Philippe Katerine, le cachet dérisoire qu’il a touché pour la cérémonie d’ouverture
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Auteur d'une prestation très critiquée lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, Philippe Katerine a dévoilé le montant de son cachet.
2 millions d’euros pour Céline Dion et Lady Gaga, 700 000 euros pour Aya Nakamura. Les chiffres les plus fous ont circulé sur les cachets prétendument touchés par les artistes ayant participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, vendredi dernier. Des sommes rapidement démenties par les organisateurs de l’évènement, ces derniers ayant assuré à l’AFP qu’aucune rétribution n’était prévue pour ces immenses stars.
"Seuls les frais de production technique et d'organisation des performances" auraient été pris en charge, selon eux. Philippe Katerine, auteur d’une prestation très remarquée et commentée sur les bords de Seine, le confirme. Dans une interview accordée à Konbini, le chanteur français révèle le montant du chèque qu’il a touché pour avoir interprété son titre Nu, le corps peint en bleu, avec une guirlande de fruits et un cache-sexe comme seuls vêtements.
Et si la somme qu’il dévoile est bien réelle, il n’y a vraiment pas de quoi crier au scandale. "J’ai été payé 200 euros. Je ne sais pas combien ont été payés les autres, je n’en sais rien. J’espère que c’est quand même à égalité… Egalité, fraternité, non ?, sourit-il. En même temps, je m’en fous. L’idée n’était pas du tout de me faire de l’argent quand j’ai dit oui à ça. C’était l’idée de faire quelque chose d’excitant, de transmettre un message de paix."
Philippe Katerine a profité de cet entretien pour répondre aux nombreuses critiques suscitées par sa performance. "C’est une chanson d’apaisement, de paix, explique le compositeur. La vision de Thomas Jolly (le directeur artistique des cérémonies de Paris 2024, ndlr) était autour de Dionysos et d’une décadence comme on peut l’imaginer des fêtes païennes. Le fait d’être en bleu et en paillettes, j’ai adhéré tout de suite parce que je trouve ça beau."
D’après lui, il n’y avait dans la mise en scène de son passage aucune connotation religieuse. "On peut penser à Avatar, aux Schtroumpfs, à Barbapapa, donc plutôt des références très enfantines en fait. Et j’ai revu les images qui m’ont paru très innocentes, dit-il. Certains ont fait référence à la Cène, mais jamais il n’a été question avec Thomas Jolly de cette référence. La religion n’a jamais été en question parce que l’idée n’était pas du tout de choquer."
"Ce n’est pas ça qui était représenté, tout simplement, et en revoyant les images je me dis qu’il y a une méprise ou un malentendu, poursuit-il. Je ne me suis pas montré nu, je n’ai pas voulu offenser ou choquer qui que ce soit. Ce n’est pas du tout mon truc." Et Philippe Katerine de conclure: "Je ne lis pas les réseaux sociaux donc j’ai la vie plus paisible, certainement. Mais les haters, ça vient de haine, non ? Et la haine, c’est un péché d’orgueil."
2 millions d’euros pour Céline Dion et Lady Gaga, 700 000 euros pour Aya Nakamura. Les chiffres les plus fous ont circulé sur les cachets prétendument touchés par les artistes ayant participé à la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, vendredi dernier. Des sommes rapidement démenties par les organisateurs de l’évènement, ces derniers ayant assuré à l’AFP qu’aucune rétribution n’était prévue pour ces immenses stars.
"Seuls les frais de production technique et d'organisation des performances" auraient été pris en charge, selon eux. Philippe Katerine, auteur d’une prestation très remarquée et commentée sur les bords de Seine, le confirme. Dans une interview accordée à Konbini, le chanteur français révèle le montant du chèque qu’il a touché pour avoir interprété son titre Nu, le corps peint en bleu, avec une guirlande de fruits et un cache-sexe comme seuls vêtements.
Philippe Katerine a touché une somme dérisoire
Et si la somme qu’il dévoile est bien réelle, il n’y a vraiment pas de quoi crier au scandale. "J’ai été payé 200 euros. Je ne sais pas combien ont été payés les autres, je n’en sais rien. J’espère que c’est quand même à égalité… Egalité, fraternité, non ?, sourit-il. En même temps, je m’en fous. L’idée n’était pas du tout de me faire de l’argent quand j’ai dit oui à ça. C’était l’idée de faire quelque chose d’excitant, de transmettre un message de paix."
Philippe Katerine a profité de cet entretien pour répondre aux nombreuses critiques suscitées par sa performance. "C’est une chanson d’apaisement, de paix, explique le compositeur. La vision de Thomas Jolly (le directeur artistique des cérémonies de Paris 2024, ndlr) était autour de Dionysos et d’une décadence comme on peut l’imaginer des fêtes païennes. Le fait d’être en bleu et en paillettes, j’ai adhéré tout de suite parce que je trouve ça beau."
Philippe Katerine répond aux critiques
D’après lui, il n’y avait dans la mise en scène de son passage aucune connotation religieuse. "On peut penser à Avatar, aux Schtroumpfs, à Barbapapa, donc plutôt des références très enfantines en fait. Et j’ai revu les images qui m’ont paru très innocentes, dit-il. Certains ont fait référence à la Cène, mais jamais il n’a été question avec Thomas Jolly de cette référence. La religion n’a jamais été en question parce que l’idée n’était pas du tout de choquer."
"Ce n’est pas ça qui était représenté, tout simplement, et en revoyant les images je me dis qu’il y a une méprise ou un malentendu, poursuit-il. Je ne me suis pas montré nu, je n’ai pas voulu offenser ou choquer qui que ce soit. Ce n’est pas du tout mon truc." Et Philippe Katerine de conclure: "Je ne lis pas les réseaux sociaux donc j’ai la vie plus paisible, certainement. Mais les haters, ça vient de haine, non ? Et la haine, c’est un péché d’orgueil."
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