Pogacar se moque de Bardet
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Alors qu’il voyait en lui l’un de ses plus sérieux rivaux sur ce Tour d’Italie, Tadej Pogacar ne considère plus Romain Bardet comme une menace.
Encore raté ! Une nouvelle fois à l’offensive, mardi, lors de la 10e étape du Giro, Romain Bardet a en effet dû se contenter de la deuxième place. La faute à Valentin Paret-Peintre, plus en jambes dans la montée finale et qui l’a emporté avec une trentaine de secondes d’avance sur son compatriote. Le coureur de la DSM n’a toutefois pas tout perdu puisque les échappés ont conservé jusqu’au bout une belle avance sur le groupe du maillot rose, arrivé à Bocca della Selva avec plus de trois minutes de retard.
Romain Bardet en a donc profité pour faire un beau rapproché au classement général, le natif de Brioude pointant désormais à la 7e place avec certes près de cinq minutes de retard mais à moins de deux minutes du podium. Un moindre mal au vu des sensations de l’Auvergnat. « Je n’étais vraiment pas bien du tout, a-t-il assuré à l’arrivée dans des propos relayés par L’Equipe. J’arrivais à rouler à un rythme régulier mais j’étais incapable d’accélérer, les jambes n’étaient pas super. C’est ça les vieilles mécaniques les lendemains de journées de repos. J’ai fait avec les moyens du jour et c’est pour ça que j’ai anticipé un peu. »
Et Romain Bardet a pu d’autant mieux anticiper une éventuelle bagarre entre les cadors qu’il ne représente plus un danger aux yeux de Tadej Pogacar. « Je pense que Bardet a montré une très bonne forme en ce moment », expliquait pourtant le Slovène avant le début du Giro au moment de désigner ses principaux concurrents. Mais le mauvais début de Tour d’Italie du Français a changé la donne.
« Je ne le vois pas comme une menace. Si on lui laisse 10 minutes d'avance, là il en sera une, a expliqué le maillot rose à l’arrivée de la 10e étape. Mais on savait sur quel rythme rouler et tout s'est bien passé pour nous. Une journée de plus de terminée et un jour en moins avant Rome. » Mais l’objectif de Romain Bardet sur ce Tour d’Italie est effectivement ailleurs.
« Nous ne sommes qu’à la moitié du Giro. Les étapes qui me conviennent, elles arrivent. Là, c’est un heureux concours de circonstances qui m’a permis de reprendre du temps, mais pour le général, aucune idée », a-t-il soufflé à ce sujet, mardi.
Encore raté ! Une nouvelle fois à l’offensive, mardi, lors de la 10e étape du Giro, Romain Bardet a en effet dû se contenter de la deuxième place. La faute à Valentin Paret-Peintre, plus en jambes dans la montée finale et qui l’a emporté avec une trentaine de secondes d’avance sur son compatriote. Le coureur de la DSM n’a toutefois pas tout perdu puisque les échappés ont conservé jusqu’au bout une belle avance sur le groupe du maillot rose, arrivé à Bocca della Selva avec plus de trois minutes de retard.
Romain Bardet en a donc profité pour faire un beau rapproché au classement général, le natif de Brioude pointant désormais à la 7e place avec certes près de cinq minutes de retard mais à moins de deux minutes du podium. Un moindre mal au vu des sensations de l’Auvergnat. « Je n’étais vraiment pas bien du tout, a-t-il assuré à l’arrivée dans des propos relayés par L’Equipe. J’arrivais à rouler à un rythme régulier mais j’étais incapable d’accélérer, les jambes n’étaient pas super. C’est ça les vieilles mécaniques les lendemains de journées de repos. J’ai fait avec les moyens du jour et c’est pour ça que j’ai anticipé un peu. »
"Je ne le vois pas comme une menace"
Et Romain Bardet a pu d’autant mieux anticiper une éventuelle bagarre entre les cadors qu’il ne représente plus un danger aux yeux de Tadej Pogacar. « Je pense que Bardet a montré une très bonne forme en ce moment », expliquait pourtant le Slovène avant le début du Giro au moment de désigner ses principaux concurrents. Mais le mauvais début de Tour d’Italie du Français a changé la donne.
« Je ne le vois pas comme une menace. Si on lui laisse 10 minutes d'avance, là il en sera une, a expliqué le maillot rose à l’arrivée de la 10e étape. Mais on savait sur quel rythme rouler et tout s'est bien passé pour nous. Une journée de plus de terminée et un jour en moins avant Rome. » Mais l’objectif de Romain Bardet sur ce Tour d’Italie est effectivement ailleurs.
« Nous ne sommes qu’à la moitié du Giro. Les étapes qui me conviennent, elles arrivent. Là, c’est un heureux concours de circonstances qui m’a permis de reprendre du temps, mais pour le général, aucune idée », a-t-il soufflé à ce sujet, mardi.
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