Teddy Riner, la grosse inquiétude
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Si Teddy Riner, en quête d’un nouveau sacre olympique, vendredi, a connu essentiellement des hauts au cours de sa riche carrière, le poids lourd a eu quelques doutes, notamment début 2014.
Teddy Riner est une machine à gagner. En témoigne son palmarès fait de trois sacres olympiques et de onze titres de champion du monde. Sur le toit du monde dès ses 18 ans, le Guadeloupéen tentera, vendredi, de décrocher un troisième titre olympique chez les poids lourd et de prendre sa revanche sur Tokyo.
Médaillé de bronze pour ses premiers JO à Pékin, Teddy Riner avait ensuite décroché l’or à Londres en 2012 ainsi qu’à Rio en 2016 et rêvait de la passe de trois à Tokyo en 2021. Une défaite en quart de finale allait ruiner ses espoirs. Et s’il avait pu se consoler avec le bronze ainsi qu’une médaille d’or dans le tournoi par équipes le lendemain, le coup avait été rude à encaisser.
Il en avait été de même en 2013 après s’être fait opérer d’une épaule. Si sa blessure, en juillet, synonyme de plusieurs semaines d’arrêt, ne l’avait pas empêché de décrocher un sixième titre de champion du monde fin août, le passage par la case opération était inévitable. Mais la convalescence a été douloureuse.
Au moment de sa reprise, il peine en effet à soulever 15 kilos au développé couché. « Tu crois que je vais récupérer un jour », avait-il demandé, inquiet, au kiné des Bleus, Jean Fasihpour. Quatre mois plus tard, et malgré une rechute qui a perturbé sa préparation, le Guadeloupéen décrochait un nouveau sacre continental pour son retour à la compétition, remportant un nouveau titre européen. Un nouveau sacre mondial, à la fin de l’été, allait suivre.
Teddy Riner est une machine à gagner. En témoigne son palmarès fait de trois sacres olympiques et de onze titres de champion du monde. Sur le toit du monde dès ses 18 ans, le Guadeloupéen tentera, vendredi, de décrocher un troisième titre olympique chez les poids lourd et de prendre sa revanche sur Tokyo.
Médaillé de bronze pour ses premiers JO à Pékin, Teddy Riner avait ensuite décroché l’or à Londres en 2012 ainsi qu’à Rio en 2016 et rêvait de la passe de trois à Tokyo en 2021. Une défaite en quart de finale allait ruiner ses espoirs. Et s’il avait pu se consoler avec le bronze ainsi qu’une médaille d’or dans le tournoi par équipes le lendemain, le coup avait été rude à encaisser.
Teddy Riner, seulement 15 kilos au développé couché
Il en avait été de même en 2013 après s’être fait opérer d’une épaule. Si sa blessure, en juillet, synonyme de plusieurs semaines d’arrêt, ne l’avait pas empêché de décrocher un sixième titre de champion du monde fin août, le passage par la case opération était inévitable. Mais la convalescence a été douloureuse.
Au moment de sa reprise, il peine en effet à soulever 15 kilos au développé couché. « Tu crois que je vais récupérer un jour », avait-il demandé, inquiet, au kiné des Bleus, Jean Fasihpour. Quatre mois plus tard, et malgré une rechute qui a perturbé sa préparation, le Guadeloupéen décrochait un nouveau sacre continental pour son retour à la compétition, remportant un nouveau titre européen. Un nouveau sacre mondial, à la fin de l’été, allait suivre.
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