Simone Biles allume la cuisine du village !
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A l’instar de nombreux autres sportifs présents à Paris, Simone Biles a vivement critiqué la cuisine du village olympique.
La cantine du village olympique n’en finit plus de faire parler. Et cette fois, c’est l’une des stars attendues des Jeux qui est montée au créneau pour exprimer son mécontentement au sujet de la qualité de la nourriture proposée aux athlètes. « Ce n’est pas vraiment de la cuisine française dans le village. Nous (aux Etats-Unis), c’est un peu plus sain… », a ainsi soufflé Simone Biles.
Et la gymnaste américaine n’est pas la seule à avoir confié sa déception. « Je ne pense pas que la nourriture soit très bonne ici, a confié sa coéquipière Hezly. Rivera La cuisine française est censée être bonne… mais pas ce qu’on a ici, je ne suis pas sûr que ce soit le top. Mais bon, ça fait le job. »
Depuis le début des Jeux, plusieurs autres délégations avaient pointé du doigt des problèmes de quantité. Les œufs avaient ainsi été rationnés au petit-déjeuner, provoquant la colère chez certains athlètes. La délégation britannique n’avait pas hésité en réponse à faire venir son propre chef cuisinier.
Les hockeyeurs allemands s'étaient ensuite plaints de la mauvaise organisation du service de restauration. « Nous nous en sortons car nous avons aussi de la nourriture dans l'appartement et pouvons nous préparer quelque chose de temps en temps. Mais ce n'est pas très professionnel, et on espère que ça s'améliorera rapidement », avait regretté le hockeyeur Christopher Rühr, son coéquipier Mats Grambusch ajoutant : « Ils sont complètement débordés aux heures de pointe. Par ailleurs, la qualité et la quantité des repas ne sont pas bonnes, parce que trop de monde arrive en même temps.»
La cantine du village olympique n’en finit plus de faire parler. Et cette fois, c’est l’une des stars attendues des Jeux qui est montée au créneau pour exprimer son mécontentement au sujet de la qualité de la nourriture proposée aux athlètes. « Ce n’est pas vraiment de la cuisine française dans le village. Nous (aux Etats-Unis), c’est un peu plus sain… », a ainsi soufflé Simone Biles.
Et la gymnaste américaine n’est pas la seule à avoir confié sa déception. « Je ne pense pas que la nourriture soit très bonne ici, a confié sa coéquipière Hezly. Rivera La cuisine française est censée être bonne… mais pas ce qu’on a ici, je ne suis pas sûr que ce soit le top. Mais bon, ça fait le job. »
Une organisation pointée du doigt
Depuis le début des Jeux, plusieurs autres délégations avaient pointé du doigt des problèmes de quantité. Les œufs avaient ainsi été rationnés au petit-déjeuner, provoquant la colère chez certains athlètes. La délégation britannique n’avait pas hésité en réponse à faire venir son propre chef cuisinier.
Les hockeyeurs allemands s'étaient ensuite plaints de la mauvaise organisation du service de restauration. « Nous nous en sortons car nous avons aussi de la nourriture dans l'appartement et pouvons nous préparer quelque chose de temps en temps. Mais ce n'est pas très professionnel, et on espère que ça s'améliorera rapidement », avait regretté le hockeyeur Christopher Rühr, son coéquipier Mats Grambusch ajoutant : « Ils sont complètement débordés aux heures de pointe. Par ailleurs, la qualité et la quantité des repas ne sont pas bonnes, parce que trop de monde arrive en même temps.»
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