Ngapeth: "C'est dingue, c'est un rêve"
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A l’issue de la victoire écrasante des Bleus face à l’Italie lors des demi-finales du tournoi olympique, Earvin Ngapeth a mis en avant la qualité du jeu de l’équipe de France, qui a imposé ses principes à la rencontre contre des Italiens qu’il ne fallait jamais sous-estimer.
Les Bleus sont à une marche d’un doublé olympique. Face à l’Italie, les joueurs d’Andrea Giani ont donné une véritable leçon avec une victoire en trois manches qui ne souffre d’aucune contestation. A l’issue de la rencontre, Earvin Ngapeth a reconnu qu’« il fallait faire un match extraordinaire » pour remporter cette demi-finale avec une telle marge. « On s'est vraiment bien préparé, on ne s'est jamais affolé, a affirmé le réceptionneur-attaquant de l’équipe de France dans des propos recueillis par le quotidien Le Figaro. On les a fait déjouer rapidement et on ne les a plus lâchés. Même quand c'était pour un point, même quand ils servaient, on n'a jamais lâché. »
A ses yeux, les Bleus ont « vraiment joué à la française », avec « très peu de fautes » et un service très performant. « On a respecté le plan du bloc et de la défense tout le match », a-t-il ajouté. Ce succès face à la Squadra Azzurra permet à l’équipe de France de rejoindre la Pologne en finale et de défendre jusqu’au bout la médaille d’or remportée à Tokyo il y at trois ans. « C'est dingue. C'est un rêve, s’est réjoui Earvin Ngapeth. Défendre un titre olympique à la maison c'est incroyable, on a la chance de pouvoir le faire. »
Toutefois, face aux Polonais, ce sera « encore une bagarre avec le public pour avoir la plus belle des médailles et garder l'or à la maison ». Avec 15 points au compteur, le joueur d’Ankara a retrouvé de l’allant en attaque et admet que cela vient d’un changement d’approche. « C'est le premier match où je joue plus avec ma tête plutôt que d'y aller avec la puissance, a confié le réceptionneur-attaquant des Bleus. A l'attaque, j'avais eu du mal sur les débuts de match. Et l'Italie se nourrit du bloc. Le mot d'ordre c'était de jouer avec la tête, pas de passer en puissance. »
A l’image de leur remontée fantastique contre l’Allemagne, l’Italie avait arraché sa place dans le dernier carré après avoir été menée deux manches à rien par le Japon. Un scenario qui pouvait hanter les Bleus après le gain de la deuxième manche. « Même à 2-0, ils ne sont jamais finis, a affirmé Earvin Ngapeth. C'était le mot d'ordre au troisième set: encore plus focus que les deux d'avant. Il fallait qu'on reste concentré et qu'on continue de respecter le plan de jeu. » Place maintenant à la récupération avant une finale qui promet d’être électrique devant un public acquis à la cause des Bleus.
Les Bleus sont à une marche d’un doublé olympique. Face à l’Italie, les joueurs d’Andrea Giani ont donné une véritable leçon avec une victoire en trois manches qui ne souffre d’aucune contestation. A l’issue de la rencontre, Earvin Ngapeth a reconnu qu’« il fallait faire un match extraordinaire » pour remporter cette demi-finale avec une telle marge. « On s'est vraiment bien préparé, on ne s'est jamais affolé, a affirmé le réceptionneur-attaquant de l’équipe de France dans des propos recueillis par le quotidien Le Figaro. On les a fait déjouer rapidement et on ne les a plus lâchés. Même quand c'était pour un point, même quand ils servaient, on n'a jamais lâché. »
A ses yeux, les Bleus ont « vraiment joué à la française », avec « très peu de fautes » et un service très performant. « On a respecté le plan du bloc et de la défense tout le match », a-t-il ajouté. Ce succès face à la Squadra Azzurra permet à l’équipe de France de rejoindre la Pologne en finale et de défendre jusqu’au bout la médaille d’or remportée à Tokyo il y at trois ans. « C'est dingue. C'est un rêve, s’est réjoui Earvin Ngapeth. Défendre un titre olympique à la maison c'est incroyable, on a la chance de pouvoir le faire. »
Ngapeth: « Même à 2-0, ils ne sont jamais finis »
Toutefois, face aux Polonais, ce sera « encore une bagarre avec le public pour avoir la plus belle des médailles et garder l'or à la maison ». Avec 15 points au compteur, le joueur d’Ankara a retrouvé de l’allant en attaque et admet que cela vient d’un changement d’approche. « C'est le premier match où je joue plus avec ma tête plutôt que d'y aller avec la puissance, a confié le réceptionneur-attaquant des Bleus. A l'attaque, j'avais eu du mal sur les débuts de match. Et l'Italie se nourrit du bloc. Le mot d'ordre c'était de jouer avec la tête, pas de passer en puissance. »
A l’image de leur remontée fantastique contre l’Allemagne, l’Italie avait arraché sa place dans le dernier carré après avoir été menée deux manches à rien par le Japon. Un scenario qui pouvait hanter les Bleus après le gain de la deuxième manche. « Même à 2-0, ils ne sont jamais finis, a affirmé Earvin Ngapeth. C'était le mot d'ordre au troisième set: encore plus focus que les deux d'avant. Il fallait qu'on reste concentré et qu'on continue de respecter le plan de jeu. » Place maintenant à la récupération avant une finale qui promet d’être électrique devant un public acquis à la cause des Bleus.
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