Ysaora Thibus prête à en découdre
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Alors que le tirage au sort de Paris 2024 n’a pas été clément, Ysaora Thibus a assuré que le plus important était son retour à la compétition après plusieurs mois difficiles et malgré l’éventualité d’une suspension pour dopage.
Le chemin menant à Paris 2024 a été tortueux pour Ysaora Thibus. Contrôlée positive à l’ostarine au début de l’année, la fleurettiste tricolore a un temps cru qu’elle ne vivrait pas ses quatrièmes Jeux Olympiques. Après avoir prouvé sa bonne foi auprès de la Fédération Internationale d’escrime (FIE), son retour à la compétition s’est soldé par une blessure au genou gauche lors des championnats d’Europe qui a remis sa participation à Paris 2024 au conditionnel.
Mais, alors que l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) est décidée à ne pas en rester là dans l’affaire concernant la native des Abymes, cette dernière a assuré face à la presse avoir « hâte de reprendre l’escrime ». Toutefois, son absence lors des derniers mois n’a pas été sans conséquences sur sa place dans la hiérarchie mondiale et cela s’est traduit lors du tirage au sort du tournoi olympique effectué ce jeudi. Alors qu’elle pointe à la 55eme place, Ysaora Thibus devra en découdre dès le premier tour avec Julia Walczyk-Klimaszyk, numéro 5 mondiale.
Avant de connaître l’identité de sa première adversaire, la championne du monde 2022 a concédé que cette situation pouvait lui offrir un tableau loin d’être optimal dans sa quête de premier titre olympique en individuel. « J'ai été un peu absente du circuit cette année, donc forcément mon classement a baissé et le premier match sera très intéressant, avait-elle confié dans des propos recueillis par l’AFP lors d’un point presse. Moi j'aime l'opposition, j'ai vraiment hâte de rentrer en lice dimanche. » Malgré tout, Ysaora Thibus compte bien tout donner au cœur du Grand Palais, qui accueillera les épreuves d’escrime de Paris 2024.
« Ce sont mes quatrièmes JO et tout le monde ici sait que je me suis battue pour y être », a-t-elle confié avant de revenir sur l’incertitude l’entourant. En effet, en cas de médaille, la Tricolore pourrait en être dépossédée en cas de suspension décidée par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) « Une fois que j'ai eu cette nouvelle, plusieurs options sont arrivées sur la table et oui, j'ai réfléchi à toutes les options », a confié celle qui en comptait pas manquer l’événement, malgré cette épée de Damoclès au-dessus de sa tête. En tout cas, la fleurettiste tricolore assure être prête pour l’événement, ajoutant avoir « fait des assauts en situation de compétition » à l’entraînement.
Le chemin menant à Paris 2024 a été tortueux pour Ysaora Thibus. Contrôlée positive à l’ostarine au début de l’année, la fleurettiste tricolore a un temps cru qu’elle ne vivrait pas ses quatrièmes Jeux Olympiques. Après avoir prouvé sa bonne foi auprès de la Fédération Internationale d’escrime (FIE), son retour à la compétition s’est soldé par une blessure au genou gauche lors des championnats d’Europe qui a remis sa participation à Paris 2024 au conditionnel.
Mais, alors que l’Agence Mondiale Antidopage (AMA) est décidée à ne pas en rester là dans l’affaire concernant la native des Abymes, cette dernière a assuré face à la presse avoir « hâte de reprendre l’escrime ». Toutefois, son absence lors des derniers mois n’a pas été sans conséquences sur sa place dans la hiérarchie mondiale et cela s’est traduit lors du tirage au sort du tournoi olympique effectué ce jeudi. Alors qu’elle pointe à la 55eme place, Ysaora Thibus devra en découdre dès le premier tour avec Julia Walczyk-Klimaszyk, numéro 5 mondiale.
Thibus: « Le premier match sera très intéressant »
Avant de connaître l’identité de sa première adversaire, la championne du monde 2022 a concédé que cette situation pouvait lui offrir un tableau loin d’être optimal dans sa quête de premier titre olympique en individuel. « J'ai été un peu absente du circuit cette année, donc forcément mon classement a baissé et le premier match sera très intéressant, avait-elle confié dans des propos recueillis par l’AFP lors d’un point presse. Moi j'aime l'opposition, j'ai vraiment hâte de rentrer en lice dimanche. » Malgré tout, Ysaora Thibus compte bien tout donner au cœur du Grand Palais, qui accueillera les épreuves d’escrime de Paris 2024.
« Ce sont mes quatrièmes JO et tout le monde ici sait que je me suis battue pour y être », a-t-elle confié avant de revenir sur l’incertitude l’entourant. En effet, en cas de médaille, la Tricolore pourrait en être dépossédée en cas de suspension décidée par le Tribunal Arbitral du Sport (TAS) « Une fois que j'ai eu cette nouvelle, plusieurs options sont arrivées sur la table et oui, j'ai réfléchi à toutes les options », a confié celle qui en comptait pas manquer l’événement, malgré cette épée de Damoclès au-dessus de sa tête. En tout cas, la fleurettiste tricolore assure être prête pour l’événement, ajoutant avoir « fait des assauts en situation de compétition » à l’entraînement.
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