On n'arrête plus Gobert !
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Déjà très bon l'avant-veille lors de la correction infligée aux Nuggets de Nikola Jokic, Rudy Gobert a encore porté les Wolves, lundi soir à domicile pour permettre à son équipe d'aligner aux dépens d'Atlanta (100-92) un troisième succès de rang. Le pivot français a ajouté au passage un nouveau double-double (18 points, 10 rebonds) à sa collection.
Rudy Gobert a décidé de pendre les choses en main. Il ne s'en était pas caché avant la démonstration de son équipe samedi face à Denver et un Nikola Jokic pourtant en très grande forme. « Je dois faire mieux. Arrêter de trop réfléchir. Il faut juste que je m’y jette. Parfois, je pense trop, et ça me sort du truc (...) Il faut que je refasse confiance à mon instinct », avait confié le pivot français des Wolves, en faisant la promesse qu'il allait hausser son curseur d'un cran.
Le quadruple meilleur défenseur de NBA a tenu parole. Très bon face aux Nuggets, le natif de Saint-Quentin a confirmé lundi soir à l'occasion de la venue d'Atlanta et d'un autre Frenchy : Zaccharie Risacher (11 points, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions). Donnant d'entrée le ton sur un alley-oop venu par ailleurs matérialiser le souhait de Gobert d'être désormais davantage servi par ses coéquipiers, ou pour conclure les séquences lui-même ou pour servir de point de fixation, celui qui semble plus que jamais se voir en leader ("c'est vraiment important de donner le ton") de cette équipe de Minnesota qui vaut bien mieux pour beaucoup de spécialistes que son actuelle septième place du classement de la conférence Ouest a parfaitement assumé son statut.
Auteur d'un nouveau double-double venu s'ajouter à son impressionnante collection, "Gobzilla" a compilé 18 points (à 7 sur 9 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe et 2 contres. Très en vue, dans le parfait sillage de ses nouvelles intentions ("je pense que ça donne confiance à tout le monde d'être un atout en attaque et de faire la bonne action (...) je me dois d'être le meilleur défenseur du monde"), avait bien insisté le double médaillé d'argent olympique avec les Bleus vendredi), l'ancien joueur du Jazz aurait même pu payer au prix fort son investissement, parfois à la limite.
Ainsi après un dunk sur Onyeka Okongwu, Gobert a été tout près d'en venir aux mains avec l'Américano-Nigérian. Ce qui lui a valu une faute technique. Un peu plus tôt, le pivot des Wolves s'était par ailleurs fait une frayeur d'un tout autre type, lorsqu'il avait été à deux doigts de prendre sur le crâne une pièce en acier (un corner d'alarme en réalité) de l'écran géant. Heureusement, plus de peur que de mal pour ce Gobert que l'on n'arrête plus depuis qu'il s'est mis en tête d'endosser le costume de patron. Lundi, il a même rendu l'une de ses meilleures copies depuis le début de la saison.
Rudy Gobert a décidé de pendre les choses en main. Il ne s'en était pas caché avant la démonstration de son équipe samedi face à Denver et un Nikola Jokic pourtant en très grande forme. « Je dois faire mieux. Arrêter de trop réfléchir. Il faut juste que je m’y jette. Parfois, je pense trop, et ça me sort du truc (...) Il faut que je refasse confiance à mon instinct », avait confié le pivot français des Wolves, en faisant la promesse qu'il allait hausser son curseur d'un cran.
Le quadruple meilleur défenseur de NBA a tenu parole. Très bon face aux Nuggets, le natif de Saint-Quentin a confirmé lundi soir à l'occasion de la venue d'Atlanta et d'un autre Frenchy : Zaccharie Risacher (11 points, 7 rebonds, 3 passes, 2 interceptions). Donnant d'entrée le ton sur un alley-oop venu par ailleurs matérialiser le souhait de Gobert d'être désormais davantage servi par ses coéquipiers, ou pour conclure les séquences lui-même ou pour servir de point de fixation, celui qui semble plus que jamais se voir en leader ("c'est vraiment important de donner le ton") de cette équipe de Minnesota qui vaut bien mieux pour beaucoup de spécialistes que son actuelle septième place du classement de la conférence Ouest a parfaitement assumé son statut.
Une altercation puis une grosse frayeur...
Auteur d'un nouveau double-double venu s'ajouter à son impressionnante collection, "Gobzilla" a compilé 18 points (à 7 sur 9 aux tirs), 10 rebonds, 1 passe et 2 contres. Très en vue, dans le parfait sillage de ses nouvelles intentions ("je pense que ça donne confiance à tout le monde d'être un atout en attaque et de faire la bonne action (...) je me dois d'être le meilleur défenseur du monde"), avait bien insisté le double médaillé d'argent olympique avec les Bleus vendredi), l'ancien joueur du Jazz aurait même pu payer au prix fort son investissement, parfois à la limite.
Ainsi après un dunk sur Onyeka Okongwu, Gobert a été tout près d'en venir aux mains avec l'Américano-Nigérian. Ce qui lui a valu une faute technique. Un peu plus tôt, le pivot des Wolves s'était par ailleurs fait une frayeur d'un tout autre type, lorsqu'il avait été à deux doigts de prendre sur le crâne une pièce en acier (un corner d'alarme en réalité) de l'écran géant. Heureusement, plus de peur que de mal pour ce Gobert que l'on n'arrête plus depuis qu'il s'est mis en tête d'endosser le costume de patron. Lundi, il a même rendu l'une de ses meilleures copies depuis le début de la saison.
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