Jasper Philipsen, la mauvaise nouvelle

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Deuxième derrière son coéquipier Mathieu van der Poel lors des deux dernières éditions, Jasper Philipsen se présente une fois de plus sur Paris - Roubaix. Mais le Belge souffre encore de sa chute survenue il y a trois semaines.
Pas sûr que ce soit un état de forme idéal avant d’aborder Paris-Roubaix et ses 260 kilomètres mais Jasper Philipsen sera bien présent. Le Belge reste d’ailleurs sur deux deuxièmes places lors des deux dernières éditions derrière son compère Mathieu van der Poel. Mais contrairement à 2023 et 2024, le coureur d’Alpecin-Deceuninck n’arrive pas dans des conditions optimales pour performer. Et pour cause, le vainqueur de trois étapes lors du dernier Tour de France a toujours des séquelles d’une chute survenue il y a près de trois semaines. Malgré cet évènement, le sprinteur sera bel et bien sur la ligne de départ ce dimanche. Mais il l’a dit et l’assume, ce sera très difficile d’aller chercher quelque chose.
À Nokere Koerse il y a trois semaines, il a lourdement chuté dans le final et a été évacué en ambulance. Depuis, il a pu participer à plusieurs courses pour se refaire la cerise. Mais certaines douleurs sont encore présentes. « Cette chute me joue encore des tours, a expliqué le sprinteur dans des propos repris par DH. Un petit coup du lapin (un traumatisme cervical), quelques douleurs musculaires et des maux de tête occasionnels. Ce n'est pas incontrôlable et je suis soigné, ce n'est donc pas une excuse. Mais je ne me sens pas encore tout à fait à l’aise. »
Malgré cet état de forme et ces maux de tête persistant par moments, Jasper Philipsen est décidé à être présent ce dimanche. « À Gand-Wevelgem et au GP de l'Escaut, j'ai pu reprendre confiance, sourit le Belge. En tout cas, j'ai travaillé dur pour être prêt. J'espère que ces efforts seront récompensés dimanche. » Le coureur aime cette épreuve, ce qui devrait lui permettre de mieux vivre cette édition. « Ce n'est pas comme le Tour des Flandres, où les collines s’enchaînent, reconnait-il, toujours auprès de DH. Il s'agit plutôt de se positionner et de survivre dans les sections pavées. C'est le genre de parcours que j'aime. J'aime beaucoup rouler sur les pavés. » Quoi qu’il en soit, le vainqueur de Kuurne aura des ambitions moins élevées qu’à l’accoutumée : « Si j'étais à nouveau deuxième derrière Mathieu, je le ressentirais comme une victoire. Pour l'équipe et pour moi. »
Pas sûr que ce soit un état de forme idéal avant d’aborder Paris-Roubaix et ses 260 kilomètres mais Jasper Philipsen sera bien présent. Le Belge reste d’ailleurs sur deux deuxièmes places lors des deux dernières éditions derrière son compère Mathieu van der Poel. Mais contrairement à 2023 et 2024, le coureur d’Alpecin-Deceuninck n’arrive pas dans des conditions optimales pour performer. Et pour cause, le vainqueur de trois étapes lors du dernier Tour de France a toujours des séquelles d’une chute survenue il y a près de trois semaines. Malgré cet évènement, le sprinteur sera bel et bien sur la ligne de départ ce dimanche. Mais il l’a dit et l’assume, ce sera très difficile d’aller chercher quelque chose.
À Nokere Koerse il y a trois semaines, il a lourdement chuté dans le final et a été évacué en ambulance. Depuis, il a pu participer à plusieurs courses pour se refaire la cerise. Mais certaines douleurs sont encore présentes. « Cette chute me joue encore des tours, a expliqué le sprinteur dans des propos repris par DH. Un petit coup du lapin (un traumatisme cervical), quelques douleurs musculaires et des maux de tête occasionnels. Ce n'est pas incontrôlable et je suis soigné, ce n'est donc pas une excuse. Mais je ne me sens pas encore tout à fait à l’aise. »
Paris-Roubaix, une course qui lui va
Malgré cet état de forme et ces maux de tête persistant par moments, Jasper Philipsen est décidé à être présent ce dimanche. « À Gand-Wevelgem et au GP de l'Escaut, j'ai pu reprendre confiance, sourit le Belge. En tout cas, j'ai travaillé dur pour être prêt. J'espère que ces efforts seront récompensés dimanche. » Le coureur aime cette épreuve, ce qui devrait lui permettre de mieux vivre cette édition. « Ce n'est pas comme le Tour des Flandres, où les collines s’enchaînent, reconnait-il, toujours auprès de DH. Il s'agit plutôt de se positionner et de survivre dans les sections pavées. C'est le genre de parcours que j'aime. J'aime beaucoup rouler sur les pavés. » Quoi qu’il en soit, le vainqueur de Kuurne aura des ambitions moins élevées qu’à l’accoutumée : « Si j'étais à nouveau deuxième derrière Mathieu, je le ressentirais comme une victoire. Pour l'équipe et pour moi. »
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