Noël : « C'est magique ! »
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Publié le , mis à jour le
Entré à 27 ans dans la légende du ski français en s'imposant dimanche sur le slalom de la mythique piste de Kitzbühel, Clément Noël était aux anges après cette victoire sur des pentes qui ne lui avaient pas vraiment réussi jusque là.
Déloger Jean-Noël Augert et ses treize victoires. L'exploit réussi dimanche en Autriche par Clément Noël, vainqueur du slalom sur la mythique piste de Kitzbühel en coiffant l'Italien Alex Vinatzer pour neuf centièmes, est tout simplement prodigieux. Nouveau recordman de victoires en Coupe du monde dans la spécialité pour un skieur Français, le Vosgien, qui compte désormais quatre succès à son compteur cet hiver alors qu'il n'occupait que la quatrième place (à trente centièmes de la première place, alors occupée par le Suédois Kristoffer Jakobsen) à l'issue de la première manche dimanche, était ravi après-coup d'avoir enfin brillé sur cette piste qui ne lui avait pratiquement jamais souri jusqu'alors (NDLR : Il s'y était déjà imposé, mais cela remontait à 2019).
"Je suis hyper hyper content de m'en sortie avec la victoire. C'est vraiment une course sur laquelle j'avais été frustré ces dernières années. C'est une course qui me tient à cœur et j'ai fait trop d'erreurs ces derniers temps, donc d'avoir réussi cette année à faire deux bonnes manches qui m'amènent tout devant, c'est magique !", savourait le nouveau roi des piquets tricolore, dossard 4 dimanche, sans cacher qu'il attendait énormément de ce rendez-vous, sans savoir qui plus est que le contexte s'avérerait parfait.
"C'était une des courses que j'avais cochées en début de saison, parce que c'est peut-être la plus importante pour nous, la plus belle, la plus mythique. La descente de Kitzbühel est mythique, mais le slalom, c'est quand même très très beau aussi. Il y avait une belle ambiance malgré la pluie, il y avait des Français en feu, parce que nous étions beaucoup en deuxième manche (NDLR : Sébastien Amiez, Victor Muffat-Jeandet, Hugo Desgrippes, Paco Rassat avaient tous réussi à se qualifier pour cet acte II)."
Quant à la possibilité de décrocher pour la première fois de sa carrière - après trois deuxièmes places, en 2019, 2020 et 2021 - le petit globe de cristal du slalom, Nöel assure qu'il ne s'y attarde pas plus que cela. "Je ne regarde pas ça, j’essaye de gagner des courses, car si tu essayes de calculer, c’est là que tu arrives cinquième en bas (...) La saison est encore longue, il reste quatre courses de Coupe du monde et les Mondiaux (4-16 février à Saalbach). Rien n’est fait mais je serai dans la bataille, donc on verra."
Déloger Jean-Noël Augert et ses treize victoires. L'exploit réussi dimanche en Autriche par Clément Noël, vainqueur du slalom sur la mythique piste de Kitzbühel en coiffant l'Italien Alex Vinatzer pour neuf centièmes, est tout simplement prodigieux. Nouveau recordman de victoires en Coupe du monde dans la spécialité pour un skieur Français, le Vosgien, qui compte désormais quatre succès à son compteur cet hiver alors qu'il n'occupait que la quatrième place (à trente centièmes de la première place, alors occupée par le Suédois Kristoffer Jakobsen) à l'issue de la première manche dimanche, était ravi après-coup d'avoir enfin brillé sur cette piste qui ne lui avait pratiquement jamais souri jusqu'alors (NDLR : Il s'y était déjà imposé, mais cela remontait à 2019).
"Je suis hyper hyper content de m'en sortie avec la victoire. C'est vraiment une course sur laquelle j'avais été frustré ces dernières années. C'est une course qui me tient à cœur et j'ai fait trop d'erreurs ces derniers temps, donc d'avoir réussi cette année à faire deux bonnes manches qui m'amènent tout devant, c'est magique !", savourait le nouveau roi des piquets tricolore, dossard 4 dimanche, sans cacher qu'il attendait énormément de ce rendez-vous, sans savoir qui plus est que le contexte s'avérerait parfait.
Noël : "Le classement général ? Je ne regarde pas ça"
"C'était une des courses que j'avais cochées en début de saison, parce que c'est peut-être la plus importante pour nous, la plus belle, la plus mythique. La descente de Kitzbühel est mythique, mais le slalom, c'est quand même très très beau aussi. Il y avait une belle ambiance malgré la pluie, il y avait des Français en feu, parce que nous étions beaucoup en deuxième manche (NDLR : Sébastien Amiez, Victor Muffat-Jeandet, Hugo Desgrippes, Paco Rassat avaient tous réussi à se qualifier pour cet acte II)."
Quant à la possibilité de décrocher pour la première fois de sa carrière - après trois deuxièmes places, en 2019, 2020 et 2021 - le petit globe de cristal du slalom, Nöel assure qu'il ne s'y attarde pas plus que cela. "Je ne regarde pas ça, j’essaye de gagner des courses, car si tu essayes de calculer, c’est là que tu arrives cinquième en bas (...) La saison est encore longue, il reste quatre courses de Coupe du monde et les Mondiaux (4-16 février à Saalbach). Rien n’est fait mais je serai dans la bataille, donc on verra."
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