Matthieu Lartot, la grosse frayeur
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Avant de commenter les Jeux Olympiques pour France Télévisions, Matthieu Lartot a vécu une expérience incroyable en participant à Fort Boyard, où il voulait absolument éviter certaines épreuves.
Avant de laisser place aux Jeux Olympiques de Paris 2024 durant trois semaines, Fort Boyard proposait une émission spéciale JO samedi dernier. Et ce fut un carton ! L’équipe emmenée par le journaliste de France Télévisions Matthieu Lartot, pour son association Debout en bouts, a récolté 20 545 euros. Il faut dire que les championnes et champions Emilie Andeol, Sarah Ourahmoune, Brahim Asloum, Jérôme Fernandez et Vincent Clerc étaient absolument déterminés lors de leur passage au large de l'île de l'Oléron.
Matthieu Lartot, amputé d'une jambe à la suite d'un cancer du genou, a vécu une journée somme toute incroyable, éprouvante physiquement avec des dizaines d’escaliers à monter et descendre, comme il le raconte dans une interview à Gala.fr. La production l’a parfaitement assisté durant le tournage et même lors d’une épreuve qui a fini dans l’eau. Le monsieur rugby de France Télévisions a logiquement été dispensé de certaines épreuves, et a essayé « d’être un capitaine exemplaire en motivant les troupes quand il le fallait ».
Le journaliste de 44 ans ne redoutait que certaines situations. « Tout ce qui concerne la claustrophobie me terrifiait. Je suis claustro à mort ! J’espérais ne pas vivre une épreuve enfermé edans des catacombes ou dans une cabine téléphonique et être envoyé à cinquante mètres en l’air. Fort heureusement, je n’ai pas eu à vivre ça. Je m’en suis bien tiré », s'amuse Matthieu Lartot, qui a quand même dû passer par l'épreuve de « la dégustation » avec le cuisinier Willy Rovelli.
En tout cas, Lartot est en forme physiquement avant de commenter les JO (et pas le rugby à 7): « J’ai des douleurs physiques liées au handicap car, quand on marche avec une prothèse, on sollicite beaucoup son corps. Il y a donc des petites douleurs comme ça de temps en temps mais rien de comparable avec les douleurs que j’ai eu pendant vingt-cinq ans. D’un point de vue purement médical, tout va très bien. Je suis suivi tous les trois mois. Depuis un an, tous les examens de contrôle sont bons. Donc tout va très bien ! » De superbes nouvelles.
Avant de laisser place aux Jeux Olympiques de Paris 2024 durant trois semaines, Fort Boyard proposait une émission spéciale JO samedi dernier. Et ce fut un carton ! L’équipe emmenée par le journaliste de France Télévisions Matthieu Lartot, pour son association Debout en bouts, a récolté 20 545 euros. Il faut dire que les championnes et champions Emilie Andeol, Sarah Ourahmoune, Brahim Asloum, Jérôme Fernandez et Vincent Clerc étaient absolument déterminés lors de leur passage au large de l'île de l'Oléron.
Matthieu Lartot, amputé d'une jambe à la suite d'un cancer du genou, a vécu une journée somme toute incroyable, éprouvante physiquement avec des dizaines d’escaliers à monter et descendre, comme il le raconte dans une interview à Gala.fr. La production l’a parfaitement assisté durant le tournage et même lors d’une épreuve qui a fini dans l’eau. Le monsieur rugby de France Télévisions a logiquement été dispensé de certaines épreuves, et a essayé « d’être un capitaine exemplaire en motivant les troupes quand il le fallait ».
Matthieu Lartot claustrophobe
Le journaliste de 44 ans ne redoutait que certaines situations. « Tout ce qui concerne la claustrophobie me terrifiait. Je suis claustro à mort ! J’espérais ne pas vivre une épreuve enfermé edans des catacombes ou dans une cabine téléphonique et être envoyé à cinquante mètres en l’air. Fort heureusement, je n’ai pas eu à vivre ça. Je m’en suis bien tiré », s'amuse Matthieu Lartot, qui a quand même dû passer par l'épreuve de « la dégustation » avec le cuisinier Willy Rovelli.
En tout cas, Lartot est en forme physiquement avant de commenter les JO (et pas le rugby à 7): « J’ai des douleurs physiques liées au handicap car, quand on marche avec une prothèse, on sollicite beaucoup son corps. Il y a donc des petites douleurs comme ça de temps en temps mais rien de comparable avec les douleurs que j’ai eu pendant vingt-cinq ans. D’un point de vue purement médical, tout va très bien. Je suis suivi tous les trois mois. Depuis un an, tous les examens de contrôle sont bons. Donc tout va très bien ! » De superbes nouvelles.
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