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Dopage: Tadej Pogacar, la supercherie dénoncée par un mécanicien !

Dopage: Tadej Pogacar, la supercherie dénoncée par un mécanicien !
Publié le , mis à jour le
Si Tadej Pogacar a remporté, comme attendu, un troisième Tour de France, sa domination a suscité de très vives interrogations, certains refusant d’y croire.
Plus d’un quart de siècle après Marco Pantani, Tadej Pogacar a à son tour réalisé le doublé Tour d’Italie-Tour de France, devenant le septième coureur de l’histoire à signer un tel exploit. Deux mois après avoir écrasé le Giro, terminé avec près de dix minutes d’avance sur son dauphin et six victoires d’étape, le Slovène a remis ça sur la Grande Boucle.

Profitant de l’état de forme précaire de Jonas Vingegaard, le leader de l’UAE-Team Emirates a conclu le Tour avec plus de six minutes d’avance sur son rival et pas de cinq étapes, signant notamment un carton plein dans les Alpes et dans les Pyrénées. Plus marquant encore, Tadej Pogacar a enchaîné les records dans les ascensions, explosant plusieurs marques références déposées en leur temps par Lance Armstrong ou Marco Pantani. En pleine ère du dopage…

"C’est comme le catch"


Du dopage, il en fut d’ailleurs souvent question ces deux dernières semaines sur le Tour de France, les performances du désormais triple vainqueur de la Grande Boucle étant jugées tout bonnement inhumaines par certains observateurs. « Je ne comprends pas comment c’est possible », a ainsi lâché Nacer Bouhanni, retiré des pelotons depuis seulement quelques mois et très circonspect au sujet des exploits répétés par Tadej Pogacar et consorts.

Et à en croire La Provence, ces doutes sont partagés par certains au cœur de la caravane du Tour. « C’est le vélo hein, c’est comme le catch », a ainsi lancé un mécanicien d’une formation du World Tour, dénonçant à sa façon une vaste supercherie. D’autres préfèrent faire l’autruche et ne pas y penser. « Si je commence à réfléchir à ça, je deviens dingue. Moi, je ne suis pas fan du Tour de France, je suis fan de mon équipe », a commenté Jean-René Bernaudeau, le patron de l’équipe Total.
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