Nouvel échec pour les Bleus

Publié le , mis à jour le
Tandis que le monstrueux et insatiable Johannes Klaebo s'est offert une nouvelle médaille d'or, ce jeudi avec la Norvège lors des Mondiaux de Trondheim sur le relais hommes, l'équipe de France, 4eme comme cela avait déjà été le cas il y a deux ans, ne compte toujours aucune médaille après une semaine de compétition.
Si l'équipe de France de ski de fond avait pour objectif avant de s'envoler pour Trondheim (Norvège) et ces Mondiaux de rendre un zéro pointé semblable à celui de son homologue du ski alpin il y a quelques semaines du côté de Saalbach, elle semble bien partie. Après une semaine de compétition, les Bleus sont en effet toujours en attente de leur premier podium. Une nouvelle occasion sur la neige norvégienne s'est présentée jeudi lors du relais masculin, qui avait vu il y a deux ans à Planica (Slovénie) les Tricolores échouer juste au pied de la boîte. Une opportunité que notre quatuor du jour, constitué de Rémi Bourdin, Hugo Lapalus, Jules Lapierre et Mathis Desloges, a une nouvelle fois laissé filer alors que le relais fait pourtant partie des spécialités (NDLR : Six podiums en huit courses depuis les JO de Sotchi) de ces Français toujours au point mort alors qu'il ne reste plus que trois jours avant la fin de ces Mondiaux.
S'il n'y avait rien à faire pour les Bleus comme pour leurs rivaux face à une équipe de Norvège intouchable et emmenée par l'extra-terrestre Johannes Klaebo, vainqueur là de sa cinquième médaille d'or de ces Mondiaux (sa 14e en carrière dans le rendez-vous, nouveau record) qu'il dispute à domicile en cinq courses, la Suisse, 2e, et la Suède, 3e, semblaient, elles, prenables en revanche.
Malheureusement pour la France, Desloges, dernier relayeur, n'a pu tenir le rythme dans l'ultime bosse. Comme deux ans plus tôt, les Bleus doivent donc se contenter de la "médaille en chocolat", mais toujours pas de cette vraie médaille qui continue de se faire désirer. Et pourrait même ne jamais venir, comme pour le ski alpin à Saalbach le mois dernier. "C’est une grosse déception, une grosse frustration. Il y avait de quoi faire, mais ça ne passe pas. C’est à l’image de tous nos championnats : on est là, on joue devant, mais il manque cette petite étincelle pour aller chercher une médaille", pestait Lapierre après-coup (au micro de La Chaîne L'Equipe), tandis qu'Alexandre Rousselet, de son côté, se voulait malgré tout optimiste. "Il nous manque un petit quelque chose, mais on va y arriver." L'espoir fait vivre, heureusement.
Si l'équipe de France de ski de fond avait pour objectif avant de s'envoler pour Trondheim (Norvège) et ces Mondiaux de rendre un zéro pointé semblable à celui de son homologue du ski alpin il y a quelques semaines du côté de Saalbach, elle semble bien partie. Après une semaine de compétition, les Bleus sont en effet toujours en attente de leur premier podium. Une nouvelle occasion sur la neige norvégienne s'est présentée jeudi lors du relais masculin, qui avait vu il y a deux ans à Planica (Slovénie) les Tricolores échouer juste au pied de la boîte. Une opportunité que notre quatuor du jour, constitué de Rémi Bourdin, Hugo Lapalus, Jules Lapierre et Mathis Desloges, a une nouvelle fois laissé filer alors que le relais fait pourtant partie des spécialités (NDLR : Six podiums en huit courses depuis les JO de Sotchi) de ces Français toujours au point mort alors qu'il ne reste plus que trois jours avant la fin de ces Mondiaux.
S'il n'y avait rien à faire pour les Bleus comme pour leurs rivaux face à une équipe de Norvège intouchable et emmenée par l'extra-terrestre Johannes Klaebo, vainqueur là de sa cinquième médaille d'or de ces Mondiaux (sa 14e en carrière dans le rendez-vous, nouveau record) qu'il dispute à domicile en cinq courses, la Suisse, 2e, et la Suède, 3e, semblaient, elles, prenables en revanche.
Lapierre: "A l'image de tous nos championnats"
Malheureusement pour la France, Desloges, dernier relayeur, n'a pu tenir le rythme dans l'ultime bosse. Comme deux ans plus tôt, les Bleus doivent donc se contenter de la "médaille en chocolat", mais toujours pas de cette vraie médaille qui continue de se faire désirer. Et pourrait même ne jamais venir, comme pour le ski alpin à Saalbach le mois dernier. "C’est une grosse déception, une grosse frustration. Il y avait de quoi faire, mais ça ne passe pas. C’est à l’image de tous nos championnats : on est là, on joue devant, mais il manque cette petite étincelle pour aller chercher une médaille", pestait Lapierre après-coup (au micro de La Chaîne L'Equipe), tandis qu'Alexandre Rousselet, de son côté, se voulait malgré tout optimiste. "Il nous manque un petit quelque chose, mais on va y arriver." L'espoir fait vivre, heureusement.
Publicité