« Il n’a pas eu de couilles »: Evenepoel explose !
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Publié le , mis à jour le
A l’instar de Tadej Pogacar, Remco Evenepoel a eu des mots très durs contre Jonas Vingegaard, très prudent lors de l’étape des chemins blancs autour de Troyes.
La tactique de Jonas Vingegaard lors de la 9e étape du Tour de France a décidément beaucoup fait parler. Le Danois a en effet refusé de rouler avec Tadej Pogacar ou Jonas Vingegaard lorsque ses deux rivaux ont attaqué. Une frilosité mal vécue par le Slovène qui n’a pas hésité à s’en prendre à son rival devant les micros à l’arrivée.
« Je m’en souviendrai », a-t-il ainsi soufflé, menaçant, à l’arrivée. « Je pense que Vingegaard a peur de moi, a-t-il poursuivi. S’il n'avait pas peur de moi, il aurait pris les relais, surtout qu'il avait un coéquipier, a-t-il encore remarqué. Ils ont peur de moi, ils ne pensent qu'à ma roue et ne pensent pas à Remco (Evenepoel) ni à Primoz (Roglic). Je pense que chez Visma, ils n'ont regardé que moi et pas assez les autres.»
Et Tadej Pogacar n’a pas été le seul à fustiger l’attitude du dernier vainqueur du Tour de France. « Tadej et moi n’étions pas heureux parce que je pense que le podium pour le Tour aurait déjà pu être décidé aujourd’hui. Nous devons accepter les tactiques et les situations de course. Mais parfois il faut aussi courir avec des couilles et malheureusement, Jonas ne les avait peut-être aujourd’hui », a-t-il lancé devant la presse.
« Ce sont des tactiques de course, mais pas de problème. La course est toujours très longue et j’accepte totalement les raisons pour lesquelles il n’a pas couru. Mais Tadej et moi, on aime attaquer tous les deux assez loin de l’arrivée, a-t-il renchéri. Nous voulions continuer, Jonas était plus défensif mais nous devons accepter, il avait toutes les bonnes raisons de courir comme ça. Je comprends complètement pourquoi. »
Mais si le leader de la Quick-Step peut regretter que Jonas Vingegaard n’ait pas roulé lorsqu’il a attaqué au kilomètre 120, il peut également le remercier que le Danois n’ait pas été plus offensif dans l’avant-dernier secteur alors que l’ancien champion du monde était décramponné.
La tactique de Jonas Vingegaard lors de la 9e étape du Tour de France a décidément beaucoup fait parler. Le Danois a en effet refusé de rouler avec Tadej Pogacar ou Jonas Vingegaard lorsque ses deux rivaux ont attaqué. Une frilosité mal vécue par le Slovène qui n’a pas hésité à s’en prendre à son rival devant les micros à l’arrivée.
« Je m’en souviendrai », a-t-il ainsi soufflé, menaçant, à l’arrivée. « Je pense que Vingegaard a peur de moi, a-t-il poursuivi. S’il n'avait pas peur de moi, il aurait pris les relais, surtout qu'il avait un coéquipier, a-t-il encore remarqué. Ils ont peur de moi, ils ne pensent qu'à ma roue et ne pensent pas à Remco (Evenepoel) ni à Primoz (Roglic). Je pense que chez Visma, ils n'ont regardé que moi et pas assez les autres.»
Jonas Vingegaard aurait pu aussi faire mal à Remco Evenepoel
Et Tadej Pogacar n’a pas été le seul à fustiger l’attitude du dernier vainqueur du Tour de France. « Tadej et moi n’étions pas heureux parce que je pense que le podium pour le Tour aurait déjà pu être décidé aujourd’hui. Nous devons accepter les tactiques et les situations de course. Mais parfois il faut aussi courir avec des couilles et malheureusement, Jonas ne les avait peut-être aujourd’hui », a-t-il lancé devant la presse.
« Ce sont des tactiques de course, mais pas de problème. La course est toujours très longue et j’accepte totalement les raisons pour lesquelles il n’a pas couru. Mais Tadej et moi, on aime attaquer tous les deux assez loin de l’arrivée, a-t-il renchéri. Nous voulions continuer, Jonas était plus défensif mais nous devons accepter, il avait toutes les bonnes raisons de courir comme ça. Je comprends complètement pourquoi. »
Mais si le leader de la Quick-Step peut regretter que Jonas Vingegaard n’ait pas roulé lorsqu’il a attaqué au kilomètre 120, il peut également le remercier que le Danois n’ait pas été plus offensif dans l’avant-dernier secteur alors que l’ancien champion du monde était décramponné.
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