Alaphilippe, la mauvaise nouvelle
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Publié le , mis à jour le
De l’aveu de son cousin et ancien entraîneur, Julian Alaphilippe, certes vainqueur lors de la 12e étape du Giro, n’a pas retrouvé son niveau d’antan.
Julian Alaphilippe a été récompensé de ses efforts. Parti dans un improbable raid au long cours avec le seul Mirco Maestri comme compagnon d’échappée, le Français a enfin pu lever les bras sur la ligne d’arrivée. Près d’un an après sa dernière victoire, à l’occasion du Critérium du Dauphiné, le leader de la QuickStep a remporté la 12e étape du Tour d’Italie. Et si le héros du jour ne boudait pas son plaisir, plusieurs coureurs au sein du peloton ont salué son numéro.
« La manière dont il a couru, c'est fou. C'était une magnifique échappée, et seuls les grands champions peuvent courir comme ça. Alaphilippe était d'un autre niveau aujourd'hui, il est de retour, s’est ainsi enflammé Tadej Pogacar. Chapeau donc à Loulou, c'est une incroyable victoire et méritée. » Pourtant à en croire Franck Alaphilippe, cousin et ancien entraîneur du double champion du monde tricolore, Julian Alaphilippe n’a pas retrouvé son niveau passé.
« Par rapport à ses données, ce n'est pas encore tout à fait le niveau qu'il avait lors de ses belles années, a-t-il ainsi confié dans les colonnes de L’Equipe. Par contre, son niveau est supérieur à celui de l'an dernier à la même période. » La délivrance n’en est que plus grande pour le Français. « Il était bien mais, à nouveau, pas suffisamment pour gagner. Alors le revoir à l'attaque et mettre la balle au fond, c'est une grande satisfaction, un grand soulagement », a ajouté son cousin.
Ce succès lui offre inévitablement de nouvelles perspectives. « Je ne sais pas s'il va cibler une autre étape, d'autant qu'il va avoir un rôle pour aider ses copains de l'équipe, Tim Merlier pour les sprints et Mauri Vansevenant ou Jan Hirt (11e du général) en montagne. Et s'il a une opportunité, il la saisira, on le connaît », a assuré Franck Alaphilippe, sceptique lorsqu’il l’a vu se lancer à deux à plus de 120 kilomètres de l’arrivée : « ça m'a fait un peu peur. Mais c'est Julian. Le voir gagner de cette façon-là, ça fait du bien. »
Julian Alaphilippe a été récompensé de ses efforts. Parti dans un improbable raid au long cours avec le seul Mirco Maestri comme compagnon d’échappée, le Français a enfin pu lever les bras sur la ligne d’arrivée. Près d’un an après sa dernière victoire, à l’occasion du Critérium du Dauphiné, le leader de la QuickStep a remporté la 12e étape du Tour d’Italie. Et si le héros du jour ne boudait pas son plaisir, plusieurs coureurs au sein du peloton ont salué son numéro.
« La manière dont il a couru, c'est fou. C'était une magnifique échappée, et seuls les grands champions peuvent courir comme ça. Alaphilippe était d'un autre niveau aujourd'hui, il est de retour, s’est ainsi enflammé Tadej Pogacar. Chapeau donc à Loulou, c'est une incroyable victoire et méritée. » Pourtant à en croire Franck Alaphilippe, cousin et ancien entraîneur du double champion du monde tricolore, Julian Alaphilippe n’a pas retrouvé son niveau passé.
"Un grand soulagement"
« Par rapport à ses données, ce n'est pas encore tout à fait le niveau qu'il avait lors de ses belles années, a-t-il ainsi confié dans les colonnes de L’Equipe. Par contre, son niveau est supérieur à celui de l'an dernier à la même période. » La délivrance n’en est que plus grande pour le Français. « Il était bien mais, à nouveau, pas suffisamment pour gagner. Alors le revoir à l'attaque et mettre la balle au fond, c'est une grande satisfaction, un grand soulagement », a ajouté son cousin.
Ce succès lui offre inévitablement de nouvelles perspectives. « Je ne sais pas s'il va cibler une autre étape, d'autant qu'il va avoir un rôle pour aider ses copains de l'équipe, Tim Merlier pour les sprints et Mauri Vansevenant ou Jan Hirt (11e du général) en montagne. Et s'il a une opportunité, il la saisira, on le connaît », a assuré Franck Alaphilippe, sceptique lorsqu’il l’a vu se lancer à deux à plus de 120 kilomètres de l’arrivée : « ça m'a fait un peu peur. Mais c'est Julian. Le voir gagner de cette façon-là, ça fait du bien. »
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