Rousse-Alaphilippe, le clash qui change tout !
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Pour certains observateurs, les violentes attaques de Patrick Lefévère contre Julian Alaphilippe et Marion Rousse ne sont pas pour rien dans le retour au sommet du coureur tricolore.
Cette fois, l’offensive n’est pas allée au bout. Une fois encore passé à l’attaque, mardi, avec trois compagnons d’échappée, dont Marco Maestri, qui l’avait déjà accompagné lors de sa victoire sur la 12e étape, Julian Alaphilippe a dû s’avouer vaincu. Malgré un nouveau numéro, le Français a été rattrapé dans le final. Mais le Français a confirmé son retour en grande forme.
Et à en croire Cyril Guimard, cette renaissance doit inévitablement aux sévères critiques dont il a été l’objet de la part de Patrick Lefévère. « Si on revient aux différentes piques de Patrick Lefévère, je me pose la question de savoir si ce n’est pas à cause de ces piques que Julian est revenu, a ainsi confié l’ancien directeur sportif auprès de RMC. Ce n’est pas un hasard si un monsieur comme Patrick Lefévère va utiliser tous les leviers qui sont à sa disposition pour le remettre en route. Le rôle d’un manager, ce n'est pas seulement de féliciter à l’arrivée, c’est aussi d’utiliser tous les leviers pour faire prendre conscience d’un certain nombre de choses. »
« Tous les mots ont un sens, a-t-il insisté. Il ne dit pas les choses par hasard. Il y a quand même un film qui dure dix ans entre les deux. On sait très bien qu’il y a de l’affect entre les deux. Si Patrick le fait, c’est pour le sauver. Et je crois qu’il l’a sauvé. »
Patrick Lefévère avait d’ailleurs récemment confié avoir discuté avec Julian Alaphilippe ainsi que Marion Rousse, avant de tout balancer dans la presse, laissant entendre qu’il souhaitait que son coureur lui réponde sur le vélo. Si Marion Rousse a réagi de manière véhémente sur les réseaux sociaux, le natif de Saint-Amand-Montrond est effectivement resté silencieux, se gardant bien de rentrer dans une guerre ouverte avec son dirigeant.
« J'ai réussi vraiment à m'en détacher au maximum comme j'ai souvent l'habitude de faire, avait assuré le coureur de la Soudal-Quick Step au début du printemps. Après ça m'a plus fait chier pour Marion qui, elle, n'a rien demandé et qui n'aime pas du tout être dans les histoires. Elle n'a pas apprécié être mêlée avec des propos comme ça qui étaient inutiles et qui n'avaient pas de sens. Certaines choses sont censées être personnelles, et c'est un peu chiant quand c'est tout le temps que ça sort. Alors que ça n'a pas lieu d'être. Mais pour moi, non, je m'en suis détaché. Je m'en fous, en fait. »
Cette fois, l’offensive n’est pas allée au bout. Une fois encore passé à l’attaque, mardi, avec trois compagnons d’échappée, dont Marco Maestri, qui l’avait déjà accompagné lors de sa victoire sur la 12e étape, Julian Alaphilippe a dû s’avouer vaincu. Malgré un nouveau numéro, le Français a été rattrapé dans le final. Mais le Français a confirmé son retour en grande forme.
Et à en croire Cyril Guimard, cette renaissance doit inévitablement aux sévères critiques dont il a été l’objet de la part de Patrick Lefévère. « Si on revient aux différentes piques de Patrick Lefévère, je me pose la question de savoir si ce n’est pas à cause de ces piques que Julian est revenu, a ainsi confié l’ancien directeur sportif auprès de RMC. Ce n’est pas un hasard si un monsieur comme Patrick Lefévère va utiliser tous les leviers qui sont à sa disposition pour le remettre en route. Le rôle d’un manager, ce n'est pas seulement de féliciter à l’arrivée, c’est aussi d’utiliser tous les leviers pour faire prendre conscience d’un certain nombre de choses. »
« Tous les mots ont un sens, a-t-il insisté. Il ne dit pas les choses par hasard. Il y a quand même un film qui dure dix ans entre les deux. On sait très bien qu’il y a de l’affect entre les deux. Si Patrick le fait, c’est pour le sauver. Et je crois qu’il l’a sauvé. »
Alaphilippe a répondu sur le vélo
Patrick Lefévère avait d’ailleurs récemment confié avoir discuté avec Julian Alaphilippe ainsi que Marion Rousse, avant de tout balancer dans la presse, laissant entendre qu’il souhaitait que son coureur lui réponde sur le vélo. Si Marion Rousse a réagi de manière véhémente sur les réseaux sociaux, le natif de Saint-Amand-Montrond est effectivement resté silencieux, se gardant bien de rentrer dans une guerre ouverte avec son dirigeant.
« J'ai réussi vraiment à m'en détacher au maximum comme j'ai souvent l'habitude de faire, avait assuré le coureur de la Soudal-Quick Step au début du printemps. Après ça m'a plus fait chier pour Marion qui, elle, n'a rien demandé et qui n'aime pas du tout être dans les histoires. Elle n'a pas apprécié être mêlée avec des propos comme ça qui étaient inutiles et qui n'avaient pas de sens. Certaines choses sont censées être personnelles, et c'est un peu chiant quand c'est tout le temps que ça sort. Alors que ça n'a pas lieu d'être. Mais pour moi, non, je m'en suis détaché. Je m'en fous, en fait. »
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