Jonas Vingegaard, le verdict tombe !
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Alors que l’incertitude règne au sujet de la présence de Jonas Vingegaard au départ du Tour de France, Cyrille Guimard ne croit pas en sa capacité de briller en juillet.
A quinze jours du départ du Tour de France, le plus grand flou entoure toujours la situation de Jonas Vingegaard, lourdement tombé sur les routes du Tour du Pays basque et victime d’une fracture de la clavicule gauche et de plusieurs côtes, d’une contusion pulmonaire et d’un pneumothorax. Si le Danois est actuellement en altitude pour peaufiner sa préparation, son entraîneur considère que c’est encore du « 50-50 ».
« Il devait être capable de suivre le programme s’il voulait espérer être prêt pour le Tour. La première semaine en altitude a été consacrée à l’adaptation et à la récupération, et il vient de passer une semaine difficile. Et maintenant, il y en aura une autre. L’important sera de savoir comment il réagira. Sera-t-il à la hauteur ? Sera-t-il fatigué ? La semaine qui vient et celle qui suit sont essentielles en vue du Tour. Il est également important qu’il se sente de plus en plus prêt », a déclaré Tim Heemskerk au journal danois BT, ajoutant que pour lui, comme pour Wout van Aert, « ils ont tous les deux un peu plus de 50% de chances de faire le Tour. »
Mais pour Cyrille Guimard, quand bien même il serait bel et bien à Florence dans deux semaines pour le Grand Départ, il ne pourrait prétendre à jouer les premiers rôles. « Le staff de cette équipe est sûrement plus inquiet que nous par rapport à la situation actuelle. Est-ce nécessaire de mettre Vingegaard au départ du Tour de France plutôt que de le lui laisser quelques semaines de plus pour préparer le Tour d'Espagne ? Moi, honnêtement, et même si on n'a pas tous les éléments, je ne vois pas comment il pourrait jouer en tant que leader sur le Tour », a-t-il confié auprès de Cylism’Actu.
« Vous ne pouvez pas revenir au top niveau en un mois et demi, ça n'existe pas, a-t-il renchéri. Globalement, c'est une équipe qui est en grande difficulté, mais ce n'est pas de son fait, ce sont les évènements qui font que. Il y a des années où cela se passe comme ça. Il faut faire le dos rond et attendre. » Aux doutes entourant Jonas Vingegaard et Wout van Aert, s’ajoute en effet l’état de forme précaire de Sepp Kuss, le dernier vainqueur de la Vuelta, contraint à l’abandon sur le Dauphiné.
A quinze jours du départ du Tour de France, le plus grand flou entoure toujours la situation de Jonas Vingegaard, lourdement tombé sur les routes du Tour du Pays basque et victime d’une fracture de la clavicule gauche et de plusieurs côtes, d’une contusion pulmonaire et d’un pneumothorax. Si le Danois est actuellement en altitude pour peaufiner sa préparation, son entraîneur considère que c’est encore du « 50-50 ».
« Il devait être capable de suivre le programme s’il voulait espérer être prêt pour le Tour. La première semaine en altitude a été consacrée à l’adaptation et à la récupération, et il vient de passer une semaine difficile. Et maintenant, il y en aura une autre. L’important sera de savoir comment il réagira. Sera-t-il à la hauteur ? Sera-t-il fatigué ? La semaine qui vient et celle qui suit sont essentielles en vue du Tour. Il est également important qu’il se sente de plus en plus prêt », a déclaré Tim Heemskerk au journal danois BT, ajoutant que pour lui, comme pour Wout van Aert, « ils ont tous les deux un peu plus de 50% de chances de faire le Tour. »
Jonas Vingegaard ne peut pas revenir en un mois et demi
Mais pour Cyrille Guimard, quand bien même il serait bel et bien à Florence dans deux semaines pour le Grand Départ, il ne pourrait prétendre à jouer les premiers rôles. « Le staff de cette équipe est sûrement plus inquiet que nous par rapport à la situation actuelle. Est-ce nécessaire de mettre Vingegaard au départ du Tour de France plutôt que de le lui laisser quelques semaines de plus pour préparer le Tour d'Espagne ? Moi, honnêtement, et même si on n'a pas tous les éléments, je ne vois pas comment il pourrait jouer en tant que leader sur le Tour », a-t-il confié auprès de Cylism’Actu.
« Vous ne pouvez pas revenir au top niveau en un mois et demi, ça n'existe pas, a-t-il renchéri. Globalement, c'est une équipe qui est en grande difficulté, mais ce n'est pas de son fait, ce sont les évènements qui font que. Il y a des années où cela se passe comme ça. Il faut faire le dos rond et attendre. » Aux doutes entourant Jonas Vingegaard et Wout van Aert, s’ajoute en effet l’état de forme précaire de Sepp Kuss, le dernier vainqueur de la Vuelta, contraint à l’abandon sur le Dauphiné.
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