Un licenciement chez beIN Sports à cause de Jordan Bardella ?

Publié le , mis à jour le
Auteur d’un tweet insultant pour les électeurs du Rassemblement National, Benjamin Bernard est sous la menace d’un licenciement pour faute grave.
Les élections législatives anticipées provoquées par la dissolution de l’Assemblée Nationale risquent de ne pas faire tomber que le gouvernement. Alors que le Rassemblement National est en passe d’obtenir la majorité et d’envoyer Jordan Bardella à Matignon, Benjamin Bernard, présentateur à beIN Sports, risque de perdre son emploi. La faute à son tweet publié dimanche soir après l’annonce des résultats du premier tour.
« 12 millions de fdp dans notre pays. Voilà, il fallait que ça sorte", a écrit le journaliste sportif de beIN Sports sur son compte X (anciennement Twitter). Un message qui n’a pas manqué de provoquer de vives réactions, beIN Sports se désolidarisant de son présentateur. « Le message de Benjamin Bernard n’engage que lui et n’est en aucun cas l’expression d’une position de la part de beIN SPORTS. Notre chaîne est dédiée au traitement de l’information sportive, ce que nous nous attachons à faire avec la plus grande neutralité et dans le respect de tous », a ainsi écrit Florent Houzot.
Et à en croire Clément Garin, spécialiste des médias, Benjamin Bernard a été convoqué par sa direction afin de lui rappeler que « parmi les douze millions de (fils de p...) (sic) qu'il a insultés se trouvaient des fidèles de beIN Sports», son message pouvant donc avoir de graves répercussions financières. Son dérapage est jugé « irresponsable » et la direction de la chaîne qatarie devrait le convoquer dans les prochains jours pour un entretien préalable au licenciement pour "faute grave" et "violation de la clause de moralité".
Pris dans la tempête, Julien Bernard a rapidement publié un message d’excuses. « Après ces heures très intenses que je ne souhaite à personne de vivre, je tiens à présenter mes excuses, a-t-il écrit. Je n’aurai jamais dû insulter qui que ce soit. C’était une grave erreur de ma part. Des élections sont un principe démocratique que je me dois comme tout le monde de respecter. »
Les élections législatives anticipées provoquées par la dissolution de l’Assemblée Nationale risquent de ne pas faire tomber que le gouvernement. Alors que le Rassemblement National est en passe d’obtenir la majorité et d’envoyer Jordan Bardella à Matignon, Benjamin Bernard, présentateur à beIN Sports, risque de perdre son emploi. La faute à son tweet publié dimanche soir après l’annonce des résultats du premier tour.
« 12 millions de fdp dans notre pays. Voilà, il fallait que ça sorte", a écrit le journaliste sportif de beIN Sports sur son compte X (anciennement Twitter). Un message qui n’a pas manqué de provoquer de vives réactions, beIN Sports se désolidarisant de son présentateur. « Le message de Benjamin Bernard n’engage que lui et n’est en aucun cas l’expression d’une position de la part de beIN SPORTS. Notre chaîne est dédiée au traitement de l’information sportive, ce que nous nous attachons à faire avec la plus grande neutralité et dans le respect de tous », a ainsi écrit Florent Houzot.
Un dérapage irresponsable
Et à en croire Clément Garin, spécialiste des médias, Benjamin Bernard a été convoqué par sa direction afin de lui rappeler que « parmi les douze millions de (fils de p...) (sic) qu'il a insultés se trouvaient des fidèles de beIN Sports», son message pouvant donc avoir de graves répercussions financières. Son dérapage est jugé « irresponsable » et la direction de la chaîne qatarie devrait le convoquer dans les prochains jours pour un entretien préalable au licenciement pour "faute grave" et "violation de la clause de moralité".
Pris dans la tempête, Julien Bernard a rapidement publié un message d’excuses. « Après ces heures très intenses que je ne souhaite à personne de vivre, je tiens à présenter mes excuses, a-t-il écrit. Je n’aurai jamais dû insulter qui que ce soit. C’était une grave erreur de ma part. Des élections sont un principe démocratique que je me dois comme tout le monde de respecter. »
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