Wembanyama, mise au point avec les Bleus
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Victor Wembanyama sera l'une des figures de proue de l'équipe de France de basket qui participera aux Jeux olympiques de Paris 2024. Mais il a voulu clarifier son rôle.
Du 26 juillet au 11 août, la France, et Paris en particulier, vivront au rythme des Jeux olympiques organisés dans la capitale tricolore. Parmi les multiples épreuves, le tournoi de basket est particulièrement attendu. Car pour les supporters français, ce sera l'occasion de retrouver un Victor Wembanyama qui a quitté les Métropolitans de Levallois-Perret au terme de la saison dernière pour s'engager avec les San Antonio Spurs. Lumineux pour sa toute première saison en NBA, le pivot a été élu Rookie de l'année et a affiché des statistiques monstrueuses pour un novice. De quoi lui offrir un statut particulier chez les Bleus ? Pas si sûr.
En tout cas, « Wemby » a voulu dire qu'il arrivait avec toute la modestie nécessaire pour bien se fondre dans le groupe de Vincent Collet. Ce samedi, il était présent du côté de Nanterre, dans le cadre d'un évènement publicitaire organisé par Nike. Dans ce cadre, il a répondu à quelques questions posées par les journalistes. Interrogé sur un potentiel statut de patron, le natif du Chesnay a mis les choses au point. « Je ne pense pas que ce soit mon étiquette. Je viens pour apprendre de ceux qui sont certainement les meilleurs joueurs de l'histoire de l'équipe de France. »
S'il aura forcément un rôle majeur à jouer durant la compétition, Victor Wembanyama a donc préféré calmer le jeu sur l'effervescence autour de sa personne. « Je n'ai aucun doute que les responsabilités sur le terrain seront réalistes. Je sais que l'on veut utiliser toutes nos armes et que mes coéquipiers seront prêts à me donner autant de responsabilités que nécessaire. Mais je ne viens pas pour être patron de ceux qui ont cinq, six ou sept campagnes dans les jambes. » D'ici les JO, l'équipe de France va pouvoir se préparer et parfaire ses automatismes.
Les hommes de Vincent Collet auront pour cela six matchs de préparation, avec d'abord la Turquie qu'ils retrouveront le 3 juillet du côté de Rouen. Puis il y aura une double-confrontation avec l'Allemagne, avant de se mesurer à la Serbie, au Canada et à l'Australie. De quoi arriver en forme pour le tournoi olympique. C'est du moins ce qu'espèrent les fans tricolores.
Du 26 juillet au 11 août, la France, et Paris en particulier, vivront au rythme des Jeux olympiques organisés dans la capitale tricolore. Parmi les multiples épreuves, le tournoi de basket est particulièrement attendu. Car pour les supporters français, ce sera l'occasion de retrouver un Victor Wembanyama qui a quitté les Métropolitans de Levallois-Perret au terme de la saison dernière pour s'engager avec les San Antonio Spurs. Lumineux pour sa toute première saison en NBA, le pivot a été élu Rookie de l'année et a affiché des statistiques monstrueuses pour un novice. De quoi lui offrir un statut particulier chez les Bleus ? Pas si sûr.
En tout cas, « Wemby » a voulu dire qu'il arrivait avec toute la modestie nécessaire pour bien se fondre dans le groupe de Vincent Collet. Ce samedi, il était présent du côté de Nanterre, dans le cadre d'un évènement publicitaire organisé par Nike. Dans ce cadre, il a répondu à quelques questions posées par les journalistes. Interrogé sur un potentiel statut de patron, le natif du Chesnay a mis les choses au point. « Je ne pense pas que ce soit mon étiquette. Je viens pour apprendre de ceux qui sont certainement les meilleurs joueurs de l'histoire de l'équipe de France. »
« Je ne viens pas pour être patron »
S'il aura forcément un rôle majeur à jouer durant la compétition, Victor Wembanyama a donc préféré calmer le jeu sur l'effervescence autour de sa personne. « Je n'ai aucun doute que les responsabilités sur le terrain seront réalistes. Je sais que l'on veut utiliser toutes nos armes et que mes coéquipiers seront prêts à me donner autant de responsabilités que nécessaire. Mais je ne viens pas pour être patron de ceux qui ont cinq, six ou sept campagnes dans les jambes. » D'ici les JO, l'équipe de France va pouvoir se préparer et parfaire ses automatismes.
Les hommes de Vincent Collet auront pour cela six matchs de préparation, avec d'abord la Turquie qu'ils retrouveront le 3 juillet du côté de Rouen. Puis il y aura une double-confrontation avec l'Allemagne, avant de se mesurer à la Serbie, au Canada et à l'Australie. De quoi arriver en forme pour le tournoi olympique. C'est du moins ce qu'espèrent les fans tricolores.
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