Dopage sur le Giro: La sanction tombe !

Publié le , mis à jour le
Coupable d’avoir violé les règles anti-dopage lors du Tour d’Italie 2022, Miguel Angel Lopez a écopé de quatre ans de suspension.
L'Union Cycliste Internationale a eu la main lourde. Interdit de compétition depuis l’été dernier pour des soupçons de dopage lors du Tour d’Italie 2022, le Colombien Miguel Angel Lopez a été suspendu 4 ans par l’UCI. L’ancien coureur d’Astana a été jugé coupable « d'une violation des règles antidopage (VRAD) pour usage et possession d'une substance interdite (ménotropine), de façon concomitante au Giro d'Italia 2022. »
"La période de suspension a débuté le 25 juillet 2023 et s'étendra jusqu'au 24 juillet 2027", a précisé dans son communiqué l’instance internationale. La suspension a en effet débuté de manière rétroactive, au lendemain de la dernière course disputée par Miguel Angel Lopez après avoir été interdit de compétition, le Tour du Panama sur lequel le Colombien avait couru les trois premières étapes.
Lopez avait couru le Tour d'Italie 2022 sous le maillot de l'équipe Astana Qazaqstan. Il avait dû abandonner au cours de la 4e étape. Il avait ensuite terminé 4e du Tour d'Espagne remporté par Remco Evenepoel. Le Colombien avait été provisoirement suspendu par l'équipe kazakhe entre les deux grands tours. Il a quitté Astana à la fin de l'année 2022 et a couru le début de la saison 2023 avec Medellin-EPM, jusqu'à sa suspension.
Cette sanction est la conclusion de la procédure disciplinaire lancée par l’UCI après l’enquête menée par l'International Testing Agency (ITA) grâce aux preuves obtenues par la police espagnole et l'organisation antidopage espagnole (CELAD) dans le cadre de l'opération "Ilex". Cette dernière avait pour but de démanteler un trafic de produits dopants orchestré par le sulfureux Dr. Marcos Maynar.
Suite aux premières révélations dans le cadre de l’affaire Maynar, Miguel Angel Lopez avait été licencié par Astana en décembre 2022, six mois après un Tour d’Italie au cours duquel il avait abandonné dès la quatrième étape. Meilleur jeune sur la Vuelta en 2017 et deux fois sur le Giro (2018 et 2019), le Colombien avait terminé au pied du podium sur le Tour d’Espagne peu avant son renvoi de la formation kazakhe. Il avait couru le début de la saison 2023 avec Medellin-EPM, jusqu'à sa suspension.
L'Union Cycliste Internationale a eu la main lourde. Interdit de compétition depuis l’été dernier pour des soupçons de dopage lors du Tour d’Italie 2022, le Colombien Miguel Angel Lopez a été suspendu 4 ans par l’UCI. L’ancien coureur d’Astana a été jugé coupable « d'une violation des règles antidopage (VRAD) pour usage et possession d'une substance interdite (ménotropine), de façon concomitante au Giro d'Italia 2022. »
"La période de suspension a débuté le 25 juillet 2023 et s'étendra jusqu'au 24 juillet 2027", a précisé dans son communiqué l’instance internationale. La suspension a en effet débuté de manière rétroactive, au lendemain de la dernière course disputée par Miguel Angel Lopez après avoir été interdit de compétition, le Tour du Panama sur lequel le Colombien avait couru les trois premières étapes.
Quatrième de la Vuelta 2022
Lopez avait couru le Tour d'Italie 2022 sous le maillot de l'équipe Astana Qazaqstan. Il avait dû abandonner au cours de la 4e étape. Il avait ensuite terminé 4e du Tour d'Espagne remporté par Remco Evenepoel. Le Colombien avait été provisoirement suspendu par l'équipe kazakhe entre les deux grands tours. Il a quitté Astana à la fin de l'année 2022 et a couru le début de la saison 2023 avec Medellin-EPM, jusqu'à sa suspension.
Cette sanction est la conclusion de la procédure disciplinaire lancée par l’UCI après l’enquête menée par l'International Testing Agency (ITA) grâce aux preuves obtenues par la police espagnole et l'organisation antidopage espagnole (CELAD) dans le cadre de l'opération "Ilex". Cette dernière avait pour but de démanteler un trafic de produits dopants orchestré par le sulfureux Dr. Marcos Maynar.
Suite aux premières révélations dans le cadre de l’affaire Maynar, Miguel Angel Lopez avait été licencié par Astana en décembre 2022, six mois après un Tour d’Italie au cours duquel il avait abandonné dès la quatrième étape. Meilleur jeune sur la Vuelta en 2017 et deux fois sur le Giro (2018 et 2019), le Colombien avait terminé au pied du podium sur le Tour d’Espagne peu avant son renvoi de la formation kazakhe. Il avait couru le début de la saison 2023 avec Medellin-EPM, jusqu'à sa suspension.
Publicité