Marion Rousse, un réel problème avec l’alcool !

Les récentes attaques de Patrick Lefévère contre Julian Alaphilippe ont obligé Marion Rousse à sortir de sa réserve. Alors que le manager de la Quick-Step venait de s’en prendre à l’hygiène de vie de son coureur, assurant qu’il y avait « trop de fêtes et trop d’alcool » chez le double champion du monde tricolore, la commentatrice vedette de France Télévisions et compagne du natif de Saint-Amand-Montrond a apporté une réponse cinglante.« Il est inadmissible de s’attaquer comme il le fait à notre vie privée. Alors non, je ne bois pas d’alcool, jamais même. Raté pour les fêtes également car avec un petit de trois ans, nous préférons être en forme le matin », avait-elle écrit dans un message publié sur Instagram.

"Je suis là pour l’aider et finir les verres qu’elle ne boit pas"

Certains sur les réseaux sociaux ont bien essayé d’exhumer des photos de Marion Rousse un verre à la main, mais le défi semble de taille. Interrogé l’été dernier sur le fonctionnement du tandem qu’il forme avec la directrice du Tour de France femmes, Christian Prudhomme avait d’ailleurs évoqué cette abstinence de l’ancienne championne de France. « Marion n’a pas besoin de moi pour s’envoler, mais je ne suis jamais loin. Et à table, je suis là pour l’aider et finir les verres qu’elle ne boit pas », avait-il ainsi expliqué.Et alors que certains imaginent allègrement Marion Rousse succéder à Christian Prudhomme à la tête du Tour de France, cette sagesse pourrait froisser quelques élus. En atteste les anecdotes livrées par le patron du Tour de France. Celui qui est capable de faire trois dîners à la suite avec différents édiles s’était souvenu dans son livre Le Tour de France, coulisses et secrets  d’un petit déjeuner à Saumur où « le premier verre de vin blanc était à 7h31 et le deuxième à 7h34 ».Il avait ainsi expliqué ne pas boire une goutte d’alcool dans les deux mois précédant le Tour de France, ni le mois qui suit. « Donc, en fonction du moment où ils me rencontrent, les gens doivent penser que je suis, soit un type très sobre, soit un alcoolique anonyme », avait-il livré.