Dopage : Vingegaard, la Visma passe aux aveux !
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Richard Plugge, manager de la Visma-Lease a bike, a fait une confidence étonnante au sujet de ses attaques contre la FDJ-Groupama, lors du dernier Tour de France.
A un mois du coup d’envoi du Tour de France, Netflix s’apprête à diffuser la saison 2 de sa série Tour de France: Au cœur du peloton, qui débarquera sur la plateforme lundi prochain. Et comme la première saison, qui avait mis en lumière des dissensions entre Jonas Vingegaard et Wout van Aert, ce second opus s’attarde évidemment sur la Jumbo-Visma et son leader, vainqueur final de ce Tour 2023.
Et plus encore que l’année précédente, Jonas Vingegaard a offert un véritable récital l’été dernier, notamment lors du contre-la-montre de Combloux. Une démonstration de force qui avait attisé la suspicion. A en croire Le Parisien, ce malaise est d’ailleurs « largement évoqué ». « À un moment, la vérité surgit. Je vous ai répondu », peut-on entendre lancer Marc Madiot, le directeur sportif de la Groupama-FDJ. Une attaque qui n’a pas été du goût de la formation néerlandaise.
Car si Jonas Vingegaard s’est contenté d’assurer « être propre », ajoutant : « Même dans cent ans, on ne trouvera rien dans mes échantillons », Richard Plugge, le manager de la formation néerlandaise a été plus cinglant. « On regarde aussi autour de nous ce que font les autres. Par exemple, on était avec une équipe française (la Groupama-FDJ) à notre hôtel durant la journée de repos. On voyait des coureurs boire des grandes bières, avait-il lancé. L’alcool, c’est du poison, et surtout quand vous êtes déjà fatigué, vous allez l’être encore plus. Au début de la dernière semaine du Tour, qui est la plus importante, il faut faire très attention à ce que vous buvez et mangez. »
Cette attaque en bonne et due forme avait provoqué la colère de Marc Madiot. « C’est minable, pitoyable, petit, honteux. Qu’il ferme sa gueule. Qu’il ferme bien sa gueule », avait-il hurlé. Mais à en croire le patron de la Jumbo, l’objectif était rempli. « On a détourné l’attention des gens avec cette histoire alors qu’on ne parlait que de Jonas », a-t-il ainsi soufflé, content de son effet.
A un mois du coup d’envoi du Tour de France, Netflix s’apprête à diffuser la saison 2 de sa série Tour de France: Au cœur du peloton, qui débarquera sur la plateforme lundi prochain. Et comme la première saison, qui avait mis en lumière des dissensions entre Jonas Vingegaard et Wout van Aert, ce second opus s’attarde évidemment sur la Jumbo-Visma et son leader, vainqueur final de ce Tour 2023.
Et plus encore que l’année précédente, Jonas Vingegaard a offert un véritable récital l’été dernier, notamment lors du contre-la-montre de Combloux. Une démonstration de force qui avait attisé la suspicion. A en croire Le Parisien, ce malaise est d’ailleurs « largement évoqué ». « À un moment, la vérité surgit. Je vous ai répondu », peut-on entendre lancer Marc Madiot, le directeur sportif de la Groupama-FDJ. Une attaque qui n’a pas été du goût de la formation néerlandaise.
La Jumbo voulait juste détourner l'attention
Car si Jonas Vingegaard s’est contenté d’assurer « être propre », ajoutant : « Même dans cent ans, on ne trouvera rien dans mes échantillons », Richard Plugge, le manager de la formation néerlandaise a été plus cinglant. « On regarde aussi autour de nous ce que font les autres. Par exemple, on était avec une équipe française (la Groupama-FDJ) à notre hôtel durant la journée de repos. On voyait des coureurs boire des grandes bières, avait-il lancé. L’alcool, c’est du poison, et surtout quand vous êtes déjà fatigué, vous allez l’être encore plus. Au début de la dernière semaine du Tour, qui est la plus importante, il faut faire très attention à ce que vous buvez et mangez. »
Cette attaque en bonne et due forme avait provoqué la colère de Marc Madiot. « C’est minable, pitoyable, petit, honteux. Qu’il ferme sa gueule. Qu’il ferme bien sa gueule », avait-il hurlé. Mais à en croire le patron de la Jumbo, l’objectif était rempli. « On a détourné l’attention des gens avec cette histoire alors qu’on ne parlait que de Jonas », a-t-il ainsi soufflé, content de son effet.
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