M6, Dugarry répond au scandale !

Publié le , mis à jour le
Christophe Dugarry a répondu à ses détracteurs suite à ses commentaires sur M6 lors du quart de finale entre la France et le Portugal.
Les Bleus croulent sous les critiques depuis le début de l’Euro. La France a beau être au rendez-vous des demi-finales, où l’attend un choc majuscule face à l’Espagne, la qualité de son jeu laisse totalement à désirer. De quoi donc lui valoir des commentaires acerbe. Et si sur TF1, Bixente Lizarazu parvient globalement à en faire abstraction, il en est tout autrement de Christophe Dugarry au micro de M6.
Vendredi, alors qu’il officiait aux commentaires du quart de finale entre la France et le Portugal, l’ancien Bordelais n’a pas épargné les Bleus, ni, évidemment, Didier Deschamps. « J’ose espérer qu’un jour on ait un jeu alléchant, un jeu spectaculaire, un jeu de joueurs qui se projettent, qui ont envie de marquer un but de plus que l’adversaire, a-t-il ainsi soufflé. J’y crois toujours, peut-être obstinément et de manière ridicule, bon… Ce n’est pas grave, le ridicule ne tue pas. »
Surtout, le champion du monde 98 a semblé bien plus emballé par le jeu des Portugais, qui n’ont pourtant pas été très enthousiasmants. De quoi lui valoir de sévères critiques auxquelles il a répondu au micro de RMC, lundi. « Je pense que deux visions du football s’opposent. Ceux pour qui le résultat est plus important que tout le reste. Et d’autres qui défendent une vision du foot qui est celle du plaisir et du 'beau jeu' qu’ils préfèrent et qu’ils aiment », a-t-il expliqué.
« Je pense qu’il ne faut pas opposer les uns aux autres. Moi j’ai subi dernièrement des critiques parce qu’on m’a reproché d’être trop supporteur du Portugal lors du match contre la France. Ok, pourquoi pas, les gens ont peut-être ressenti ça. Et j’ai envie de leur dire que mon métier ce n’est pas d’être supporteur, c’est de faire passer des émotions », a-t-il poursuivi, ajoutant encore : « Parce que tout ça c’est une question de plaisir et d’émotions. Mais le plaisir et les émotions sont différentes pour tout le monde. Moi, l’émotion et le plaisir que j’ai dans le football c’est de voir du jeu, c’est de voir des initiatives, c’est de voir du rythme, c’est de voir de l’intensité. C’est ma vision du foot avec en plus la technique qui vient se mettre là-dedans. On parle souvent d’émotion dans le football, je défends ce qui me donne de l’émotion et ce qui me fait kiffer.»
« Je vais voir un match ou je regarde un match en me disant que j’ai envie de me régaler, j’ai envie de prendre du plaisir, j’ai envie de voir un beau match. Il s’avère que si l’équipe pour laquelle j’ai plus d’affinités est excellente et en plus elle gagne le match alors j’ai les poils qui se hérissent, a-t-il encore souligné. Par contre, aller voir un match qui est pourave, où je m’ennuie et à la fin mon équipe gagne 1-0 sur un but tout pourri ou un CSC, je n’arrive pas à kiffer. Ça ne me plait pas, ce n’est pas ma sensibilité. »
Les Bleus croulent sous les critiques depuis le début de l’Euro. La France a beau être au rendez-vous des demi-finales, où l’attend un choc majuscule face à l’Espagne, la qualité de son jeu laisse totalement à désirer. De quoi donc lui valoir des commentaires acerbe. Et si sur TF1, Bixente Lizarazu parvient globalement à en faire abstraction, il en est tout autrement de Christophe Dugarry au micro de M6.
Vendredi, alors qu’il officiait aux commentaires du quart de finale entre la France et le Portugal, l’ancien Bordelais n’a pas épargné les Bleus, ni, évidemment, Didier Deschamps. « J’ose espérer qu’un jour on ait un jeu alléchant, un jeu spectaculaire, un jeu de joueurs qui se projettent, qui ont envie de marquer un but de plus que l’adversaire, a-t-il ainsi soufflé. J’y crois toujours, peut-être obstinément et de manière ridicule, bon… Ce n’est pas grave, le ridicule ne tue pas. »
Surtout, le champion du monde 98 a semblé bien plus emballé par le jeu des Portugais, qui n’ont pourtant pas été très enthousiasmants. De quoi lui valoir de sévères critiques auxquelles il a répondu au micro de RMC, lundi. « Je pense que deux visions du football s’opposent. Ceux pour qui le résultat est plus important que tout le reste. Et d’autres qui défendent une vision du foot qui est celle du plaisir et du 'beau jeu' qu’ils préfèrent et qu’ils aiment », a-t-il expliqué.
"J’ai envie de prendre du plaisir, j’ai envie de voir un beau match"
« Je pense qu’il ne faut pas opposer les uns aux autres. Moi j’ai subi dernièrement des critiques parce qu’on m’a reproché d’être trop supporteur du Portugal lors du match contre la France. Ok, pourquoi pas, les gens ont peut-être ressenti ça. Et j’ai envie de leur dire que mon métier ce n’est pas d’être supporteur, c’est de faire passer des émotions », a-t-il poursuivi, ajoutant encore : « Parce que tout ça c’est une question de plaisir et d’émotions. Mais le plaisir et les émotions sont différentes pour tout le monde. Moi, l’émotion et le plaisir que j’ai dans le football c’est de voir du jeu, c’est de voir des initiatives, c’est de voir du rythme, c’est de voir de l’intensité. C’est ma vision du foot avec en plus la technique qui vient se mettre là-dedans. On parle souvent d’émotion dans le football, je défends ce qui me donne de l’émotion et ce qui me fait kiffer.»
« Je vais voir un match ou je regarde un match en me disant que j’ai envie de me régaler, j’ai envie de prendre du plaisir, j’ai envie de voir un beau match. Il s’avère que si l’équipe pour laquelle j’ai plus d’affinités est excellente et en plus elle gagne le match alors j’ai les poils qui se hérissent, a-t-il encore souligné. Par contre, aller voir un match qui est pourave, où je m’ennuie et à la fin mon équipe gagne 1-0 sur un but tout pourri ou un CSC, je n’arrive pas à kiffer. Ça ne me plait pas, ce n’est pas ma sensibilité. »
Publicité