Révolution en vue sur le Tour de France !
Publié le , mis à jour le
Certaines étapes du Tour de France ont déçu et les organisateurs comptent bien en retenir la leçon. Une mauvaise nouvelle pour les sprinters...
L’édition 2024 du Tour de France touche à sa fin et l’heure est déjà au bilan malgré un dernier week-end qui s’annonce éminemment spectaculaire. Force est de constater que la cuvée 2024 a parfois déçu, notamment si on compare avec les crus précédents. La faute en premier lieu au manque de suspense concernant les premières places.
Comme attendu, Tadej Pogacar écrase la course et le podium s’est également très vite dessiné, un gouffre séparant le trio Pogacar-Vingegaard-Evenepoel et les autres cadors du peloton. A ce manque de suspense se sont ajoutées des étapes parfois bien mornes, notamment lorsqu’une arrivée au sprint était attendue. Se sachant condamnés, les baroudeurs n’ont même pas tenté d’échappées publicitaires, pour montrer le maillot.
Ce constat n’a pas échappé aux organisateurs du Tour de France. Et à en croire Thierry Gouvenou, grand architecte des tracés de la Grande Boucle, les baroudeurs devraient être davantage mis à l’honneur dans les années à venir. « Cette année, il y avait peut-être un peu moins d'étapes pour les baroudeurs, a ainsi confié l’ancien coureur à Radio Sports. Mais je pense que dans l'avenir, on essayera de privilégier ce type d'étapes. Les étapes pour les sprinteurs nous ont un petit peu déçus et on ne va pas continuer à en mettre autant. »
Cette année, si les sprinters ont été privé de l’arrivée royale sur les Champs-Elysées, pas moins de huit étapes ont donné lieu à un sprint massif. Huit étapes sur 21. Ajoutez-y deux contre-la-montre, six étapes en haute altitude cadenassées par les cadors et les baroudeurs ont effectivement été réduits à la portion congrue avec seulement cinq étapes offrant un terrain d’expression aux échappées.
L’édition 2024 du Tour de France touche à sa fin et l’heure est déjà au bilan malgré un dernier week-end qui s’annonce éminemment spectaculaire. Force est de constater que la cuvée 2024 a parfois déçu, notamment si on compare avec les crus précédents. La faute en premier lieu au manque de suspense concernant les premières places.
Comme attendu, Tadej Pogacar écrase la course et le podium s’est également très vite dessiné, un gouffre séparant le trio Pogacar-Vingegaard-Evenepoel et les autres cadors du peloton. A ce manque de suspense se sont ajoutées des étapes parfois bien mornes, notamment lorsqu’une arrivée au sprint était attendue. Se sachant condamnés, les baroudeurs n’ont même pas tenté d’échappées publicitaires, pour montrer le maillot.
Pas moins de huit arrivées au sprint
Ce constat n’a pas échappé aux organisateurs du Tour de France. Et à en croire Thierry Gouvenou, grand architecte des tracés de la Grande Boucle, les baroudeurs devraient être davantage mis à l’honneur dans les années à venir. « Cette année, il y avait peut-être un peu moins d'étapes pour les baroudeurs, a ainsi confié l’ancien coureur à Radio Sports. Mais je pense que dans l'avenir, on essayera de privilégier ce type d'étapes. Les étapes pour les sprinteurs nous ont un petit peu déçus et on ne va pas continuer à en mettre autant. »
Cette année, si les sprinters ont été privé de l’arrivée royale sur les Champs-Elysées, pas moins de huit étapes ont donné lieu à un sprint massif. Huit étapes sur 21. Ajoutez-y deux contre-la-montre, six étapes en haute altitude cadenassées par les cadors et les baroudeurs ont effectivement été réduits à la portion congrue avec seulement cinq étapes offrant un terrain d’expression aux échappées.
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