Très mauvaise nouvelle pour Julian Alaphilippe avant les Jeux
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Alors qu’il a fait des Jeux Olympiques le principal objectif de son été, Julian Alaphilippe devra faire avec des statistiques contre lui.
Huit ans après une première expérience des plus frustrantes à Rio, Julian Alaphilippe s’apprête à retrouver le parfum des Jeux Olympiques. Cette fois, le leader de la Quick-Step se contentera de la seule course en ligne, le 3 août. Mais il abordera la course avec de très hautes ambitions, ayant fait des Jeux le principal objectif de son été.
Et pour parvenir à ses fins, le natif de Saint-Amand-Montrond a fait un choix fort: sacrifier le Tour de France pour mieux préparer le rendez-vous olympique, courant à la place le Tour de la Slovaquie puis celui de la République tchèque. Un choix d’autant plus facile pour le double champion du monde qu’il ne tenait pas à y jouer les équipiers de luxe pour Remco Evenepoel. Le pari de l’ancien numéro un mondial est osé. En témoigne l’histoire récente des Jeux.
Car depuis que les cyclistes professionnels ont voix au chapitre aux Jeux, c’est-à-dire depuis 1996 et les JO d’Atlanta, aucun coureur n’a été sacré champion olympique sans avoir au préalable disputer le Tour de France. Pascal Richard, Jan Ullrich, Paolo Bettini, Samuel Sanchez, Alexandre Vinokourov, Greg Van Avermaet ou Richard Carapaz: tous sortaient du Tour. Et sur les 21 coureurs médaillés, ils ne sont que cinq à ne pas être passés par la case Tour.
L’enchaînement Tour-JO, avec une course en ligne seulement huit jours après l’arrivé à Nice, n’est toutefois pas aisée. Tadej Pogacar, qui a écrasé la Grande Boucle et grandissime favori des Jeux, a préféré renoncer. La faute à une « trop grande fatigue ». Et les autres principaux prétendants, Wout van Aert et Matthieu van der Poel, ne sortent pas du Tour forcément rassurés sur leur état de forme…
Huit ans après une première expérience des plus frustrantes à Rio, Julian Alaphilippe s’apprête à retrouver le parfum des Jeux Olympiques. Cette fois, le leader de la Quick-Step se contentera de la seule course en ligne, le 3 août. Mais il abordera la course avec de très hautes ambitions, ayant fait des Jeux le principal objectif de son été.
Et pour parvenir à ses fins, le natif de Saint-Amand-Montrond a fait un choix fort: sacrifier le Tour de France pour mieux préparer le rendez-vous olympique, courant à la place le Tour de la Slovaquie puis celui de la République tchèque. Un choix d’autant plus facile pour le double champion du monde qu’il ne tenait pas à y jouer les équipiers de luxe pour Remco Evenepoel. Le pari de l’ancien numéro un mondial est osé. En témoigne l’histoire récente des Jeux.
Le Tour de France, passage obligé ?
Car depuis que les cyclistes professionnels ont voix au chapitre aux Jeux, c’est-à-dire depuis 1996 et les JO d’Atlanta, aucun coureur n’a été sacré champion olympique sans avoir au préalable disputer le Tour de France. Pascal Richard, Jan Ullrich, Paolo Bettini, Samuel Sanchez, Alexandre Vinokourov, Greg Van Avermaet ou Richard Carapaz: tous sortaient du Tour. Et sur les 21 coureurs médaillés, ils ne sont que cinq à ne pas être passés par la case Tour.
L’enchaînement Tour-JO, avec une course en ligne seulement huit jours après l’arrivé à Nice, n’est toutefois pas aisée. Tadej Pogacar, qui a écrasé la Grande Boucle et grandissime favori des Jeux, a préféré renoncer. La faute à une « trop grande fatigue ». Et les autres principaux prétendants, Wout van Aert et Matthieu van der Poel, ne sortent pas du Tour forcément rassurés sur leur état de forme…
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