Paris est fixé
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Vainqueur jeudi contre l'Alba Berlin à domicile de son dernier match de la saison régulière, Paris pouvait encore arracher un billet pour la qualification directe. Malheureusement, pour les Parisiens, les résultats de vendredi en ont décidé autrement et les joueurs de la capitale, qui terminent 8es, devront disputer les play-in.
Fin des illusions pour Paris. Au lendemain de son succès à domicile (72-63) contre les Allemands de l'Alba Berlin, derniers du classement d'Euroligue, le club de la capitale conservait le droit de rêver à une qualification directe. Pour cela, ces Parisiens assurés depuis leur avant-dernière sortie, le 3 avril dernier à Madrid face au Real (33e et avant-dernière journée) et ce malgré la défaite de ce soir-là face aux Madrilènes (105-104), de disputer les play-in, réservés aux équipes terminant aux 7e, 8e, 9e et 10e place du classement final de la saison régulière, devaient compter sur un coup de pouce de leurs adversaires directs.
Le sort de TJ Shorts et de ses coéquipiers dépendaient très précisément du résultat de trois équipes : l'Anadolu Efes Istanbul, le FC Barcelone et, dans une moindre mesure, l'Etoile Rouge de Belgrade. Malheureusement pour Tiago Splitter et ses hommes, les deux équipes qui ne devaient absolument pas l'emporter vendredi ont gagné.
Les Turcs se sont imposés (87-77) chez eux face au Zalgiris Kaunas, tandis que le Barça, autre équipe en grande forme (six victoires de rang, série en cours pour Efes, trois consécutives désormais pour les Catalans), a pris le dessus (dans la douleur) en Catalogne sur les Italiens du Virtus Bologne (81-77). Un nouveau succès qui permet à Barcelone de terminer à la 5e place du classement. Son rival stambouliote accroche, lui, le tout dernier strapontin synonyme de billet direct pour l'Euroligue.
Suivent ensuite le Real Madrid et donc cette équipe de Paris (19 victoires, 15 défaites) qui n'aura donc d'autre choix que de jouer son avenir dans la compétition lors de play-in qui concerneront également le Real, le Bayern Munich (9e) et l'Etoile Rouge, battue après prolongation (111-104) vendredi sur le parquet du Panathinaïkos, champion d'Europe en titre, et qui valide le dernier accessit pour ces barrages qui attendent donc les Parisiens. Car s'il demeurait encore un espoir jeudi, ce n'est désormais plus le cas.
Fin des illusions pour Paris. Au lendemain de son succès à domicile (72-63) contre les Allemands de l'Alba Berlin, derniers du classement d'Euroligue, le club de la capitale conservait le droit de rêver à une qualification directe. Pour cela, ces Parisiens assurés depuis leur avant-dernière sortie, le 3 avril dernier à Madrid face au Real (33e et avant-dernière journée) et ce malgré la défaite de ce soir-là face aux Madrilènes (105-104), de disputer les play-in, réservés aux équipes terminant aux 7e, 8e, 9e et 10e place du classement final de la saison régulière, devaient compter sur un coup de pouce de leurs adversaires directs.
Le sort de TJ Shorts et de ses coéquipiers dépendaient très précisément du résultat de trois équipes : l'Anadolu Efes Istanbul, le FC Barcelone et, dans une moindre mesure, l'Etoile Rouge de Belgrade. Malheureusement pour Tiago Splitter et ses hommes, les deux équipes qui ne devaient absolument pas l'emporter vendredi ont gagné.
Efes et le Barça sur leur lancée
Les Turcs se sont imposés (87-77) chez eux face au Zalgiris Kaunas, tandis que le Barça, autre équipe en grande forme (six victoires de rang, série en cours pour Efes, trois consécutives désormais pour les Catalans), a pris le dessus (dans la douleur) en Catalogne sur les Italiens du Virtus Bologne (81-77). Un nouveau succès qui permet à Barcelone de terminer à la 5e place du classement. Son rival stambouliote accroche, lui, le tout dernier strapontin synonyme de billet direct pour l'Euroligue.
Suivent ensuite le Real Madrid et donc cette équipe de Paris (19 victoires, 15 défaites) qui n'aura donc d'autre choix que de jouer son avenir dans la compétition lors de play-in qui concerneront également le Real, le Bayern Munich (9e) et l'Etoile Rouge, battue après prolongation (111-104) vendredi sur le parquet du Panathinaïkos, champion d'Europe en titre, et qui valide le dernier accessit pour ces barrages qui attendent donc les Parisiens. Car s'il demeurait encore un espoir jeudi, ce n'est désormais plus le cas.
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