Tour du Pays basque: Roglic s'est senti fort
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Alors que Primoz Roglic a assuré s’être senti fort lors de la 1ere étape du Tour du Pays Basque, Remco Evenepoel est revenu sur sa chute dans le deuxième virage. Jonas Vingegaard, quant à lui, ne s’inquiète pas d’avoir perdu un peu de temps.
Primoz Roglic s’est rassuré. Après un Paris-Nice loin de ses attentes et conclu à la dixième place du classement général, le Slovène aborde le Tour du Pays Basque avec une toute nouvelle énergie. Ce qui s’est vu lors d’un contre-la-montre inaugural qu’il a dominé. « Je suis content d'être de retour ici et les jambes vont bien apparemment, je me sentais fort », a-t-il affirmé face à la presse avant de revenir sur sa bévue de fin de parcours. En effet, le coureur de l’équipe Bora-Hansgrohe n’a pas tourné vers la ligne d’arrivée, prenant la voie d’évacuation des véhicules.
« J'ai fait une petite erreur à la fin, j'ai loupé la ligne d'arrivée... mais ça l'a fait quand même, a-t-il confié avec le sourire aux lèvres. Je crois que j'ai fait un peu trop de reconnaissances, à chaque fois je prenais à droite. Mais là je me suis rendu compte au bout de quelques secondes que j'aurais déjà dû passer la ligne et que j'ai dû la louper, donc j'ai fait demi-tour. » Assurant avoir « dû encore plus travailler pour être prêt ici », Primoz Roglic se réjouit de « pouvoir accrocher un bon résultat dès le début ».
Pour Remco Evenepoel, le pire aurait pu arriver au bout de 21 secondes de course. Dès le deuxième virage, le champion du monde du contre-la-montre est allé à terre. Interrogé après l’arrivée, le coureur belge a tenté d’expliquer sa mésaventure. « J'ai glissé, a-t-il tout d’abord confié de manière laconique. Sur les images, nous voyons une grille, qui donne l'impression que ma roue glisse. Mais c'est arrivé si vite. » Convaincu de ne « pas avoir pris trop de risques », Remco Evenepoel assure que « ce n'est pas une erreur de pilotage » tout en admettant s’être possiblement « un peu trop engagé dans les virages ».
« Ce n'était pas trop dangereux, non. Il y avait d'autres options, mais ce n'est pas moi qui fais les parcours, a-t-il ajouté. Et les risques, on les prend nous-même. Si vous tombez, c'est de votre faute. C'était ma propre faute. Sur un tel contre-la-montre, il est difficile de gagner si le grand favori ne commet aucune erreur. » Ayant calculé une perte de temps d’une vingtaine de secondes, le Belge admet qu’« une victoire aurait été possible, mais c'est facile à dire après coup ». Malgré tout, le coureur de l’équipe Soudal-Quick Step assure être « très satisfait des sensations » et avoir « fait un bon contre-la-montre »
Jonas Vingegaard, quant à lui, est passé à travers les gouttes. S’il n’a pas connu la moindre mésaventure, le coureur danois a concédé quinze secondes à Primoz Roglic. Toutefois, il en faudra plus pour inquiéter celui qui a remporté les deux courses par étapes sur lesquelles il s’est engagé cette année. « Je suis satisfait de ma performance aujourd’hui (lundi). Les jambes et le ressenti général étaient bons, a assuré le double vainqueur du Tour de France. Je ne suis pas encore préoccupé par l'écart avec Roglic. Beaucoup de choses peuvent arriver dans les cinq étapes suivantes. »
Après « une bonne période d’entraînement » consécutive à Tirreno-Adriatico, le leader de l’équipe Visma-Lease a Bike se montre impatient d’en découdre avec ses rivaux. « Sur le papier, cette édition du Tour du Pays Basque semble un peu moins exigeante que les années précédentes, a-t-il déclaré. Néanmoins, j'attends un combat jusqu'à l'étape finale qui sera décisive. » Alors qu’ils seront tous trois attendus l’été prochain sur la Grande Boucle, le trio Roglic-Evenepoel-Vingegaard promet déjà de faire des étincelles sur les routes du Pays Basque d’ici à la fin de la semaine.
