Martinez pisté par les plus grandes écuries
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Lenny Martinez de la Groupama-FDJ attise les convoitises de grandes formations cyclistes. Miguel Martinez a dévoilé l'identité des trois écuries s'intéressant de près à son fils.
Au sein du peloton, Lenny Martinez se forge un nom depuis l'entame de saison. Agé de 20 ans à peine, le coureur de la Groupama-FDJ a rempli son armoire à trophées de quatre victoires. La Classic Var, le Trofeo Laigueglia, la Classic Grand Besançon et le Tour du Doubs. Mais au-delà de cela, le Français a avant tout éclaboussé de tout son talent d'autres courses plus prestigieuses, accompagnant notamment les plus grands en montagne et obtenant des meilleurs résultats que son leader David Gaudu. Lenny Martinez a notamment secondé Jonas Vingegaard sur O Gran Camino dans le nord-ouest de l'Espagne au terme de quatre jours de course en altitude.
Au mois de mars, il a confirmé avec une belle 7eme place au Tour de Catalogne et la conquête du maillot blanc de meilleur jeune. En avril, il a encore fait top 10, s'accaparant la 8eme place du général au très exigeant Tour de Romandie. Des prestations attisant naturellement les convoitises. "Trois équipes le veulent. Il n’y a rien de définitif avec Bahrain Victorious, contrairement à ce qui se dit. Il y a aussi Visma Lease a Bike et Ineos Grenadiers" a reconnu Miguel Martinez, le père du nouvel espoir tricolore, auprès de Ouest France. "La priorité de Lenny serait de rester à Groupama-FDJ. On en parle avec son manager personnel, qui gère l’aspect financier" a toutefois tempéré le champion olympique de VTT.
"Moi, je mets en avant le mode de vie et quels seront les meilleurs coureurs qui pourront l’épauler pour être le meilleur grimpeur de la Grande Boucle" a poursuivi Miguel Martinez, dévoilant donc les ambitions de son fils cet été sur le Tour de France avant de marteler le souhait de continuer à porter la tunique bleue de sa formation actuelle les saisons à venir. "Son équipe, qui propose vraiment moins sur le plan financier, essaye de faire un effort. Récemment, Lenny m’a dit : 'Même à deux fois moins, je préfère rester à Groupama-FDJ.' " Son transfert - ou non - à l'étranger n'est donc pas une question d'argent.
Au sein du peloton, Lenny Martinez se forge un nom depuis l'entame de saison. Agé de 20 ans à peine, le coureur de la Groupama-FDJ a rempli son armoire à trophées de quatre victoires. La Classic Var, le Trofeo Laigueglia, la Classic Grand Besançon et le Tour du Doubs. Mais au-delà de cela, le Français a avant tout éclaboussé de tout son talent d'autres courses plus prestigieuses, accompagnant notamment les plus grands en montagne et obtenant des meilleurs résultats que son leader David Gaudu. Lenny Martinez a notamment secondé Jonas Vingegaard sur O Gran Camino dans le nord-ouest de l'Espagne au terme de quatre jours de course en altitude.
Au mois de mars, il a confirmé avec une belle 7eme place au Tour de Catalogne et la conquête du maillot blanc de meilleur jeune. En avril, il a encore fait top 10, s'accaparant la 8eme place du général au très exigeant Tour de Romandie. Des prestations attisant naturellement les convoitises. "Trois équipes le veulent. Il n’y a rien de définitif avec Bahrain Victorious, contrairement à ce qui se dit. Il y a aussi Visma Lease a Bike et Ineos Grenadiers" a reconnu Miguel Martinez, le père du nouvel espoir tricolore, auprès de Ouest France. "La priorité de Lenny serait de rester à Groupama-FDJ. On en parle avec son manager personnel, qui gère l’aspect financier" a toutefois tempéré le champion olympique de VTT.
"Même à deux fois moins, je préfère rester à Groupama-FDJ"
"Moi, je mets en avant le mode de vie et quels seront les meilleurs coureurs qui pourront l’épauler pour être le meilleur grimpeur de la Grande Boucle" a poursuivi Miguel Martinez, dévoilant donc les ambitions de son fils cet été sur le Tour de France avant de marteler le souhait de continuer à porter la tunique bleue de sa formation actuelle les saisons à venir. "Son équipe, qui propose vraiment moins sur le plan financier, essaye de faire un effort. Récemment, Lenny m’a dit : 'Même à deux fois moins, je préfère rester à Groupama-FDJ.' " Son transfert - ou non - à l'étranger n'est donc pas une question d'argent.
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