Une médaille surprise pour Alaphilippe ?
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Cinq jours après l'échec de Julian Alaphilippe sur la course en ligne, son homonyme Souleyman Alaphilippe entre en scène.
Julian Alaphilippe avait le sourire à l’arrivée de la course en ligne des Jeux Olympiques, samedi. Et pas seulement en raison de l’incroyable ferveur populaire qui a accompagné les coureurs tout au long du parcours. Alors qu’il espérait ramener une médaille, huit ans après sa quatrième place à Rio, le Français a pourtant dû se contenter de la 11e place. Mais le podium avait de quoi le satisfaire.
Car derrière son coéquipier et grand ami, Remco Evenepoel, auteur d’un incroyable doublé après son sacre sur le contre-la-montre, ce sont Valentin Madouas et Christophe Laporte qui ont décroché les l’argent et le bronze. De quoi faire son bonheur. « On va aller boire un verre », a-t-il ainsi lancé à Marion Rousse à l’arrivée en apprenant la bonne nouvelle.
Et si le coureur de la Quick-Step est désormais tourné vers la Classica San Sebastian, qui se déroulera ce samedi, Alaphilippe pourrait bien offrir une nouvelle médaille à la France. Non pas Julian, mais Souleyman Alaphilippe, engagé chez les moins de 68 kgs en taekwondo. Et le combattant, qui affrontera l’Égyptien Ahmed Nassar pour commencer en huitièmes de finale, est bien décidé à sortir de l’ombre de son homonyme.
« Mon idée est de devenir le Alaphilippe connu. C’est un petit objectif. C’est sûr que le taekwondo est moins médiatisé que le Tour de France. Les JO, c’est l’occasion de prendre la lumière des médais et de promouvoir mon sport, qui est un sport speed, spectaculaire. On espère faire kiffer le public », a-t-il confié dans les colonnes du Parisien, ajoutant au sujet de son homonymie : « Ça nous est arrivé de regarder le Tour de France avec mon père et de nous questionner. On a même demandé aux grands-parents et on a vérifié, mais non. Mon père est originaire de la Savoie et ma mère est parisienne. »
Julian Alaphilippe avait le sourire à l’arrivée de la course en ligne des Jeux Olympiques, samedi. Et pas seulement en raison de l’incroyable ferveur populaire qui a accompagné les coureurs tout au long du parcours. Alors qu’il espérait ramener une médaille, huit ans après sa quatrième place à Rio, le Français a pourtant dû se contenter de la 11e place. Mais le podium avait de quoi le satisfaire.
Car derrière son coéquipier et grand ami, Remco Evenepoel, auteur d’un incroyable doublé après son sacre sur le contre-la-montre, ce sont Valentin Madouas et Christophe Laporte qui ont décroché les l’argent et le bronze. De quoi faire son bonheur. « On va aller boire un verre », a-t-il ainsi lancé à Marion Rousse à l’arrivée en apprenant la bonne nouvelle.
"Mon idée est de devenir le Alaphilippe connu"
Et si le coureur de la Quick-Step est désormais tourné vers la Classica San Sebastian, qui se déroulera ce samedi, Alaphilippe pourrait bien offrir une nouvelle médaille à la France. Non pas Julian, mais Souleyman Alaphilippe, engagé chez les moins de 68 kgs en taekwondo. Et le combattant, qui affrontera l’Égyptien Ahmed Nassar pour commencer en huitièmes de finale, est bien décidé à sortir de l’ombre de son homonyme.
« Mon idée est de devenir le Alaphilippe connu. C’est un petit objectif. C’est sûr que le taekwondo est moins médiatisé que le Tour de France. Les JO, c’est l’occasion de prendre la lumière des médais et de promouvoir mon sport, qui est un sport speed, spectaculaire. On espère faire kiffer le public », a-t-il confié dans les colonnes du Parisien, ajoutant au sujet de son homonymie : « Ça nous est arrivé de regarder le Tour de France avec mon père et de nous questionner. On a même demandé aux grands-parents et on a vérifié, mais non. Mon père est originaire de la Savoie et ma mère est parisienne. »
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