Primoz Roglic s’est rassuré. Après un Paris-Nice loin de ses attentes et conclu à la dixième place du classement général, le Slovène aborde le Tour du Pays Basque avec une toute nouvelle énergie. Ce qui s’est vu lors d’un contre-la-montre inaugural qu’il a dominé. « Je suis content d'être de retour ici et les jambes vont bien apparemment, je me sentais fort », a-t-il affirmé face à la presse avant de revenir sur sa bévue de fin de parcours. En effet, le coureur de l’équipe Bora-Hansgrohe n’a pas tourné vers la ligne d’arrivée, prenant la voie d’évacuation des véhicules.
« J'ai fait une petite erreur à la fin, j'ai loupé la ligne d'arrivée... mais ça l'a fait quand même, a-t-il confié avec le sourire aux lèvres. Je crois que j'ai fait un peu trop de reconnaissances, à chaque fois je prenais à droite. Mais là je me suis rendu compte au bout de quelques secondes que j'aurais déjà dû passer la ligne et que j'ai dû la louper, donc j'ai fait demi-tour. » Assurant avoir « dû encore plus travailler pour être prêt ici », Primoz Roglic se réjouit de « pouvoir accrocher un bon résultat dès le début ».
Evenepoel: « Si vous tombez, c'est de votre faute »
Pour Remco Evenepoel, le pire aurait pu arriver au bout de 21 secondes de course. Dès le deuxième virage, le champion du monde du contre-la-montre est allé à terre. Interrogé après l’arrivée, le coureur belge a tenté d’expliquer sa mésaventure. « J'ai glissé, a-t-il tout d’abord confié de manière laconique. Sur les images, nous voyons une grille, qui donne l'impression que ma roue glisse. Mais c'est arrivé si vite. » Convaincu de ne « pas avoir pris trop de risques », Remco Evenepoel assure que « ce n'est pas une erreur de pilotage » tout en admettant s’être possiblement « un peu trop engagé dans les virages ».
« Ce n'était pas trop dangereux, non. Il y avait d'autres options, mais ce n'est pas moi qui fais les parcours, a-t-il ajouté. Et les risques, on les prend nous-même. Si vous tombez, c'est de votre faute. C'était ma propre faute. Sur un tel contre-la-montre, il est difficile de gagner si le grand favori ne commet aucune erreur. » Ayant calculé une perte de temps d’une vingtaine de secondes, le Belge admet qu’« une victoire aurait été possible, mais c'est facile à dire après coup ». Malgré tout, le coureur de l’équipe Soudal-Quick Step assure être « très satisfait des sensations » et avoir « fait un bon contre-la-montre »
Vingegaard: « Je ne suis pas encore préoccupé »
Jonas Vingegaard, quant à lui, est passé à travers les gouttes. S’il n’a pas connu la moindre mésaventure, le coureur danois a concédé quinze secondes à Primoz Roglic. Toutefois, il en faudra plus pour inquiéter celui qui a remporté les deux courses par étapes sur lesquelles il s’est engagé cette année. « Je suis satisfait de ma performance aujourd’hui (lundi). Les jambes et le ressenti général étaient bons, a assuré le double vainqueur du Tour de France. Je ne suis pas encore préoccupé par l'écart avec Roglic. Beaucoup de choses peuvent arriver dans les cinq étapes suivantes. »
Après « une bonne période d’entraînement » consécutive à Tirreno-Adriatico, le leader de l’équipe Visma-Lease a Bike se montre impatient d’en découdre avec ses rivaux. « Sur le papier, cette édition du Tour du Pays Basque semble un peu moins exigeante que les années précédentes, a-t-il déclaré. Néanmoins, j'attends un combat jusqu'à l'étape finale qui sera décisive. » Alors qu’ils seront tous trois attendus l’été prochain sur la Grande Boucle, le trio Roglic-Evenepoel-Vingegaard promet déjà de faire des étincelles sur les routes du Pays Basque d’ici à la fin de la semaine.
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