« On est des kaïras »: Cordinier s'enflamme
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Vainqueur de l'Allemagne avec les Bleus ce jeudi en demi-finale du tournoi de basket des JO 2024 (73-69), Isaïa Cordinier s'est laissé aller au moment d'analyser ce succès.
Dans une ambiance de folie furieuse, l'équipe de France a validé jeudi son billet pour la finale du tournoi de basket des Jeux olympiques de Paris 2024. Vainqueurs de l'Allemagne qui les avait pourtant torpillés quelques jours plus tôt en phase de groupes (71-85), Victor Wembanyama et ses partenaires ont pris une revanche flamboyante devant un public de l'Accor Arena en fusion. À l'heure des premières analyses, les mots étaient forts.
Troisième meilleur marqueur de la rencontre derrière Dennis Schroeder (18 pts) et Guerschon Yabusele (17 pts), Isaïa Cordinier a tenté d'expliquer à chaud comment les Français avaient réussi ce véritable tour de force face aux champions du monde en titre. Avec des explications claires au micro de France 2. « Je n'arrête pas de le dire, mais c'est une victoire d'équipe encore une fois. Peut-être qu'il nous fallait le temps de digérer un petit peu, de redescendre du match contre le Canada. Ils sont venus avec la même intensité, ils croyaient qu'ils pouvaient nous marcher dessus encore. [...] On montre aujourd'hui que quand on joue comme ça, on regarde tout le monde dans les yeux. »
Et l'ailier tricolore de poursuivre avec le sourire... et des mots bien choisis : « Je vais m'excuser, mais on est des kaïras. Et quand on joue comme des kaïras , voilà ce qu'il se passe. Et il reste encore un match et on sera prêts. Ce public est fantastique. Jouer devant sa famille à domicile, c'est unique. On va tout donner jusqu'à la fin, jusqu'à notre dernier souffle. » Quant à l'explication de la métamorphose de l'équipe après cette fameuse défaite face aux Allemands, Isaïa Cordinier avait là encore une explication : « On s'est dit les choses entre nous. Joueurs, staff, on s'est donné une direction commune. »
Une recette qui a donc parfaitement fonctionné et qui devra absolument faire effet samedi prochain (21h30), très probablement contre les ogres nord-américains qui affrontent la Serbie ce jeudi dans la deuxième demi-finale. Quel que soit l'adversaire, les « kaïras » tricolores n'auront pas d'autre choix que de se transcender. L'or olympique sera à ce prix.
Dans une ambiance de folie furieuse, l'équipe de France a validé jeudi son billet pour la finale du tournoi de basket des Jeux olympiques de Paris 2024. Vainqueurs de l'Allemagne qui les avait pourtant torpillés quelques jours plus tôt en phase de groupes (71-85), Victor Wembanyama et ses partenaires ont pris une revanche flamboyante devant un public de l'Accor Arena en fusion. À l'heure des premières analyses, les mots étaient forts.
Troisième meilleur marqueur de la rencontre derrière Dennis Schroeder (18 pts) et Guerschon Yabusele (17 pts), Isaïa Cordinier a tenté d'expliquer à chaud comment les Français avaient réussi ce véritable tour de force face aux champions du monde en titre. Avec des explications claires au micro de France 2. « Je n'arrête pas de le dire, mais c'est une victoire d'équipe encore une fois. Peut-être qu'il nous fallait le temps de digérer un petit peu, de redescendre du match contre le Canada. Ils sont venus avec la même intensité, ils croyaient qu'ils pouvaient nous marcher dessus encore. [...] On montre aujourd'hui que quand on joue comme ça, on regarde tout le monde dans les yeux. »
Prêts à tout donner
Et l'ailier tricolore de poursuivre avec le sourire... et des mots bien choisis : « Je vais m'excuser, mais on est des kaïras. Et quand on joue comme des kaïras , voilà ce qu'il se passe. Et il reste encore un match et on sera prêts. Ce public est fantastique. Jouer devant sa famille à domicile, c'est unique. On va tout donner jusqu'à la fin, jusqu'à notre dernier souffle. » Quant à l'explication de la métamorphose de l'équipe après cette fameuse défaite face aux Allemands, Isaïa Cordinier avait là encore une explication : « On s'est dit les choses entre nous. Joueurs, staff, on s'est donné une direction commune. »
Une recette qui a donc parfaitement fonctionné et qui devra absolument faire effet samedi prochain (21h30), très probablement contre les ogres nord-américains qui affrontent la Serbie ce jeudi dans la deuxième demi-finale. Quel que soit l'adversaire, les « kaïras » tricolores n'auront pas d'autre choix que de se transcender. L'or olympique sera à ce prix.
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