Chute sur le Dauphiné, la décision qui interroge
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Suite à la chute massive survenue jeudi lors de la cinquième étape du Critérium du Dauphiné, la course a été neutralisée. De quoi faire réagir certains observateurs.
La saison de cyclisme bat son plein mais depuis janvier dernier, les incidents et les chutes ont pris une part grandissante dans l'actualité de ce sport. Si ces faits de course, aussi dramatiques soient-ils, ne sont pas une nouveauté, les directeurs de course choisissent désormais assez régulièrement de neutraliser leurs épreuves. Face à cette accumulation, certains se demandent désormais d'où vient le problème.
Ce jeudi, dans la foulée de la chute massive survenue lors de la cinquième étape du Critérium du Dauphiné, ayant notamment envoyé au sol des leaders tels que Primoz Roglic et Remco Evenepoel, Bertrand Latour s'est questionné sur le choix de Thierry Gouvenou, directeur de l'épreuve, de neutraliser la course. « J'ai l'impression que toutes les semaines, il y a une course qui est neutralisée. Avant, ça n'arrivait jamais. J'ai trente-et-un ans, je regarde du vélo depuis que je suis petit, les courses neutralisées, avant, il n'y en avait jamais. »
Et le journaliste de la chaîne L’Équipe de poursuivre son questionnement. « Cette année, très régulièrement, c'est neutralisé. Donc soit le vélo est devenu trop dangereux, auquel cas il faut changer les vélos, les freins à disque, soit on arrête les courses plus facilement qu'avant. Le vélo n'a pas changé en 2024. C'est le même sport. » Pointant volontairement les innovations techniques récentes qui équipent désormais les vélos dont se servent les coureurs, Bertrand Latour a donc posé le problème.
Mais il a également exprimé le souhait que les courses se poursuivent, que ceux qui composent le peloton et qui pratiquent ce sport savent quels en sont les risques, notamment lorsqu'il pleut : « C'est dur de dire ça, sachant que je parle de foot sans arrêt, je vais être suspecté de ne pas mesurer ce que c'est que de faire du vélo. Mais les chutes dans le sport cycliste il y en a toujours eu et il y en aura toujours. »
La saison de cyclisme bat son plein mais depuis janvier dernier, les incidents et les chutes ont pris une part grandissante dans l'actualité de ce sport. Si ces faits de course, aussi dramatiques soient-ils, ne sont pas une nouveauté, les directeurs de course choisissent désormais assez régulièrement de neutraliser leurs épreuves. Face à cette accumulation, certains se demandent désormais d'où vient le problème.
Ce jeudi, dans la foulée de la chute massive survenue lors de la cinquième étape du Critérium du Dauphiné, ayant notamment envoyé au sol des leaders tels que Primoz Roglic et Remco Evenepoel, Bertrand Latour s'est questionné sur le choix de Thierry Gouvenou, directeur de l'épreuve, de neutraliser la course. « J'ai l'impression que toutes les semaines, il y a une course qui est neutralisée. Avant, ça n'arrivait jamais. J'ai trente-et-un ans, je regarde du vélo depuis que je suis petit, les courses neutralisées, avant, il n'y en avait jamais. »
Les chutes, pas une nouveauté
Et le journaliste de la chaîne L’Équipe de poursuivre son questionnement. « Cette année, très régulièrement, c'est neutralisé. Donc soit le vélo est devenu trop dangereux, auquel cas il faut changer les vélos, les freins à disque, soit on arrête les courses plus facilement qu'avant. Le vélo n'a pas changé en 2024. C'est le même sport. » Pointant volontairement les innovations techniques récentes qui équipent désormais les vélos dont se servent les coureurs, Bertrand Latour a donc posé le problème.
Mais il a également exprimé le souhait que les courses se poursuivent, que ceux qui composent le peloton et qui pratiquent ce sport savent quels en sont les risques, notamment lorsqu'il pleut : « C'est dur de dire ça, sachant que je parle de foot sans arrêt, je vais être suspecté de ne pas mesurer ce que c'est que de faire du vélo. Mais les chutes dans le sport cycliste il y en a toujours eu et il y en aura toujours. »
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