Dopage: la sanction est tombée pour l’équipe de Vingegaard
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A une semaine du coup d’envoi du Tour de France, la Visma-Lease a Bike a annoncé la suspension d’un de ses coureurs.
Le verdict est tombé. Contrôlé positif au chortalidone au printemps dernier, Michel Hessmann connaît sa sanction. Le coéquipier de Jonas Vingegaard a en effet écopé de quatre mois avec un effet rétroactif de trois mois de la part de l'agence anti-dopage allemand (NADA), a annoncé la formation Visma-Lease a Bike, qui avait écarté son coureur.
Michel Hessmann avait été testé positif lors d'un contrôle hors compétition, révélant la présence de ce diurétique, qui peut être utilisé pour fausser les résultats d'un test antidopage. A l’instar d’experts externes mandatés par la justice allemande, qui avait classé l’affaire en janvier, la NADA considère que le coureur allemand a vraisemblablement « pris un médicament contaminé comme du paracetamol, de l'ibuprofen ou du naproxen ».
Pour autant, la NADA estime que la responsabilité du sportif reste engagée et donc prononcé la sanction la plus légère. Une suspension acceptée par le coureur, qui pourrait faire son retour à la compétition le mois prochain. Son avenir n’en demeure pas moins incertain. « Après cela, Michel Hessmann et l'équipe réfléchiront à la marche à suivre », a conclu la Visma-Lease a Bike alors que Michel Hessmann sera en fin de contrat à la fin de l’année.
Le verdict est tombé. Contrôlé positif au chortalidone au printemps dernier, Michel Hessmann connaît sa sanction. Le coéquipier de Jonas Vingegaard a en effet écopé de quatre mois avec un effet rétroactif de trois mois de la part de l'agence anti-dopage allemand (NADA), a annoncé la formation Visma-Lease a Bike, qui avait écarté son coureur.
Michel Hessmann avait été testé positif lors d'un contrôle hors compétition, révélant la présence de ce diurétique, qui peut être utilisé pour fausser les résultats d'un test antidopage. A l’instar d’experts externes mandatés par la justice allemande, qui avait classé l’affaire en janvier, la NADA considère que le coureur allemand a vraisemblablement « pris un médicament contaminé comme du paracetamol, de l'ibuprofen ou du naproxen ».
Pour autant, la NADA estime que la responsabilité du sportif reste engagée et donc prononcé la sanction la plus légère. Une suspension acceptée par le coureur, qui pourrait faire son retour à la compétition le mois prochain. Son avenir n’en demeure pas moins incertain. « Après cela, Michel Hessmann et l'équipe réfléchiront à la marche à suivre », a conclu la Visma-Lease a Bike alors que Michel Hessmann sera en fin de contrat à la fin de l’année.
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