Alaphilippe sur le Tour, c'est non
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Si la Soudal-Quick Step réfléchit sérieusement à revenir sur son choix de ne pas faire participer Julian Alaphilippe au Tour de France, certains espèrent que le tricolore ne sera pas présent. Voici pourquoi.
Avant même le début de la saison, le programme était établi pour Julian Alaphilippe. En 2024, le double-champion du monde de cyclisme sur route serait aligné sur le Tour d'Italie mais resterait aux stands lors du Tour de France. Une feuille de route concoctée par le patron de la Soudal-Quick Stem, Patrick Lefévère, jamais avare d'un petit coup de pression médiatique à l'encontre du compagnon de Marion Rousse. Oui mais voilà. Julian Alaphilippe a réalisé un Giro très satisfaisant et son employeur réfléchit désormais à changer ses plans et à l'envoyer au charbon sur la Grande Boucle. Pas du goût de tous.
Grand amateur de vélo, Bertrand Latour donne régulièrement son avis sur les aventures des différents coureurs qui forme le peloton, à commencer par les représentants tricolores dont Julian Alaphilippe demeure l'un des fers de lance. Mardi, le journaliste de la chaîne L’Équipe a justement été questionné sur la possible participation du Français au prochain Tour. Avec une réponse claire en retour : « Je n'ai pas envie de le voir sur le Tour de France si le sort qui lui est réservé est celui que j'imagine, c'est à dire d'être un équipier de Remco Evenepoel. »
Pour l'observateur, le statut de Julian Alaphilippe n'est tout bonnement pas compatible avec celui d'un simple porteur d'eau. « Julian Alaphilippe est double-champion du monde, c'est une star du cyclisme. Il a montré encore sur le Giro qu'il avait encore des jambes et qu'il était capable. Il n'est plus celui d'avant, mais il a quand même gagné une étape sur le Giro. Si c'est pour le voir faire le train, aider Evenepoel et lui porter les bidons dans les ascensions quand il ne reste plus grand monde, je n'ai pas envie. Et en plus, si ça l'impacte sur la suite de sa saison... »
Ce dernier point sera d'ailleurs crucial, comme Julian Alaphilippe l'a dit lui-même après le Tour d'Italie. Avant de répondre à la demande de Remco Evenepoel, qui insiste pour qu'il soit à ses côtés sur les routes françaises, le Tricolore souhaite voir s'il récupère suffisamment bien de son expérience transalpine avant de prendre une décision, lui qui veut par ailleurs être en forme au moment des Jeux olympiques de Paris 2024, pour une course en ligne qui fait partie de ses objectifs majeures cette année.
Avant même le début de la saison, le programme était établi pour Julian Alaphilippe. En 2024, le double-champion du monde de cyclisme sur route serait aligné sur le Tour d'Italie mais resterait aux stands lors du Tour de France. Une feuille de route concoctée par le patron de la Soudal-Quick Stem, Patrick Lefévère, jamais avare d'un petit coup de pression médiatique à l'encontre du compagnon de Marion Rousse. Oui mais voilà. Julian Alaphilippe a réalisé un Giro très satisfaisant et son employeur réfléchit désormais à changer ses plans et à l'envoyer au charbon sur la Grande Boucle. Pas du goût de tous.
Grand amateur de vélo, Bertrand Latour donne régulièrement son avis sur les aventures des différents coureurs qui forme le peloton, à commencer par les représentants tricolores dont Julian Alaphilippe demeure l'un des fers de lance. Mardi, le journaliste de la chaîne L’Équipe a justement été questionné sur la possible participation du Français au prochain Tour. Avec une réponse claire en retour : « Je n'ai pas envie de le voir sur le Tour de France si le sort qui lui est réservé est celui que j'imagine, c'est à dire d'être un équipier de Remco Evenepoel. »
Être en forme pour les JO de Paris
Pour l'observateur, le statut de Julian Alaphilippe n'est tout bonnement pas compatible avec celui d'un simple porteur d'eau. « Julian Alaphilippe est double-champion du monde, c'est une star du cyclisme. Il a montré encore sur le Giro qu'il avait encore des jambes et qu'il était capable. Il n'est plus celui d'avant, mais il a quand même gagné une étape sur le Giro. Si c'est pour le voir faire le train, aider Evenepoel et lui porter les bidons dans les ascensions quand il ne reste plus grand monde, je n'ai pas envie. Et en plus, si ça l'impacte sur la suite de sa saison... »
Ce dernier point sera d'ailleurs crucial, comme Julian Alaphilippe l'a dit lui-même après le Tour d'Italie. Avant de répondre à la demande de Remco Evenepoel, qui insiste pour qu'il soit à ses côtés sur les routes françaises, le Tricolore souhaite voir s'il récupère suffisamment bien de son expérience transalpine avant de prendre une décision, lui qui veut par ailleurs être en forme au moment des Jeux olympiques de Paris 2024, pour une course en ligne qui fait partie de ses objectifs majeures cette année.
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