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Wembanyama : « Je peux faire mieux »

Wembanyama : « Je peux faire mieux »
Publié le , mis à jour le

Vingt points, cinq rebonds, deux interceptions, un contre, et tout ça en moins de vingt minutes de jeu. Victor Wembanyama pouvait difficilement faire mieux, ce lundi soir sur le parquet d’OKC à l’occasion du premier match de pré-saison disputé avec son équipe. Au-delà du fait que cette première sortie pour lui en NBA (la Summer League exceptée) se soit soldée par une défaite, « Wemby » était certain, lui, du contraire. Satisfait de sa performance, le premier numéro 1 français de la Draft dans toute l’histoire estimait ainsi néanmoins qu’il peut mettre la barre plus haut encore.

« En tant que rookie, je me dois juste de donner 100%. C’était bien, personnellement, je me sentais bien, j’avais beaucoup d’énergie. Mais je peux faire mieux encore », analysait après-coup l’ex-superstar de Boulogne-Levallois, reconnaissant cependant que c’est ce qu’il « (attendait) de ce match ». « Ça me donne bon espoir, on a eu quelques superbes séquences de jeu en première période », appréciait le phénomène français, qui a réussi l’exploit lundi de faire se lever les fans de l’équipes adverses sur quelques actions d’éclat, dont ce dunk main droite d’une violence inimaginable.

Popovich : « Je l’ai trouvé bon »

Wembanyama a également réussi l’exploit de faire quitter son short à plusieurs reprises à Chet Holgrem et même à l’envoyer au sol. Le jeune Américain, rookie comme « Wemby » et très bon lui aussi lundi, est pourtant présenté comme le concurrent numéro 1 cette saison du grand absent du dernier Mondial avec les Bleus. « Et j’ai eu le sentiment qu’il nous avait fait mal en première mi-temps, admet le numéro 1 des Spurs. Je sais que ce n’est que la présaison, mais il est certain que les matches contre OKC vont être intéressants. » Comme tout le monde, Gregg Popovich, quant à lui, attend de revoir l’extra-terrestre à l’œuvre. Le légendaire coach des Spurs n’est toutefois pas loin d’être déjà conquis. « Je l’ai trouvé bon ». A entendre Wembanyama, il n’a de surcroît encore rien vu. C’est dire…

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