Jonas Vingegaard, les lourds soupçons
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Absent des pelotons depuis le Tour de France, Jonas Vingegaard fait naître de sérieuses interrogations chez Bernard Hinault.
Jonas Vingegaard gardera un souvenir amer de 2024. Tout du moins sportivement. S’il a commencé l’année en survolant O Gran Camino puis la Tirreno-Adriatico, il a vu sa saison basculer sur les routes du Tour du Pays Basque à cause d’une chute aux (très) lourdes conséquences. Sa préparation du Tour de France en fut en effet chamboulée et vainqueur des deux dernières éditions de la Grande Boucle, il a cette fois subi la loi de Tadej Pogacar.
S’il terminé deuxième de cette Grande Boucle, le Danois n’a jamais été en mesure de véritablement rivaliser avec son rival, terminant finalement à plus de six minutes du leader de la Team UAE. Un échec difficile à vivre pour le coureur de la Visma qui enchaîna certes en août avec un succès sur le Tour de Pologne mais décida ensuite de mettre un terme à sa saison pour rester auprès de son épouse, en passe de donner naissance à leur deuxième enfant. Un choix somme toute qui ne plaît toutefois guère à Bernard Hinault.
« Ce n'est pas le premier qui fait ça, a-t-il confié à Cyclism’Actu. Par le passé, beaucoup de coureurs ayant performé sur le Tour se sont dit : 'la vie est belle, pourquoi je continuerai à me battre'. On peut se demander s'ils aiment faire du vélo car si on aime le vélo, on aime courir et on aime gagner. Vingegaard donne l'impression de moins aimer la course qu'un Pogacar ou qu'un Evenepoel. »
Au moment de classer les ‘quatre fantastiques’, Bernard Hinault n’hésite d’ailleurs pas. « Avec tout ce qu'il a pu gagner depuis le début de saison, je mets Tadej Pogacar en premier, a-t-il lancé. Ensuite, je mets Remco Evenepoel, Jonas Vingegaard et enfin Primoz Roglic. »
Jonas Vingegaard gardera un souvenir amer de 2024. Tout du moins sportivement. S’il a commencé l’année en survolant O Gran Camino puis la Tirreno-Adriatico, il a vu sa saison basculer sur les routes du Tour du Pays Basque à cause d’une chute aux (très) lourdes conséquences. Sa préparation du Tour de France en fut en effet chamboulée et vainqueur des deux dernières éditions de la Grande Boucle, il a cette fois subi la loi de Tadej Pogacar.
S’il terminé deuxième de cette Grande Boucle, le Danois n’a jamais été en mesure de véritablement rivaliser avec son rival, terminant finalement à plus de six minutes du leader de la Team UAE. Un échec difficile à vivre pour le coureur de la Visma qui enchaîna certes en août avec un succès sur le Tour de Pologne mais décida ensuite de mettre un terme à sa saison pour rester auprès de son épouse, en passe de donner naissance à leur deuxième enfant. Un choix somme toute qui ne plaît toutefois guère à Bernard Hinault.
"Aime-t-il vraiment le vélo ?"
« Ce n'est pas le premier qui fait ça, a-t-il confié à Cyclism’Actu. Par le passé, beaucoup de coureurs ayant performé sur le Tour se sont dit : 'la vie est belle, pourquoi je continuerai à me battre'. On peut se demander s'ils aiment faire du vélo car si on aime le vélo, on aime courir et on aime gagner. Vingegaard donne l'impression de moins aimer la course qu'un Pogacar ou qu'un Evenepoel. »
Au moment de classer les ‘quatre fantastiques’, Bernard Hinault n’hésite d’ailleurs pas. « Avec tout ce qu'il a pu gagner depuis le début de saison, je mets Tadej Pogacar en premier, a-t-il lancé. Ensuite, je mets Remco Evenepoel, Jonas Vingegaard et enfin Primoz Roglic. »
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