Lenny Martinez, la polémique
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Publié le , mis à jour le
Transféré cet hiver de la Groupama-FDJ vers Bahrain-Victorious, Lenny Martinez dément avoir fait un choix uniquement guidé par l'argent.
Lenny Martinez a débuté sa nouvelle vie. Le Français était en stage à Tenerife avec la Bahrain-Victorious, sa nouvelle équipe. Et il met les choses au clair, en démentant avoir quitté la Groupama-FDJ juste pour signer un gros contrat.
"Oui, c'était la plus grosse offre. Mais beaucoup plus que les autres ? Pas tellement. Les rumeurs disent que c'est un assez gros contrat. Je peux dire que c'est largement moins que ce qui a été écrit !", assure le jeune grimpeur français dans un entretien accordé à L'Equipe.
Lenny Martinez, toutefois, ne contredit pas son interlocuteur quand celui-ci évoque le fait qu'il a multiplié son salaire par 10. "Bon, j'avais un salaire de coureur en première année World Tour. Forcément, c'était pas un truc de fou. Maintenant, c'est bien plus, et c'est normal avec toutes les victoires que j'ai eues, estime-t-il avant de commenter le montant évoqué pour son salaire. J'ai lu quelque part que j'allais gagner 2,5 M€ par an. C'est complètement faux (il se marre franchement) !"
https://x.com/sports_fr/status/1885542232821727251
"Une carrière, c'est vraiment court. Groupama-FDJ me proposait aussi un bon contrat, d'autres formations aussi, mais à la fin, la différence n'est pas énorme...", assume Lenny Martinez, qui explique avoir rejoint Bahrain pour découvrir un nouvel horizon, un nouveau challenge à l'étranger, et parce qu'il était séduit par le discours de cette équipe.
Lenny Martinez admet tout de même avoir fait un autre choix cet hiver récemment en déménageant du côté d'Andorre. Pour quelles raisons ? "Hmm, on va pas se mentir, pour les impôts déjà ! J'hésitais avec Monaco, que j'aime bien car c'est à côté de la France, explique-t-il. Monaco, si j'y allais, pour les impôts c'était pas possible car je suis français. J'ai finalement choisi Andorre. Je me suis dit qu'il fallait que j'aille dans un endroit où il y a beaucoup de coureurs. S'il y en a beaucoup, c'est qu'on y est bien. Les terrains d'entraînement sont vraiment top, ce sont des montagnes, c'est super dur. Il faut le dire, c'est un endroit rêvé pour rouler, les paysages sont magnifiques."
Lenny Martinez a débuté sa nouvelle vie. Le Français était en stage à Tenerife avec la Bahrain-Victorious, sa nouvelle équipe. Et il met les choses au clair, en démentant avoir quitté la Groupama-FDJ juste pour signer un gros contrat.
"Oui, c'était la plus grosse offre. Mais beaucoup plus que les autres ? Pas tellement. Les rumeurs disent que c'est un assez gros contrat. Je peux dire que c'est largement moins que ce qui a été écrit !", assure le jeune grimpeur français dans un entretien accordé à L'Equipe.
Lenny Martinez, toutefois, ne contredit pas son interlocuteur quand celui-ci évoque le fait qu'il a multiplié son salaire par 10. "Bon, j'avais un salaire de coureur en première année World Tour. Forcément, c'était pas un truc de fou. Maintenant, c'est bien plus, et c'est normal avec toutes les victoires que j'ai eues, estime-t-il avant de commenter le montant évoqué pour son salaire. J'ai lu quelque part que j'allais gagner 2,5 M€ par an. C'est complètement faux (il se marre franchement) !"
https://x.com/sports_fr/status/1885542232821727251
Lenny Martinez s'explique
"Une carrière, c'est vraiment court. Groupama-FDJ me proposait aussi un bon contrat, d'autres formations aussi, mais à la fin, la différence n'est pas énorme...", assume Lenny Martinez, qui explique avoir rejoint Bahrain pour découvrir un nouvel horizon, un nouveau challenge à l'étranger, et parce qu'il était séduit par le discours de cette équipe.
Lenny Martinez admet tout de même avoir fait un autre choix cet hiver récemment en déménageant du côté d'Andorre. Pour quelles raisons ? "Hmm, on va pas se mentir, pour les impôts déjà ! J'hésitais avec Monaco, que j'aime bien car c'est à côté de la France, explique-t-il. Monaco, si j'y allais, pour les impôts c'était pas possible car je suis français. J'ai finalement choisi Andorre. Je me suis dit qu'il fallait que j'aille dans un endroit où il y a beaucoup de coureurs. S'il y en a beaucoup, c'est qu'on y est bien. Les terrains d'entraînement sont vraiment top, ce sont des montagnes, c'est super dur. Il faut le dire, c'est un endroit rêvé pour rouler, les paysages sont magnifiques."
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