Pourquoi tant de sexe au village olympique ?
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Entre 9 000 et 14 000 athlètes vont se croiser et se côtoyer ces jours-ci au village olympique basé à Saint-Ouen, au Nord de Paris. Et plus si affinités.
Ce n’est pas une légende, les JO pour les sportifs engagés sont l’occasion de rencontres plus ou moins amicales. Paris 2024 ne fera pas exception à la règle. Et les 300 000 préservatifs prévus par l’organisation pour la quinzaine trouveront certainement preneurs. Pourquoi une telle activité ? Deux sportives évoquaient le sujet sans tabou en marge des Jeux de Tokyo.
Dans un entretien accordé à l’époque au New York Post, l’ancienne athlète allemande spécialiste du saut en longueur Susen Tiedtke s’en expliquait le plus simplement du monde, jugeant les relations sexuelles entre sportifs inévitables dans pareil contexte: « Les athlètes sont au sommet de leur forme. Une fois la compétition terminée, ils veulent libérer leur énergie ! »
Ex-icône de la sélection américaine de football, la gardienne Hope Solo confirmait la chose: « Le sexe, c’est 75 % de la quinzaine ! On ne vit ça qu’une fois dans sa carrière. Vous voulez garder des souvenirs, que ce soit sur le plan sportif ou sexuel. J’ai vu des gens faire l’amour en plein air, sur les pelouses, entre des bâtiments… »
Cette effervescence, la sexologue Tammy Nelson, toujours auprès de la publication américaine suscitée, lui trouve une explication scientifique: « L’adrénaline et la dopamine peuvent supprimer le stress et même diminuer les pensées négatives et les sentiments de culpabilité. Les hormones comme la sérotonine, l'épinéphrine et la dopamine sont des substances chimiques du cerveau qui influencent la libido et l'excitation sexuelle. La dopamine est connue comme l'hormone du bien-être. Elle est essentielle au système de récompense du cerveau et votre corps la libère sans aucun doute en abondance si vous établissez un nouveau record olympique ou mondial. »
Ce n’est pas une légende, les JO pour les sportifs engagés sont l’occasion de rencontres plus ou moins amicales. Paris 2024 ne fera pas exception à la règle. Et les 300 000 préservatifs prévus par l’organisation pour la quinzaine trouveront certainement preneurs. Pourquoi une telle activité ? Deux sportives évoquaient le sujet sans tabou en marge des Jeux de Tokyo.
Dans un entretien accordé à l’époque au New York Post, l’ancienne athlète allemande spécialiste du saut en longueur Susen Tiedtke s’en expliquait le plus simplement du monde, jugeant les relations sexuelles entre sportifs inévitables dans pareil contexte: « Les athlètes sont au sommet de leur forme. Une fois la compétition terminée, ils veulent libérer leur énergie ! »
« On ne vit ça qu’une fois dans sa carrière »
Ex-icône de la sélection américaine de football, la gardienne Hope Solo confirmait la chose: « Le sexe, c’est 75 % de la quinzaine ! On ne vit ça qu’une fois dans sa carrière. Vous voulez garder des souvenirs, que ce soit sur le plan sportif ou sexuel. J’ai vu des gens faire l’amour en plein air, sur les pelouses, entre des bâtiments… »
Cette effervescence, la sexologue Tammy Nelson, toujours auprès de la publication américaine suscitée, lui trouve une explication scientifique: « L’adrénaline et la dopamine peuvent supprimer le stress et même diminuer les pensées négatives et les sentiments de culpabilité. Les hormones comme la sérotonine, l'épinéphrine et la dopamine sont des substances chimiques du cerveau qui influencent la libido et l'excitation sexuelle. La dopamine est connue comme l'hormone du bien-être. Elle est essentielle au système de récompense du cerveau et votre corps la libère sans aucun doute en abondance si vous établissez un nouveau record olympique ou mondial. »
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