclure le premier acte avec un but d’avance (17-16). En seconde période, la bande à Raul Gonzalez a remis les bouchées doubles dans le sillage d’un Kamil Syprzak concerné (10 buts) et surtout avec une défense au niveau marquée par l’entrée en jeu d’Andreas Palicka dans le but.
Dos à dos à 19 minutes de la fin de la partie (23-23), le PSG a serré le jeu et a creusé l’écart au tableau d’affichage. À noter qu’au cours de la soirée, Elohim Prandi a marqué son 300ème but en Ligue des champions avec Paris. Le PSG lui, s’est replacé provisoirement à la deuxième place de son groupe. Mais une chose est sûre, il en faudra beaucoup plus à l’avenir pour espérer aller loin dans la compétition.
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